Depuis le 4 octobre, il ne s’agit plus d’un regroupement informel d’associations représentatives du monde de la culture et de l’information doté d’un porte-parole, mais bel et bien d’une fédération officielle toujours dénommée “Interassociation archives bibliothèques documentation“.

Rappel des 15 membres (fondateurs) de l’IABD :
– l’AAF (Association des archivistes français),
– l’ABF (Association des bibliothécaires de France),
– l’ACIM (Association de coopération des professionnels de l’information musicale),
– l’ADBDP (Association des directeurs de bibliothèques départementales de prêt),
– l’ADBGV (Association des directeurs des bibliothèques des grandes villes),
– l’ADBS (Association des professionnels de l’information et de la documentation),
– l’ADBU (Association des directeurs et des personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation),
– l’ADDNB (Association pour le développement des documents numériques en bibliothèque),
– l’ADRA (Association de développement et de recherche sur les artothèques),
– l’AIBM-France (Association internationale des bibliothèques, archives et centres de documentation musicaux. Groupe français),
– l’AURA (Association des utilisateurs de l’agence bibliographique nationale),
– le CFI-bd (Comité français international bibliothèques et documentation),
– la FADBEN (Fédération des enseignants documentalistes de l’Education nationale),
– la FULBI (Fédération des utilisateurs de logiciels pour bibliothèques, information et documentation),
– Interdoc (Association des documentalistes de collectivités territoriales).

Le naissance du regroupement date de 2003. Temps à apprendre à se connaître et à mutualiser ses forces, qui débouche sur une force vive, espérons-le.

Ses objectifs :

Dans le communiqué expliquant les actions à mener, deux me paraissent fondamentales :

(…)
– promouvoir et faire connaître les missions, activités et services des organismes oeuvrant pour la collecte, la conservation, la mise en valeur et la diffusion des œuvres de l’esprit et de l’information, quels qu’en soient les supports ;
– être force de proposition lors de la définition des politiques publiques dans le cadre des traités internationaux, des législations européenne et française (…)

L’ENSSIB souligne que le premier objectif annoncé de la fédération est de favoriser l’accès du plus grand nombre à l’information et à la culture. Personnellement je pense que ce point ne pourra être que la résultante des autres actions.

Longue vie à cette nouvelle Fédération pour des actions énergiques, efficaces et percutantes.
Voir en exemple la dernière action menée avant de devenir une fédération sur le site de l’ADBS.