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Cette année la grand’messe de LeWeb aura lieu les 9 et 10 décembre prochain. Certains y vont pour les conférences (mais sinon vous pouvez toujours aller les voir après coup sur le Net), d’autres pour les rencontres hors conf.
Je dis “grand’messe”, car il s’agit de la plus grande conférence Internet européenne tout de même. Qu’on en soit détracteur ou fana.

Qui en est friand ? Près de 2.000 personnes spécialistes d’Internet, du web 2.0, du web 3.0 ; des start-up. Tout ce petit monde se rencontre, fait connaissance, discute et fait du networking au passage (international cela va sans dire). Le tout avec des conférenciers qui présentent ‘leur’ version de l’avenir du web.
En tout cas, voici la présentation de cette version 2010 faite par Loïc Le Meur soi-même.

En 2007, j’avais fait un billet sur cet évènement et le présentait ainsi : “(…) évènement consacré aux acteurs du web et aux jeunes pousses.
(…), il s’agit d’y traiter des aspects techniques, économiques, des blogs pour une utilisation entrepreneuriale (*)

A noter l’évolution. De 2004 à 2008, l’intitulé était “leweb3.com”. Depuis il est “leweb”
Cela correspond mieux à son objet me semble t’il car la définition du web3.0 n’est pas celle dite ci-dessus (cf toujours mon billet de 2007)

A noter cette statistique intéressante (?) : sur 45 intervenants, 5 femmes.
Tiens, au passage pendant la rédaction de ce billet, je m’aperçois que je ne suis pas la seule à avoir fait ce genre de compte 😉
Dans la salle, même pourcentage ? l’avenir nous le dira.

Pour en savoir plus sur le créateur de cette manifestation, Loïc Le Meur, voir cet article critique

Des bruits courent actuellement par le rachat de LeWeb par Publicis.

Ce que nous savons tous des versions d’Internet
– Internet I comme un internet vertical puisque les résultats de nos recherches nous sont donnés sous forme de liste
– Internet II est celui de la participation des internautes
– Internet III est dit “sémantique”, il fait déjà /fera encore plus des connexions comme notre cerveau
– Internet IV est un Internet “symbiotique”. Il est alors question de “web pervasif”, i.e. omniprésent.

Retenez bien ce mot, ‘pervasif’. Sur le site de Futura Sciences, il est ainsi défini :

(…) un environnement où les objets communicants se reconnaissent et se localisent automatiquement entre eux. Les objets interagissent entre eux sans action particulière de l’utilisateur.

Définition complémentaire : Les systèmes pervasifs ont pour objectifs de rendre l’information disponible partout et à tout moment. Ces systèmes doivent pouvoir être utilisés dans différents contextes selon l’environnement de son utilisateur, son profil et le terminal qu’il utilise. L’un des problèmes majeurs de ce type de système concerne donc l’adaptation au contexte d’utilisation.. Telle est la définition donnée par Tarak Chaari dans le résumé de sa thèse intitulée : “Adaptation d’applications pervasives dans des environnements multi-contextes” (INSA Lyon, 2007) et consultable en ligne.

La fin d’un cauchemar ? Le début d’un rêve ? Le démarrage d’autres aventures ? Un peu des trois sans doute.

Des exemples, on veut des exemples me direz-vous ? Eh bien en voici

– des réseaux intelligents,

fondés sur les protocoles d’internet, sans propriétaire, sans opérateurs et toujours ouverts. Pas belle la vie ? Foin de votre boîtier style LiveBox

Un bon exemple avec Ozone. Enfin délivré de son boîtier style livebox ou de sa clé qui disparaît toujours si mystérieusement au moment de mettre la main dessus. L’objectif avoué de son créateur est de « connecter tout type de machine partout, tout le temps, à haut débit et pour un prix imperceptible». Donc vous êtes chez vous, vous surfez, vous allez profiter du soleil au jardin public proche de chez votre meilleur ami, vous surfez toujours, vous allez chez des amis avec votre ordi portable, vous surfez sans encombrer leur réseau. Pas belle la vie ?

