outils de recherche - articles archivés

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Le nom BASE signifie “Bielefeld Academic Search Engine”

D’après Wikipédia, BASE
<blockquote>effectue l’indexation automatique des bibliothèques numériques utilisant le protocole Open Archives Initiative Protocol for Metadata Harvesting (OAI-PMH).
Il se distingue d’autres moteurs de recherche par sa spécialisation académique, la capacité de trouver des ressources appartenant au Web profond (ou Web invisible, non indexé par les moteurs commerciaux), l’utilisation de la recherche plein texte et la présentation des résultats de recherche accompagnés des données bibliographiques.

Bref, j’ai été y faire un tour et voici ce que j’en pense :

==> hélas il ne donne pas toujours l’accès au texte lui-même. Toutefois, cela arrive… je vous en parlerai dans le billet à venir… car on y trouve des pépites… normal, me direz-vous !

==> à noter que la page d’accueil est en allemand, mais on peut la lire en espagnol, en anglais et en polonais. Mais pas en français. Par contre on peut sélectionner les documents selon leur langue.

Bon, je découvre un moteur que vous connaissez sans doute déjà !
En tout cas, j’ai été l’ajouter dans mes pearltrees “moteurs spécialisés”

Dans son billet intitulé “ Quiki, un nouvel outil de recherche qui propose une expérience de l’information“, Fabrice MOLINARO présente ce nouvel outil de visualisation multimédia de données (textes, images, vidéos, données structurés, etc.). Les résultats de la recherche effectuée sont commentés par le système grâce à une voix de synthèse.
On peut même faire des propositions de sites ou de vidéos.
Qwiki, comme wiki et quick, d’après Hervé Kabla.

La curiosité étant une très belle qualité, je suis allée voir et j’ai tapé ‘archives’.
J’ai été étonnée de constater que la France y ait une belle place. Mais n’ai rien vu/entendu sur la notion de Records management en tant que telle.

Expérience intéressante mais à condition d’avoir le temps : ne pas compter sur une lecture en diagonale. Car ce n’est pas à proprement parler un moteur de recherche. C’est plus près effectivement d’un(e) wikipedia/encyclopédie que d’un moteur de recherche.

Et pour l’instant tout est en anglais.

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quelques autres appréciations ==>

http://altaide.typepad.com/jacques_froissant_altade/2010/10/qwiki-le-futur-de-la-recherche-sur-le-web-.html
http://www.lesnumeriques.com/qwiki-futur-google-impressionnant-news-16611.html
http://www.nicolasbordas.fr/et-si-qwiki-demodait-wikipedia
http://www.fredzone.org/qwiki-le-moteur-de-recherche-du-futur
http://be-virtual.ch/blog/?p=386
http://www.hervekabla.com/wordpress/qwiki-sera-t-il-le-futur-moteur-de-recherche-qui-bousculera-google/
http://www.wikio.fr/high-tech/internet/moteurs_de_recherche/qwiki

Cette liste date d’il y a quelques mois et il en manque quelques uns, mais elle a au moins le très sérieux mérite d’exister.

Je stocke consciencieusement mes favoris sur Delicious et j’apprécie à la fois le ‘garde-mémoire’ qu’il est et le moyen de veille qu’il offre. Et j’en profite pour remercier mes 24 ‘fans’ qui m’accordent leur confiance.
Toutefois, à part le classement fait à l’aide des mots clés classés dans leur répertoire, rien ne permet de visualiser facilement comme avec une carte.

Ayant vaguement entendu parler de Pearltrees, j’ai voulu essayer.
C’est clair et facile d’utilisation en tant que ‘garde-mémoire’. C’est bien aussi en tant que moyen de veille au même titre que Delicious.
Pearltrees peut importer les urls de delicious (ce que je n’ai pas fait) et exporter les données du compte.
J’y vois cependant un inconvénient qui m’agace mais peut-être est-ce moi qui n’ait pas trouvé comment faire, l’url du favori ne s’affiche pas et la page ne s’ouvre qu’à l’intérieur de Pearltrees, ce qui fait que l’url reste cachée.
Le second inconvénient est l’adresse à communiquer ! voyez plutôt si vous voulez voir mon pearltrees
http://www.pearltrees.com/#N-u=1_11629&N-p=995932&N-s=1_155866&N-f=1_155866

Finalement, je vais garder précieusement mon delicious et garder tout de même Pearltrees pour l’instant en y doublant mon aide mémoire mais seulement pour les signets qui me paraissent les plus intéressants. Ensuite, je verrai.

Serge Courrier a mis en ligne un moteur de recherche spécialisé expérimental dédié aux universités françaises via Google-CSE : http://bit.ly/3bivAc

Ceci m’a permis de découvrir que chacun pouvait faire la même chose, à savoir créer son propre moteur de recherche via Google bien sûr sur son thème favori ou en fonction de ses pages.

j’ai adopté Surf Canyon il y a trois mois et j’en suis satisfaite. Cela permet de trouver quelques pépites en plus, ce qui n’est jamais négligeable.
http://genevieve.le-blanc.org/blog/
A chaque lien proposé par votre moteur de recherche, Surf Canyon propose d’autres liens qu’il juge complémentaires à ceux fournis (non proposés ou enfouis au fin fond de la liste).

