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Il s’agit de Searchcrystal

Il présente le résultat sous forme graphique, succession de cercles représentant les moteurs. Plus les url sont proches du rond central plus leur place est importante dans les résultats. Cela permet de voir par quel moteur a été trouvé le site.
Et l’on peut spécifier un type de recherche : web, images, videos, news, blogs, tags, mashup, wikipedia.
En fonction du type déterminé, Searchcrystal déterminera les moteurs les plus efficaces.

Vous pourrez également
– envoyer votre résultat de recherche à vos amis et également importer le graphique sur votre blog
– étirer ou rétrécir les cercles afin d’y voir plus clair
– voir le positionnement du résultat dans les moteurs en positionnant votre souris sur le petit logo triangulaire devant le résultat

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sources
http://tweeby.com/feed.php?y=2007&m=07&d=14
http://www.realclic.com/blog/?p=28

Les CCI sont des établissements publics administratif un peu particuliers puisqu’ils peuvent exploiter non seulement des services publics industriels et commerciaux.
Ils sont présidés et administrés par des personnalités élues par leurs pairs.

Quelques chiffres :
21 chambres régionales, 150 chambres locales et 5 groupements interconsulaires avec des chambres des métiers constituent l’ensemble
5.200 élus, 30700 agents dont les 8/10e sont des agents publics
budget global de 4 milliards d’euros
répartition des dépenses : 1,4 milliard : appui aux entreprises / 1,3 milliard : gestion des ports et des aéroports / 1 milliard : formation

histoire
Il faut remonter à 1599 à Marseille sous Henri IV pour retrouver trace des ancêtres des CCI avec les “députés du commerce” mis en place par le Conseil de ville et dont la mission consistait à exprimer l’avis des professionnels auprès des pouvoirs publics.
Depuis, sauf la période révolutionnaire (1791-arrêté des Consuls du 3 nivôse an IX (23 décembre 1802), elles n’ont cessées de se développer.
1832, une ordonnance royale de Louis-Philippe élargit leur corps électoral
1872, un décret élargit encore leur corps électoral
1898, la loi organique du 9 avril réglemente leur fonctionnement et définit leurs missions
1918, les CCI se regroupent
1964, création des chambres régionales & l’assemblée permanente (APCCI) devenue ACFCI depuis
2003, ordonnance du 2 juilllet prévoyant une modification profonde ds modalités d’élection des membres des conseil d’administration des CCI
2004, loi de finances rectificative : les AG des CCI sont autorisée sà voter elles-mêmes le taux de la taxe additionnelle à la taxe professionnelle
2005, loi du 2 août (titre VII) précisant le contenu des activités confiées aux CCI

Un prix d’histoire consulaire a été créé en 1991 avec pour objectif de contribuer à améliorer et à valoriser la connaissance du passé des Chambres de Commerce et d’Industrie. A ce titre, il promeut les ouvrages et les thèses traitant de l’Histoire des Compagnies Consulaires.

La réforme 2008 :
– changement dans les modalités électorales
– refonte du système de financement
– clarification des missions
– allègement de la tutelle administrative
Cette dernière a transféré la tutelle du réeau des CCI aux services déconcentrés de l’Etat dans les départements et les régions

CCI & documentation

Toute documentaliste oeuvrant dans la sphère économique connaît les centres d’information et de documentation des CCI.
L’organisation de ces services est la suivante :
. 254 espaces “entreprendre” pour les porteurs de projets
. 25 agences régionales d’information scientifique et technique
. 1 service permanent à Bruxelles : “Euro-info chambres
. le site www.cci.fr avec 2,2 millions de pages
. 262 centres de formalités des entreprises
Des bases de données (Sémaphore® est la base de données du réseau des Chambres de Commerce et d’Industrie sur les aides aux entreprises)

Sources

– Voir le dossier “chambres de commerce, la nouvelle organisation” parue dans la revue “Industries” n° 131, avril 2008 (p. 11 & s.). Ce dossier réalisé par Laurence Chesnais, Florence Pijaudier-Cabot et Didier Willot est téléchargable sur le site du Ministère de l’Industrie

– http://www.acfci.cci.fr/histoireconsulaire/repereshistoriques.htm
– http://www.montauban.cci.fr/cci/cci82/histoirecci.htm

Sur le blog de l’EBSI, un billet intéressant sur le sujet expliquant que sur del.icio.us on ne peut pas retrouver l’archivage d’un site dont le lien est cassé alors que sur les autres oui.

