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S’il n’y a qu’une chose à retenir, c’est que cela correspond à une évolution de nos pratiques en trois points fondamentaux qui nous touchent au quotidien qu’on le veuille ou non

1. – JE ==> NOUS
participation collective (blog, wiki, partage des signets…)

2. – CLASSER ==> CHERCHER
la notion de classement a évoluée vers la notion de recherche (tag…)

3 – PJ ==> LIEN
La pièce jointe que l’on envoie sera modifiée dans 2 jours, la personne n’aura alors plus la bonne version. Envoyer un lien vers le document, celui-ci sera toujours d’actualité

source : Barcamp de Lille le 24 mai dernier “usages et entreprises 2.0”, intervention de Louis Naugès que je vous suggère d’aller regarder sur http://barcamplille.novastream.fr/tv/ ainsi que les autres interventions

Un point intéressant a été fait lors du barcamp de Lille en mai 2008 organisé par l’ESC Lille sur l’intégration progressive des technologies du web 2.0 dans les entreprises.
Les vidéos sont accessibles.
A noter celles de
– Louis Naugès (digital natives),
– Pierre Mongin (mindmapping),
– Bertrand Duperrin (Entreprise 2.0 pour manager l’intelligence collective au quotidien),
– Emilie Ogez (L’identité, la réputation et le recrutement numériques),
– Christophe Willaert (web sémantique)
tous bien connus dans leur spécialité.

Une page de présentation pour en savoir plus

Merci à Klog… toujours indispensable de lire son blog !

Les CCI sont des établissements publics administratif un peu particuliers puisqu’ils peuvent exploiter non seulement des services publics industriels et commerciaux.
Ils sont présidés et administrés par des personnalités élues par leurs pairs.

Quelques chiffres :
21 chambres régionales, 150 chambres locales et 5 groupements interconsulaires avec des chambres des métiers constituent l’ensemble
5.200 élus, 30700 agents dont les 8/10e sont des agents publics
budget global de 4 milliards d’euros
répartition des dépenses : 1,4 milliard : appui aux entreprises / 1,3 milliard : gestion des ports et des aéroports / 1 milliard : formation

histoire
Il faut remonter à 1599 à Marseille sous Henri IV pour retrouver trace des ancêtres des CCI avec les “députés du commerce” mis en place par le Conseil de ville et dont la mission consistait à exprimer l’avis des professionnels auprès des pouvoirs publics.
Depuis, sauf la période révolutionnaire (1791-arrêté des Consuls du 3 nivôse an IX (23 décembre 1802), elles n’ont cessées de se développer.
1832, une ordonnance royale de Louis-Philippe élargit leur corps électoral
1872, un décret élargit encore leur corps électoral
1898, la loi organique du 9 avril réglemente leur fonctionnement et définit leurs missions
1918, les CCI se regroupent
1964, création des chambres régionales & l’assemblée permanente (APCCI) devenue ACFCI depuis
2003, ordonnance du 2 juilllet prévoyant une modification profonde ds modalités d’élection des membres des conseil d’administration des CCI
2004, loi de finances rectificative : les AG des CCI sont autorisée sà voter elles-mêmes le taux de la taxe additionnelle à la taxe professionnelle
2005, loi du 2 août (titre VII) précisant le contenu des activités confiées aux CCI

Un prix d’histoire consulaire a été créé en 1991 avec pour objectif de contribuer à améliorer et à valoriser la connaissance du passé des Chambres de Commerce et d’Industrie. A ce titre, il promeut les ouvrages et les thèses traitant de l’Histoire des Compagnies Consulaires.

La réforme 2008 :
– changement dans les modalités électorales
– refonte du système de financement
– clarification des missions
– allègement de la tutelle administrative
Cette dernière a transféré la tutelle du réeau des CCI aux services déconcentrés de l’Etat dans les départements et les régions

CCI & documentation

Toute documentaliste oeuvrant dans la sphère économique connaît les centres d’information et de documentation des CCI.
L’organisation de ces services est la suivante :
. 254 espaces “entreprendre” pour les porteurs de projets
. 25 agences régionales d’information scientifique et technique
. 1 service permanent à Bruxelles : “Euro-info chambres
. le site www.cci.fr avec 2,2 millions de pages
. 262 centres de formalités des entreprises
Des bases de données (Sémaphore® est la base de données du réseau des Chambres de Commerce et d’Industrie sur les aides aux entreprises)

