La guerre est toujours ouverte entre pierre, papier, ou informatique pour la conservation des données.
Le contenu informatif de la pierre de Rosette nous serait-il parvenu s’il avait été sous forme de papyrus, de papier ou de fichier informatique, de verre ou de silicium ?? vaste débat.
La pérénité des uns ou des autres supports (efficace ou incertaine selon les avis) est toujours en discussion.

Alors notons dans cette guerre d’usure que le Centre d’enfouissement de déchets radioactifs de la Manche (aujourd’hui fermé) a tranché. Tenu d’archiver les informations concernant les déchets pour une durée minimum 300 ans, il a choisi un papier permanent, utilisable avec une encre résistante.

Voir le billet intéressant de Transfert.net sur ce sujet.
Et ce qu’en disent :
– l’IFLA, “le papier permanent, une idée raisonnable
– la BNF “le papier permanent“, article d’Astrid Brandt