Je vous conseille d’aller le lire

Ce qui intéresse ce moteur de recherche américain, ce ne sont pas les mots clés des pages, mais uniquement les avis formulés par les utilisateurs sur un produit.
Suggestion : faites un test avec le mot ‘Zotero’ 😉 (sujet du billet précédent)

Le top : on peut combiner Google (pour sa recherche par mots clés) et Omgili (pour sa recherche sur les points de vue des utilisateurs)
Google+Ombili = http://google.omgili.com

Ce moteur a aussi un blog informatif.

source point de départ : merci Brainsfeed

A partir d’avril, ouverture d’une nouvelle plate-forme, une cinémathèque européenne en ligne gratuite, baptisée European Film Treasures mise en place sous l’impulsion de Serge Bromberg.
Elle est présentée par l’Essentiel comme étant “à mi-chemin entre l’INA et YouTube

Grâce à un partenariat avec 37 fonds d’archives et cinémathèques en Europe, elle diffusera des images et des longs métrages d’il y a plus de 50 ans.
Ces films pourront bien sûr être visionnés gratuitement, mais ne seront pas téléchargeables et seront dans leur langue d’origine (traduction possible prévue)

Son financement se fait pour moitié grâce au programme européen pour l’industrie audiovisuelle européenne.

sources :
l’Essentiel, journal luxembourgeois
– dans le “petit précis du curieux” sur le site de Télérama, 19 février 2008
les archives à l’affiche
– et plein d’autres sites

Avant Internet – pour ne pas commencer en disant “autrefois,…” – et jusqu’à aujourd’hui les Centre Interministériels de Renseignements Administratifs sont une bonne mine pour démarrer une recherche.

Neuf centres répartis sur tout le territoire ont chacun une dizaine de personnes et à ce jour encore ~7.000 clients journaliers.

Leurs objectifs ?

  • Faciliter l’accès des usagers à la connaissance de leurs droits et obligations ; à cet effet, ils fournissent par téléphone toutes informations administratives et tous renseignements de nature à leur faciliter l’accomplissement des formalités et démarches d’ordre administratif.
  • Contribuer à l’amélioration des relations entre les usagers et les services publics en proposant des mesures de simplifications administratives et en suggérant les modifications qu’il paraît opportun d’apporter aux textes législatifs et réglementaires.
  • Apporter leur concours aux services publics en matière d’accueil et d’information administrative du public.
  • .

    Pour en savoir plus sur eux,

  • aller sur le site des services du Premier Ministre dont ils dépendent ;
  • un powerpoint sur le site du projet de réflexion collective de la FING “Nouvelles Proximités Publiques (*)
  • .

    La mode étant au regroupement, il ne restera bientôt plus qu’un seul centre dans l’objectif officiel est de permettre d’avoir en un seul lieu tous les spécialistes susceptibles de répondre aux questions. Mais avec en fond, comme toujours dans ces cas, les difficultés humaines pour le personnel des lieux autres que celui qui deviendra le centre unique.

    Centre unique ? et si pour une fois ce n’était pas Paris ?

    Merci à Stéphane Cottin de nous avoir signalé cela hier dans son blog “ServiceDoc”

    (*) explication sur le projet
    Dans ce projet, les partenaires se donnent pour objectif de créer les conditions d’une réflexion collective, rassemblant un grand nombre d’acteurs publics ou associatifs, sur le sujet de la réorganisation des services publics au niveau local. Dans cette problématique globale, les questions de la médiation, des services de proximité, et des services électroniques ont été placées au coeur des débats.
    Le groupe de travail est constitué d’acteurs publics ou associatifs, se situant à la croisée de ces problématiques : acteurs publics, acteurs sociaux, acteurs politiques, aménageurs du territoire, chercheurs.

    Pourquoi ce billet ?

    – Parce que j’ai toujours veillé à ce que mes étudiants nancéens à qui je devais apprendre à réaliser leur quatrième de couverture pour leur rapport de stage ouvrier puissent donner une information homogène sur les entreprises où ils réalisaient leur stage. Le but étant de pouvoir reprendre ces informations harmonisées dans la base de données de la bibliothèque.

    – Parce qu’en tant que responsable de centres de documentation, je voulais qu’au fil des intervenants, des consultants et des années l’interrogation de recherche puisse se faire sur une base officielle, applicable par tous et garantir la pérennité des intitulés.

    – Parce que j’ai voulu signaler un changement d’édition du code NAF : il évolue au 1e janvier 2008.