Sources

– Voir le dossier “chambres de commerce, la nouvelle organisation” parue dans la revue “Industries” n° 131, avril 2008 (p. 11 & s.). Ce dossier réalisé par Laurence Chesnais, Florence Pijaudier-Cabot et Didier Willot est téléchargable sur le site du Ministère de l’Industrie

– http://www.acfci.cci.fr/histoireconsulaire/repereshistoriques.htm
– http://www.montauban.cci.fr/cci/cci82/histoirecci.htm

Sur le blog de l’EBSI, un billet intéressant sur le sujet expliquant que sur del.icio.us on ne peut pas retrouver l’archivage d’un site dont le lien est cassé alors que sur les autres oui.

Je vous conseille d’aller le lire

Nous connaissons tous le corpus en ligne des documents scientifiques parus en matière de sciences humaines et sociales “Revues.org” qui engrange les articles scientifiques .
En toute logique, un moteur de recherche appelé in-extenso.org permet de repérer, d’indexer et d’élargir leur visibilité.
Je vous propose d’aller lire sur le site de Revues.org ce qui est écrit à propos de ce moteur de recherche.

Il existe depuis 2006, mais cela ne fait pas de mal de rappeler son existence.

Un moteur de recherche spécialisé dans la recherche des entreprises.
Il est mis à disposition par Activsources
La recherche ne se fait pas par nom d’entreprise, mais par type d’activité.
Elle se fait sur tous les sites principaux d’annuaires d’entreprises.
Ex. vous cherchez toute entreprise ayant une activité concernant les journaux. Vous tapez “journal” et vous avez une liste de réponses par type d’activité (encre, machines, papier nécessaires à la fabrication d’un journal)
Possibilité de sélectionner par pays, par annuaire (dont Kompass, Bottin, Europages, Thomas, etc…) ou par mot-clé
Pour lire les réponses il faut s’inscrire. C’est gratuit, mais comme d’hab, lire attentivement leurs conditions générales.

A défaut, cela permet au moins de trouver des urls de sites annuaires 😉

Source : merci la liste de BrainsFeed

Brainsfeed, sur sa liste de diffusion, nous informe d’un site qui liste tous les moteurs de recherche nationaux et régionaux.
Résultat : 4017 moteurs de recherche pour 222 territoires.
Mais attention, tous les liens ne sont pas performants, voire même ne devraient pas être là car certains sont purement commerciaux.
Pour la France, 75 moteurs attendent votre clic, dont certains concernent en propre les lieux suivants
– Bretagne,
– Cantal
– Charente,
– Corse,
– Côte d’Armor
– Côte d’Azur & Riviera
– Côte basque,
– Ille & Vilaine,
– Languedoc-Roussillon,
– Limousin,
– Normandie,
– Val de France (Sarcelles,Villiers-le-bel,Arnouville-lès-Gonesse et Garges-lès-Gonesse). Mais moteur “en construction”
– Lyon
– Paris (ParisWeb a un souci)
– St Malo
Les mises à jour sont trimestrielles.

Son auteur est anglais et consultant spécialiste d’Internet.

C’est ce que l’on peut appeler des “minimoteurs” à l’opposé des “métamoteurs” 🙂

Le Bureau de l’information scientifique et technique du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche définit ainsi l’information scientifique :

(elle) regroupe l’ensemble des informations produites par la recherche et nécessaires à l’activité scientifique comme à l’industrie.
De par sa nature, l’IST couvre tous les secteurs scientifiques et techniques et se présente sous de multiples formes : articles, revues et ouvrages scientifiques, spécifications techniques décrivant des processus de fabrication, documentation technique accompagnant les produits, notices de brevet, bases de données bibliographiques, littérature grise, banques de données brutes, archives ouvertes et entrepôts de données accessibles sur internet, portails, etc …

Il est bien difficile de se faire une idée précise de ce que cela représente tant en volume quantitatif qu’en retombées économiques.