des jeux comme Plug2 au Musée des Arts et Métiers testé il y a quelques jours. Voir les essais réalisés à l’INT d’Evry.
Ce type de jeu se définit

comme un jeu enrichi à l’aide de technologies de calcul et de communication afin de combiner les espaces physique et numérique du joueur. (…)

D’où l’utilisation de vibreurs dans des vêtements, des systèmes de géolocalisation, etc…

des robots
beaucoup d’encre sur les robots intelligents, voire presque humains

– et d’autres pistes d’applications,
. les statistiques (voir dans la partie “Java et la mobilité” du billet intitulé ” JavaOne 2008, quoi de neuf ?” sur le blog de d’Open Source Pragma
. le design
. les économies d’énergie
. la géolocalisaton
. …

Un nom à associer au mot ‘pervasif’ est celui de Mark Weiser. C’est lui qui a inventé l’informatique pervasive “en décrivant l’ordinateur du XXIe siècle comme un terminal intime ou compagnon actif plus intelligent qu’un assistant de bureau” (cité dans la thèse de T. Chaari).
Il est le créateur de l’informatique ubiquitaire et je vous invite à lire la page de Wikipédia sur le sujet

Bref, pour en savoir beaucoup plus, voir
– “Le réseau pervasif, réseau de demain ?: Définition et avenir du réseau pervasif
– “Ville, informatique pervasive et nouveaux paysages numériques” (janv. 2010)
– “Informatique pervasive et usages en contextes
– “les médias géolocalisés
– “Systèmes d’information pervasifs“, un cours de F. Laforest en master informatique, INSA, Université de Lyon, 2007-2008
(je n’ai pas tout compris, loin de là, mais quelques passages intéressants à propos du pervasif)
– http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/15/63/76/ANNEX/soutenance_These_v3.ppt
– http://www.slideshare.net/davidbihanic/informatique-pervasive-et-usages-en-contextes-2934534

C’est aussi ce que l’on appelle l’intelligence ambiante

______________

A propos des réseaux, voir aussi
– l’article “Le réseau pervasif, réseau de demain ? Définition et avenir du réseau pervasif” par Céline Schanen le 10 nov. 2009 sur le site Suite101, la communauté des Experts. Url : http://internet.suite101.fr/article.cfm/le_reseau_pervasif_reseau_de_demain_#ixzz0sTBnS1v2
– la phrase du rêve d’Ozone a été prise sur http://www.astel.be/Ozone-promet-un-reseau-Wi-Fi-pervasif-a-Bruxelles_1873

A propos des jeux, voir aussi
– http://www.bauger.net/2008/02/jeux-ubiquitaires-et-pervasifs/
– http://xyinteraction.free.fr/wiki/pmwiki.php/FR/JeuPervasif

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A l’origine de ce billet, la présentation de sa vision de l’évolution d’Internet par Joël de Rosnay lors de son intervention au Medef en 2008. J’ai été interpellée par le terme.

http://www.ozoneparis.net/

J’ai aimé l’explication d’Ozone à propos du 4e web

Voici la consultation possible d’une brochure pédagogique gratuite intitulée “Repere : Ressources électroniques pour les étudiants, la recherche et l’enseignement” réactualisée chaque année par le service de l’ENSSIB ‘FORMIST’ (FORMation à l’Information Scientifique et Technique) en charge de rassembler et évaluer les ressources pédagogiques sur la formation à l’information.

Elle propose outils et méthodes pour mener des recherches documentaires. On ne saurait qu’encourager à lire ce document.

Merci à l‘ENSSIB, qui donne le code permettant de faire connaître le document.

Je vous parlais (sic) dans un billet du 21 janvier de la journée d’études sur le thème “Je me souviens…. de l’Internet. Traces et mémoires du numérique” avec l’INTD et des associations d’utilisateurs de logiciels du monde des bibliothèques et centres de documentation spécialisés.

