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Pleade est un progiciel open source et librement téléchargeable permettant la publication, la consultation et la recherche de documents et d’archives numériques (moteur de recherche EAD)

Sur un tout nouveau site interactif à vocation pédagogique “Pleade en pratique” vous trouverez des outils d’apprentissage de ce progiciel, se présentant sous plusieurs formes :
– pages HTML
– fichiers pdf téléchargeables
– vidéos consultables en ligne et téléchargeables au format Windows Media Video.

Sincère bravo à son auteur, Géraldine Moreau, stagiaire chez Anaphore (et non un autre nom, cf commentaire).
Comme quoi certains stages sont vraiment profitables à tout le monde !

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source : liste de diffusion de l’AAF, 12 octobre 2009

Un “guide pour la réalisation de la migration de stocks de CD-R” vient d’être réalisé par les Archives de France. Ses conseils précieux sont présentés dans une note en date du 12 mars dernier.

Sur ce sujet, et pour l’approfondir, voir le billet intitulé “Fiche CD” sur le blog “laffairemakropoulos”, blog toujours intéressant d’un archiviste records manager.

A noter que les 31 mars, 1e et 2 avril se tiendra à Paris, Porte de Versailles (hall 2.2) le salon “Solutions Linux / OpenSource
Il fêtera ses 10 ans. Déjà 10 ans que le monde du Libre trace sa voie.

Quelques thèmes susceptibles d’intéresser :
– Web version 2 et suivantes
– Collaboration 2.0 : les outils du web et réseaux sociaux adaptés à l’entreprise
– des retours d’expérience d’acteurs publics en accès gratuit (dont des bibliothèques et le CNDP)

Je viens de lire un article intéressant d’Hervé Le Crosnier sur le site du Monde Diplomatique intitulé “à l’ère de l’informatique en nuages” et paru en août 2008.

Nous connaissons les nuages de tags. Là, il s’agit d’un autre type de nuages. Une remarque très pertinente à laquelle nous ne pensons pas assez :

On parle de « dématérialisation » pour désigner cette séparation entre le support physique et le contenu. Mais l’expression est illusoire : il faut bien que toutes ces informations soient stockées quelque part, que des tuyaux soient enterrés, des câbles posés au fond des océans… Plutôt qu’à la disparition du support, on assiste à sa transformation. C’est l’un des grands enjeux des batailles qui se livrent actuellement : qui va concentrer la gestion des informations dans ses centres de données, offrir aux particuliers et aux entreprises des outils de stockage et de diffusion ? Qui, finalement, fournira de la puissance de calcul pour toutes les opérations de « traitement de l’information » ?

Nos données fuient nos disques durs pour aller sur des serveurs dont nous ignorons tout et à propos desquels nous ne connaissons que le nom du site à qui nous les confions.
C’est ce système que l’on appelle “informatique en nuages” (cloud computing) car “les données sont réparties sur un nuage de machines, les centaines de milliers d’ordinateurs-serveurs dont disposent les géants du Web“.

Comme toute chose c’est à la fois un bien (plus de puissance, plus de capacités) et un mal (risque de perte d’autonomie). Je vous laisse découvrir l’article.

vrais nuages pour illustrer des nuages virtuels

A titre d’illustration un billet de juillet 2008 sur le blog de vnunet.fr illustre parfaitement les explications d’H. Le Crosnier.
Il parle de l’initiative de trois des plus grands noms de l’industrie technologique prise pour joindre leurs forces dans le cadre d’une nouvelle initiative d’informatique en nuages.

Transnets, le blog de Francis Pisani, signale le livre de Nicholas Carr “The Big Switch : Rewiring the World, from Edison to Google
Ce dernier parle de grandes “fermes de serveurs” qui stockent les informations.
A ce titre, cela met d’après lui “un pouvoir considérable entre les mains des individus, mais (…) encore plus grand entre les mains des compagnies, des gouvernements et autres institutions dont la fonction est de contrôler les individus. Le coeur des systèmes informatiques n’est pas fait de technologies d’émancipation. Il s’agit plutôt de technologies de contrôle

Voir également un billet de mars 2008 réseaux-télécom.net “Plus qu’un an ou deux avant que «L’informatique en nuage» ne soit prête pour l’entreprise, estime Forrester Research“, qui complète bien ce tour d’horizon.

Enfin, aux dernières nouvelles (du 5 oct.), Microsoft aurait un nouveau projet intitulé “Windows Cloud“, qui pourrait être une plateforme accueillant et gérant les logiciels connectés au Net d’où la nécessité d’un nouveau système d’exploitation.
Explications sur
http://www.pcinpact.com/actu/news/46420-windows-cloud-systeme-distribue-ballmer.htm
http://www.generation-nt.com/windows-cloud-ballmer-microsoft-actualite-163881.html
http://www.korben.info/windows-cloud-le-nouvel-os-de-microsoft-pour-les-developpeurs.html

En attendant, pour en savoir plus, il faut attendre à la fin du mois la Professional Developers Conference Microsoft qui aura lieu à Los Angeles.

Interrogations…
==> j’ai toujours eu la tête dans les nuages, mais si mon ordi s’y met aussi… que vais-je devenir 😕
==> ne dirait-on pas que le monde virtuel pénètre dans un trou noir ?

