Lorsque l’on parle des aspects juridiques de la documentation, trois points essentiels sont traités :

– la propriété intellectuelle (droit d’auteur, droit de copie, transfert de données…)

– les bases de données (droits du producteurs et de l’utilisateur)

– les aspects numériques d’Internet et des intranets (mentions légales, restrictions d’accès, contrats, archivage électronique…)

Mais il en est un quatrième qui est très rarement cité, celui de la responsabilité du documentaliste qui fournit des informations.
Cela passe par la qualité et la fiabilité des informations qu’il répercute et éventuellement de l’interprétation qu’il en fait.