Je n’ai pas pu aller comme prévu assister à cette journée, mais je viens de voir que l’on peut retrouver les interventions des participants sur le site du Fulbi

J’ai retrouvé un compte-rendu intitulé “Dans 10 ans : votre entreprise et les NT” paru dans Archimag de novembre 2001, que j’avais mis précieusement de côté. Il concernait un colloque du Centre des Jeunes Dirigeants dont le titre était “Dans 10 ans l’entreprise… Qu’aurons nous fait des nouvelles technologies ?
Oui, c’est vrai que cela ne fait pas tout à fait 10 ans, mais je n’ai pas résisté à la tentation.

Tout d’abord pour Joël de Rosnay Internet étant partout dans 10 ans, “il aura perdu sa majuscule”.
Là, il était peut-être un peu optimiste, mais c’est vrai que nous avons bien progressé. La preuve : nous sommes passé de 20 % d’internautes à plus de 63 % aujourd’hui, ce qui est une belle progression, mais il en manque encore presque 40 % (source de ces chiffres)

Philippe Breton rappelait que les outils de consommation ne sanctifiaient pas ce qu’ils transportaient.
A ce jour, à juste titre me semble t’il, il faut continuer de le rappeler ! Rien ne semble s’améliorer sur le sujet.
En complément si je puis dire, Robert Misrahi estimait que c’est la relation qui est importante, pas la communication elle-même.
Avons-nous beaucoup avancés sur le sujet ? j’en doute. Une réflexion à poursuivre.
En tout cas, il est intéressant de noter que certains aujourd’hui estiment que ce n’est pas tant la manière dont on produit des informations que celle dont on les consulte qui nécessite interrogation. En l’occurrence, voir le billet “comment consultons-nous nos images ?” par Hubert Guillaud.

Enfin, deux points importants étaient abordés :

1. le développement de l’esprit de communauté dans le milieu professionnel
D. Ettighoffer affirmait “nous allons devenir des communautés professionnelles, des communautés de métier”
Il y a eu effectivement un bon développement sur le sujet, mais il reste encore beaucoup à faire.
Cisco est un bon exemple d’application en la matière
Je suppose qu’on peut faire entrer ici la méthode de ‘storytelling‘ (définition)visant à partager les connaissances tacites ou implicites d’une organisation, contenues dans une situation vécue ou dans une histoire racontée. Cela entre plus dans la gestion des connaissances mais nécessite de mon point de vue la participation de chaque réseau.

2. Y. Lasfargue estimait qu’en 2010 “on se demandera où l’on est, où finit et où commence l’entreprise
A mon avis les problèmes d’organisation et de définition de responsabilité qu’il prévoyait en conséquence et avec juste raison ne sont à ce jour qu’exceptionnellement résolus par les entreprises (une des exceptions). L’interpénétration vie professionnelle/vie privée n’est trop souvent que l’envahissement du temps de vie professionnelle sur le temps de vie privée et génère le mal être au travail. Ce stress n’est hélas pas une vue de l’esprit. France Télecom est la partie visible de l’iceberg.

D’après une étude américaine récente portant sur 90.000 personnes réparties dans 18 pays, il ressort que
* seuls 38% des employés estiment que le haut management est réellement intéressé par le bien-être
des employés
* moins de 4 sur 10 pensent que les cadres supérieurs communiquent ouvertement et honnêtement
* moins de la moitié d’entre eux pensent que les décisions du top management sont conformes avec les
valeurs qu’ils pensent être celles de l’entreprise

Aujourd’hui les termes ‘entreprise 2.0 et management 2.0.”Le management 2.0” apparaissent et reste pour l’instant l’apanage de quelques trop rares sociétés. Espérons qu’elles feront écoles car la définition est alléchante : “Le but du Management 2.0 est de rendre toute organisation aussi génialement humaine que l’est toute personne qui y travaille“. Je ne peux que vous conseiller d’aller lire le billet de Bertrand Duperrinil ne suffit pas de petits ajustements périphériques pour donner une utilité aux outils mais une véritable refonte systémique pour qu’ils servent de catalyseur à un nouveau mode d’organisation“.