Zut, je l’ai raté ! Il avait lieu du 2 au 8 octobre 2008 au Palais des Congrès à Paris… mais je le note pour l’an prochain.

Il s’agit d’une rencontre annuelle des entreprises avec les professionnels de la gestion de contenu, des flux, de l’éditique et du document numérique.
C’est un “lieu de débats pour faciliter la compréhension des enjeux dans l’appropriation de l’économie numérique”.

Sur le site vous pourrez retrouver – entre autres – un communiqué FAN/SerdaLab/APROGED sur la sortie d’une étude de marché intitulée “Documents et Flux numériques en France : le marché et les tendances en 2008-2009”
Vous trouverez quelques chiffres sur le communiqué

Quelques thèmes du forum concernant documentation et archives :
# Records management et archivage électronique
# Signature électronique
# Moteurs de recherche et gestion documentaire
# Optimisation des flux documentaires

Vous, nous, connaissons le trackback, ce rétrolien (son équivalent français) qui “est un système de liens inter-blogs semi-automatisé. Il permet aux auteurs de relier des billets de blogs” (dixit Wikipédia)

Cette définition insuffisante, est heureusement complétée par Paperbord pour qui un rétrolien est un “Protocole établi pour permettre à des sites Web ou des blogs de communiquer entre eux de façon automatique, en s’alertant mutuellement du fait qu’un billet sur un blog fait référence à un autre billet publié auparavant“.

Et c’est Maoditeverseuse qui en donne la meilleure définition
Protocole établi pour permettre à des sites Web de communiquer entre eux de façon automatique.
Le trackback est particulièrement utile pour les blogs. Il permet à un blog A d’informer un blog B qu’un nouveau post sur A peut l’intéresser. Cela s’effectue par un ping (court message) envoyé de A à B, dès que le post a été publié. A l’inverse, cela permet à un blog de constituer une trace des réactions à ce qu’il publie, même et surtout si ces réactions sont publiées ailleurs sur le Web. Si A publie une réaction à un post de B, B en sera notifié. B pourra alors, à la suite de son post, connaître toutes les réactions émanant d’autres blogs
.”
Je vous conseille d’aller lire les trois lignes supplémentaires de commentaire sur son billet

Mais connaissiez-vous le PINGBACK ?

La définition donnée par Maoditeverseuse m’apporte une première réponse “Méthode qui permet à un blogueur d’être automatiquement informé lorsqu’un lien est établi vers son blog. Présuppose que les blogiciels utilisés par le créateur et le destinataire du lien supportent cette technologie (qui est moins répandue que le trackback).

C’est bien, mais cela me laisse un peu sur ma faim…

Pingback, trackback, même combat…

Pour en savoir plus sur les deux et comprendre ce qu’est le pingback, allez donc voir le billet du Journal du Net intitulé”Expliquez-moi… La différence entre trackback et pingback” et écrit par Xavier Borderie.
Son sous-titre est explicite “Deux spécifications pour une utilisation : la notification de lien. Décryptage de leurs fonctionnements respectifs
Alors pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter cet article.

Et comment je sais ça, moi, d’abord ?

Parce que Pasunclou vient de faire un pingback sur mon billet de février concernant Zotero et que cela m’a intriguée puisque j’ignorais ce mot jusqu’à ce jour.
Ce pingback est fait sous forme d’un commentaire qui fait juste le lien avec son billet intitulé “10 applications Web2.0 pour la rentrée” Car sur son billet il a fait un lien vers mon propre billet (ma phrase est un vrai ‘ping’… j’espère être relativement claire ?)
Alors, merci à lui de m’avoir fait faire cette découverte.

Voici une information (merci Brainsfeed) qui m’intéresse : un livre virtuel, libre, pour découvrir la suite bureautique concurrente de Ms-Office, OpenOffice.
Je suis très tentée par OpenOffice mais craint trop un changement aussi radical non pas tant en termes de nouveaux apprentissages qu’en termes de capacité d’échanges avec ceux qui ne sont pas en libre.
Suis preneuse de toute information sur vos expériences en la matière.

Ce livre de 230 pages (format PDF) s’appelle “Changer pour OpenOffice.org” explique comment faire ses premiers pas dans le monde de la bureautique libre.
Il est gratuitement téléchargeable à partir du site Framabook, le “département” livre de Framasoft (site web qui défend et promeut le développement du mouvement libre).

Pour revoir le B.A. BA du sujet, n’hésitez pas à relire ces 4 pages pdf sur le site de l’APROGED.

Elles analysent les étapes à ne pas manquer et nous font quelques recommandations toujours utiles à se remémorer. La mise à jour serait d’octobre 2007

Un document plus long (32 pages), daté lui d’août 2006, approfondit le sujet, présente les concepts principaux et cherche notamment à sensibiliser les acteurs concernés à la continuité et à l’enchaînement des opérations de ce qui est regroupé sous la désignation “cycle de vie du document numérique.”

Enfin, un livre vert de décembre 2007 intitulé “gestion des documents numériques et de leurs contenus” continue à approfondir le sujet

Et si le sujet intéresse d’une façon plus large, ne pas oublier la revue “Document numérique” qui publie des articles concernant la gestion des documents (vus comme supports ou comme finalité d’un processus)