Voici comment cela se présente

le petit signe de reconnaissance...

Et si l’on clique sur le signe de reconnaissance, voici les nouveaux résultats en lien avec le site proposé par son moteur de recherche

les ajouts par Surf Canyon

Un reproche : il fonctionne parfaitement avec Firefox (et avec Explorer 7.0 dont je ne me sers pas) mais hélas il ne fonctionne pas avec Opéra. Cela viendra peut-être.

___________
voir aussi

http://www.jeanmariegall.com/2008/10/23/surf-canyon-disponibilit-de-la-nouvelle-version-1101-mj/
http://moderateur.blog.regionsjob.com/index.php/post/2008/02/21/Surf-Canyon-:-rendre-Google-plus-intelligent
http://www.outilsfroids.net/news/surf-canyon-un-service-qui-affine-vos-recherches-en-temps-reel

Jérôme Bondu réunit dans son livre blanc “Panorama d’outils de recherche d’informations gratuits et en ligne” des services à utiliser en raison à la fois de leurs capacités et de leur facilité d’utilisation.

Un tableau récapitulatif mis en introduction permet une vision claire des outils sélectionnés… et ainsi de comparer avec ses propres sélections. Une bonne façon de faire des découvertes et éventuellement de remettre en cause ses choix personnels.
Il me semble également particulièrement utile pour les étudiants de découvrir ce genre de tableau et d’établir le leur en n’oubliant pas de le mettre à jour régulièrement.

Bref, des informations utiles puisque J. Bondu explique que son livre blanc peut servir à tous ceux qui répondent à au moins deux de ces quatre critères :


– vous passez au moins 30 minutes par jour à rechercher des informations sur internet,
– vous n’utilisez qu’un seul moteur de recherche (en France 91.2% des recherches sur internet ne se font qu’avec Google),
– vous ne tapez qu’un ou deux mots clés, tout au plus, pour vos recherches (55% des requêtes se font avec un ou deux mots clés maximum),
– vous avez le sentiment de mal utiliser internet !

.

L’auteur annonce aussi qu’un second livre blanc présentera d’autres outils gratuits nécessitant une installation sur nos poste de travail et qu’un troisième traitera des plateformes (payantes) pour avoir des fonctionnalités très performantes.
Pour se tenir au courant de la sortie de ces documents, voir son blog “Inter-ligere.net

J’ai bien aimé qu’il rappelle qu’une bonne recherche commence par une bonne réflexion et qu’en fonction de ce que l’on veut savoir, on sélectionnera les bons outils, qui seront interrogés avec des bons mots clés. Certaines sources sont largement plus riches que le meilleur des moteurs (annuaires, portails spécialisés, …)”.
C’est évident, mais tellement nécessaire de le rappeler !

Le CERIMES (Centre de Ressources et d’Information sur les Multimédias pour l’Enseignement Supérieur) et l’ABES (Agence bibliographique de l’enseignement supérieur) ont créé un nouveau site dédié à la gestion d’une base fédérative de sites de référence.

Ce nouveau catalogue est le résultat d’une mise en commun de ressources web apportées
“par des bibliothèques françaises de l’enseignement supérieur et de la recherche. Ce projet s’enrichit notamment de la participation active de plusieurs Cadist (Centre d’Acquisition et de Diffusion de l’Information Scientifique et Technique), bibliothèques spécialisées dans un domaine scientifique donné

Il est résolument web 2.0 puisque les lecteurs peuvent laisser un commentaire sur la ressource signalée.
Mais attention il est conseillé dans un premier temps de le consulter sous Mozilla FireFox.

Enfin, signalons particulièrement que dans le descriptif – outre le pays d’origine et l’éditeur scientifique – la classification dewey ad-hoc est signalée.

Merci à Colette d’avoir signalé cette nouveauté sur la liste de diffusion de l’ADBS Auvergne

Delicious est un marque-pages bien connu des sites Internet réé fin 2003 par Joshua Schachter dans le but originel de sauvegarder ses marque-pages personnels et racheté fin 2005 par Yahoo.
Il est web2.0 puisque chacun peut y stocker ses propres marque-pages et les partager ainsi avec tout le monde.

Son ancien intitulé del.icio.us correspondait à un jeu de mots et au nom de domaine. Il est devenu delicious.com à mi-2008 en changeant de version.

le logo de deliciousnouveau logo.jpg

Mon Delicious “sphere_doc” = 723 signets depuis le 28 août 2007 et 19 fans (merci à eux pour leur confiance).
J’aime ce partage et j’apprécie la partie “subscriptions” qui permet de faire de la veille sur les thèmes qui intéressent.

Je partage également quelques uns des signets de Delicious sur Grabeuh ainsi que des urls hors monde de l’infodoc pour une mémoire plus généraliste et pour faire connaître quelques pistes infodoc à des non initiés.

Melzoo est un moteur qui présente d’un côté la liste des réponses et de l’autre la page d’accueil de la première réponse, puis de la suivante, etc…

Personnellement, je trouve cela utile.
Merci à Infostratèges de l’avoir signalé.

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