    Quelques explications

    Chaque entreprise se voit attribuer à sa naissance quatre numéros d’identification :

    Le numéro SIREN
    Il est enregistré dans le répertoire SIRENE® (Système Informatique pour le Répertoire des Entreprises et de leurs Établissements) créé par un décret de 1973 et dont l’accès est payant
    Il est composé de 9 chiffres par groupe de trois.
    Quatre possibilités pour retrouver ce numéro : Euridile (site officiel du Registre National du Commerce et des Sociétés en partie gratuit), Cofacerating et Societe.com et Verif
    Il est obligatoire et doit figurer sur tous les documents de l’entreprise (plaquettes de communication, factures, courrier…)
    Il correspond en quelque sorte à notre n° de Sécurité sociale unique par individu.

    Le numéro SIRET
    Il identifie géographiquement l’établissement d’une entreprise
    Il se compose de 14 chiffres correspondant au SIREN (9 chiffres) + le NIC (5 chiffres). Il peut donc y avoir plusieurs SIRET à partir d’un seul SIREN si l’entreprise à plusieurs établissements.
    Tout établissement reçoit un SIRET, même pour une entreprise qui exploite un établissement unique. Un numéro attribué à l’établissement d’une entreprise donnée n’est plus jamais utilisé au profit d’un autre établissement de cette entreprise.
    L’unité SIRET est liée à la personne (au sens juridique). Si plusieurs unités SIREN exercent leur activité dans un même lieu, elles y exploitent autant d’unités SIRET différentes.
    L’unité SIRET est localisée. Une unité SIREN est constituée d’autant d’unités SIRET qu’il y a de lieux différents où elle exerce son activité.

    Le code NAF (Nomenclature des Activités Françaises)
    Anciennement code APE, cette nomenclature liste l’ensemble des activités économiques en attribuant à chacune un code.
    L’organisme déclaré reçoit le n° qui correspond à l’activité qu’il a décrit lors de son inscription à l’INSEE
    On peut consulter la liste sur le site de l’INSEE
    Attention : la NAF est révisée et va être appliquée à partir de janvier 2008 afin de mieux harmoniser les niveaux mondial, européen et français et favoriser les comparaisons au niveau international.
    Explications sur cette révision et sa mise en application sur le site de l’INSEE

    le n° de TVA intracommunautaire
    dont je ne parlerai pas plus car il est hors de notre sujet.

    ___________________

    Sources :
    http://www.motamot.com/zoompages/siret.html
    http://www.sirene.tm.fr/fenetre/fenetre.asp?contenu=siret
    http://www.insee.fr/fr/nom_def_met/nomenclatures/naf-cpf_2008/naf2008.htm
    http://cybervigie.com/magazine.php3?id=28

    Pour ceux qui connaissent le monde des archives ouvertes, j’enfonce des portes ouvertes (sic).
    Pour les autres qui s’intéressent au sujet ou qui ont un besoin ponctuel en matière de littérature grise … qui est de moins en moins grise :-), je vous propose d’aller sur le site http://www.archives-ouvertes.fr/
    Son serveur appelé “Hal” (qui veut dire “Hyper Articles en Ligne”) permet de “déposer et de rendre publics des documents scientifiques de toutes les disciplines. Le dépôt est fait soit par un des auteurs du document ayant l’accord des autres auteurs, soit par une personne autorisée (documentaliste de laboratoire par exemple)”.

    Il donne accès aux portails suivants :

    un portail générique pour accéder à
    – des articles
    – des thèses
    – des cours

    cinq portails thématiques, citons ceux qui vous intéresseront sans doute le plus
    – sciences de l’environnement
    – éducation & technologies de l’information & de la communication
    – sciences de l’information et de la communication

    trois portails institutionnels concernant
    – les établissements de recherche
    – les grandes écoles
    – les universités

    Un portail spécifique aux sciences de l’homme & de la société

    Les bases de données (juridiques) en ligne : état des lieux
    Ce point a été réalisé par “Village de la Justice” qui est le site de la communauté des professions du droit (déjà 10 ans en 2007)
    J’ai trouvé cette info grâce à EchosDoc.

    voir http://www.village-justice.com/articles/bases-donnees-juridiques-ligne,2780.html

    Sur le Journal du Net, un billet très important à mes yeux : “il répertorie, de manière non exhaustive, les associations, professionnelles ou autres, syndicats et lobbies du Web. Seuls les mouvements/sites ayant une existence spécifique sur Internet ou nés grâce à ce support ont été retenus

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