Enfin, je vous suggère de lire un double avis et exemple à propos des entreprises 2.0 avec le billet intitulé “L’ingéniérie sociale à l’heure des réseaux sociaux

Rendez-vous dans 10 ans ?

__________
voir aussi

==> http://www.selfway.fr/accueil/2009/01/google-ouvre-son-ecole-de-d%C3%A9veloppement-personnel.html
==> http://poncier.org/blog/ un blog sur l’entreprise, le web, et le travail collaboratif… vers le management 2.0 et notamment son billet “Management 2.0 : la circulation de l’information fait évoluer le management
==> un double avis et exemple à propos des entreprises 2.0 avec le billet intitulé “L’ingéniérie sociale à l’heure des réseaux sociaux
==> http://gillesmartin.blogs.com/zone_franche/2009/02/le-but-du-management-20.html
==> http://talentpower.free.fr/?p=212
==> http://blog.m2ie.fr/post/2009/07/21/Management-20-:-collaborer-l-avenir-de-l-entreprise
==> http://www.duperrin.com/2008/05/18/entreprise-20-management-20-rh-20-et-culture-20-selon-jon-husband/ et http://www.duperrin.com/2008/12/18/entreprise-20-mes-predictions-pour-2009/#more-1723

__________
mon point de départ

Archimag n° 149 – novembre 2001, Dans 10 ans : votre entreprise et les NT
http://nouveaumanagementdelinformation.viabloga.com/management_2_0.shtml

__________
renvois

source de ces chiffres
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39381154,00.htm

définition
Définition simple : le fait de substituer aux arguments raisonnés et aux analyses chiffrées le poids d’une bonne histoire source http://responsables.free.fr/?Le-Storytelling-a-la-Francaise-une
Pour en savoir plus sur le storytelling
http://www.cairn.info/revue-francaise-de-gestion-2005-6-page-247.htm
http://storytelling.over-blog.fr/

La FULBI (Fédération des Utilisateurs de Logiciels pour Bibliothèque, Documentation et Information) organise sa journée d’études sur le thème “Je me souviens…. de l’Internet. Traces et mémoires du numérique” avec l’INTD et des associations d’utilisateurs de logiciels du monde des bibliothèques et centres de documentation spécialisés.

L’objectif de cette journée est de proposer “aux chercheurs, consultants, professionnels de la gestion de l’information (une rencontre) le jeudi 21 janvier pour échanger sur les enjeux, méthodes, outils et responsabilités des acteurs de la gestion de l’information dans la conservation, la transmission et la mémoire des services web, portails, mails, forums etc.. et de leurs contenus“.

Voici un sujet intéressant. Je m’y suis inscrite et essaierai de vous faire un compte-rendu.

Chaque année la journée d’études a un thème particulier. Ainsi, en janvier 2009, le sujet traité était “Identification, identifiant, identité…individu”.
Voir sur leur site (tout neuf) les supports de certains des intervenants.

…parce que les jours n’ont que 24 h, que la vie n’est pas seulement – et heureusement – virtuelle ou informatique et qu’il y a des éléments de la vie réelle à sauvergarder, à développer ou à consommer sans modération.

Bref, comme disait Pépin, entre deux blogs, un site, Delicious, Pearltrees… je sature un peu et n’ai guère envie de passer du temps à bien maîtriser la chose. Toujours pas compris comment on arrivait à faire un hastag…
Et puis trop de redondance tue l’info et la liste sans fin des tweets m’épuise. Presque au point de ne plus les regarder… euh, j’ai dit presque, hein, car côté veille c’est un bon outil.

Re-bref, j’abandonne mon essai et mes deux malheureux tweets et les supprimerai.