Afin de pallier à cette difficulté, le GFII lance une étude sur les publications des chercheurs scientifiques techniques et médicaux afin de dessiner le panorama de l’édition scientifique et préparer la construction d’indicateurs chiffrés fiables pour une meilleure connaissance de l’édition scientifique, technique et médicale.
Il a le soutien du Bureau de l’information scientifique et technique du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Cette étude s’intitule « Réalisation et expérimentation de scénarios économiques dans le domaine de l’édition scientifique, technique et médicale »

Le GFII a également en charge une étude similaire initiée par le TGE Adonis (*) pour les publications des chercheurs en sciences humaines et sociales.
Il s’agit non seulement des revues scientifiques en SHS, mais aussi des monographies, des archives institutionnelles ou thématiques et des bases de corpus de données factuelles.

Ne pas oublier d’aller lire le point de vue de la ‘partie adverse’ rappelé sur le site d’EurActiv.com, à savoir l’Association internationale des éditeurs d’informations scientifiques, techniques et médicales

Décidément, les choses progressent en matière d’édition numérique.

____________

(*) TGE Adonis (CNRS)
TGE : Très grand équipement
ADONIS : accès unifié aux données et documents numériques des sciences humaines et sociales
Le TGE-ADONIS se tourne vers la multiplicité des opérateurs nationaux comme internationaux en vue d’un développement concerté autour des problématiques liées au numérique pour les SHS.

sources :
http://prosper.inist.fr/article.php3?id_article=506
http://prosper.inist.fr/article.php3?id_article=488
http://www.euractiv.com/fr/science/libre-acces-publications-scientifiques-controverse/article-161765
http://www.gfii.asso.fr/
http://openaccess.inist.fr/

Si vous allez sur Del.icio.us ou toute autre page similaire vous pourrez remarquer que certains ne mettent que le strict minimum d’une url alors que d’autres, inversement, mettent l’intégralité.

Je m’interrogeais toujours jusqu’ici sur la justification de mon choix de faire au plus bref lorsque je signale la page d’accueil d’un site.
Avais-je tort ? avais-je raison ?

Aujourd’hui, avec le changement de logiciel du site de l’ADBS je viens de comprendre pourquoi j’ai raison (il n’est jamais trop tard…)

Si vous avez mis dans vos signets http://www.adbs.fr/ vous n’avez pas de souci
Si vous avez mis http://www.adbs.fr/site/… râté ! vous avez tout faux ! votre lien est cassé depuis ce matin

En effet le était le point de départ de toute l’arborescence, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui et lorsque l’on écrivait automatiquement l’adresse se transformait en

Ce pourrait être la même chose avec n’importe quel autre site.
Exemple http://www.tartempion.fr et http://www.tartempion.fr/index.htm

Conclusion : soyez pingre de vos forces et n’enregistrez que le strict minimum.

A noter que la présence d’un / est neutre après l’adresse pour accéder à la page, mais il permet à l’informatique de comprendre qu’il y a d’autres choses derrière et d’afficher plus rapidement la page.
Je n’ai jamais été convaincue de la chose, mais c’est un informaticien qui me l’a dit.

Remarque ==>
De surcroît, l’inconvénient des deux écritures possibles réside dans le fait que lorsque l’on enregistre une url d’une façon plutôt que d’une autre cela cache que le lien est peut être déjà utilisé dans l’écriture que l’on n’a pas choisi.

J’aurais pu mettre en titre : B.A. ba sur le cadre juridique d’Internet, mais finalement j’ai préféré parler de webmestre. Cela me paraît plus clair à défaut d’être plus pédant !

Pas facile de ne rien oublier lorsque l’on veut mettre en ligne son propre site.

Voici mon petit mémo sur le sujet
– trouver le nom identitaire de ses pages (par rapport à sa fréquence ou s’il n’est pas déjà déposé)
– identifier l’adressage le plus adéquat (.fr .com. etc…)
– connaître les règles en matière de droit d’auteur et de propriété intellectuelle que l’on souhaite appliquer au contenu (copyright ou pas)
– connaître les formalités déclaratives de son site (obligatoires ou pas auprès de la CNIL)
– s’assurer du respect des règles techniques (cookies…)
– veiller à mettre dans le code source les informations qui permettent d’assurer une bonne connaissance de son site auprès de ses lecteurs et une bonne prise en compte par les moteurs de recherche

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