En final, connaissez-vous UpperTweet ?
C’est le nom d’un service qui utilise astucieuse l’API de Twitter pour donner des informations “sur les utilisateurs actifs de ce réseau ! Quel est le profil le plus retweeté en France, c’est à dire celui dont les tweets sont les plus propagés par la communauté d’utilisateurs ou encore quelle est la marque qui est le plus présente et la plus relayée, etc… Upper Tweet a les réponses !” (source)

Je vous propose d’aller voir ces slides intitulés “Parcours de découverte des outils du web actuel pour l’étudiant 2.0“… mais il n’y a pas que les étudiants qui ont besoin de ce genre de synthèse…

Voilà un bon résumé. Chacun bien sûr regrettera peut-être l’absence d’un ou deux de ses préférés, mais à la décharge de l’auteur – Loïc Haÿ – c’est impossible de citer tous les acteurs sous peine de devenir imbuvable ! Pour ma part je regrette l’absence de Netvibes et Viadeo, mais comme dit quelques mots plus haut…

Hélas, je ne peux rendre à César ce qui lui revient !… d’onglets en onglets… j’ai perdu celui qui m’a permis cette découverte…

L’arrivée du web2.0 dans les entreprises amène un changement dans le management de l’information. C’est ce que développe Christophe Deschamps (blog “outils froids”) dans son nouveau livre “Le nouveau management de l’information – La gestion des connaissances au coeur de l’entreprise 2.0″

Merci à Infostratèges d’avoir signalé la création d’un nouveau blog par Christophe, conséquence directe du livre et son complément. Titre du blog Le nouveau management de l’information

En effet, son auteur estime que la connaissance des technologies 2.0 d’entreprise n’est pas suffisante : encore faut-il savoir gérer le travail aval. C’est pour cela qu’il a créé ce blog sur lequel il donne notamment accès à 28 fiches pratiques qu’il a élaborées, mettant ainsi à disposition une aide pour toute “la phase rédactionnelle et les compétences qu’elle suppose en termes de gestion du temps, d’utilisation des informations récoltées et d’écriture (…)“.

Il s’agit là d’un outil de gestion personnel des connaissances… pardon… de PKM qui doit permettre de nous aider à mieux gérer

– notre temps
– notre identité numérique
– nos informations
– notre capital social
– nos compétences

Je n’ai pas encore eu le temps de lire le livre, mais suivre ce blog me paraît vraiment intéressant.

Rappel de la définition de ce qu’est une bibliothèque numérique

Les bibliothèques numériques sont des organisations qui offrent des ressources, y compris en personnel, pour sélectionner, structurer, offrir un accès intellectuel, distribuer et conserver l’intégrité des documents sous un forme numérique. Une bibliothèque numérique garantit également un accès sur la durée aux œuvres électroniques dans le but d’être aisément et à un moindre coût disponibles à un ou plusieurs publics successifs.

(lu sur un billet de 2005 de J.C. Houpier, qui l’a lui-même trouvé sur Digital Libraries : definition, issues and challenges. IFLANET UDT occasional paper. N°8 mars 1998)

Sur ce sujet, je viens de voir qu’un dossier coordonné par Fabrice Papy et intitulé Les “bibliothèques numériques” peuvent-elles être des bibliothèques ? est paru dans la revue Communication & Langages, n° 161, septembre 2009 .

Ce dossier présente une analyse précise du contexte institutionnel, idéologique et technique des projets en cours, (mettant) en évidence la permanence d’un modèle reposant sur une méconnaissance des usages et des besoins de médiation, au bénéfice d’une attente illusoire de l’efficience unique de la technique…

Cette analyse s’appuie sur des “exemples des bibliothèques universitaires et des portails d’information du CNRS (dont) les projets conséquents se trouvent à la confluence de nombreuses démarches d’innovation, et d’expérimentations”.

Je ne l’aurais pas signalé ici ne l’ayant pas lu, mais j’ai trouvé sur le site d’Educnet (qui a fait également un dossier sur les bibliothèques numériques) des résumés qui donnent envie de le lire pour en discuter.

Référence de la revue :
Revue Communications Et Langages, numéro 161 – sept. 2009,
édité par Necplus, nov. 2009
n° ISBN 9782358760140
prix 19 €

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