En vérifiant un lien mis dans un ancien billet sur mon blog perso, j’ai eu la surprise d’avoir un message comme quoi ce site était dangereux pour mon ordinateur…

message de dangerosité

Heureusement, par le plus grand des hasards, je suis ‘tombée’ sur un billet du Journal du Net d’hier intitulé “Les dessous du bug mondial essuyé par Google” qui m’a rassurée. N’hésitez pas à aller lire l’explication.

Pourtant, je viens de recliquer sur mon lien et j’ai toujours le message de dangerosité, alors que si je cherche l’url par le biais d’une recherche sur Google, l’accès à la page est tout à fait normal.
Donc à mon avis, il reste un petit souci pour Google.
Il s’agit d’un excellent site qui présente en 3D l’exposition universelle de 1900 comme si vous y étiez ainsi que le Paris moyen-âgeux de Robida.

Delicious est un marque-pages bien connu des sites Internet réé fin 2003 par Joshua Schachter dans le but originel de sauvegarder ses marque-pages personnels et racheté fin 2005 par Yahoo.
Il est web2.0 puisque chacun peut y stocker ses propres marque-pages et les partager ainsi avec tout le monde.

Son ancien intitulé del.icio.us correspondait à un jeu de mots et au nom de domaine. Il est devenu delicious.com à mi-2008 en changeant de version.

le logo de deliciousnouveau logo.jpg

Mon Delicious “sphere_doc” = 723 signets depuis le 28 août 2007 et 19 fans (merci à eux pour leur confiance).
J’aime ce partage et j’apprécie la partie “subscriptions” qui permet de faire de la veille sur les thèmes qui intéressent.

Je partage également quelques uns des signets de Delicious sur Grabeuh ainsi que des urls hors monde de l’infodoc pour une mémoire plus généraliste et pour faire connaître quelques pistes infodoc à des non initiés.

Melzoo est un moteur qui présente d’un côté la liste des réponses et de l’autre la page d’accueil de la première réponse, puis de la suivante, etc…

Personnellement, je trouve cela utile.
Merci à Infostratèges de l’avoir signalé.

…en tant qu’employés dans la généralité et pas par rapport à un métier particulier. C’est la réponse qu’apporte un billet du blog canadien “Lesaffaires.com“.
Ce n’est jamais inutile de voir comment les autres nous perçoivent car il y a forcément une part de vérité que nous découvrons 😉

MoReq ?
MoReq signifie en anglais Model Requirements for the Management of Electronic Documents and Records. En français, il s’agit du Modèle d’exigences pour l’organisation de l’archivage
électronique.
.
C’est une approche opérationnelle de la norme de gestion des documents d’archives ISO 15489.

L’objectif
Il s’agit d’unifier au niveau européen les standards des logiciels de Records management et les pratiques qui leur sont associées pour permettre aux organismes publics et gouvernementaux et aux entreprises une approche identique pour gérer le volume d’informations électroniques.
C’est d’autant plus précieux pour les entreprises aux multiples implantations européennes qui auront ainsi des règles identiques.

MoReq a été mis en place en 2001, mais l’évolution rapide des choses a nécessité un développement de MoReq, appelé MoReq2. Elle prend en compte plus de 170 remarques et propositions d’amélioration dues à des experts de 18 pays différents, a été publiée en février 2008

moreq2.jpg

Si le texte intégral n’est pas encore mis en ligne, la direction des Archives de France met à disposition depuis début décembre sur son site la traduction française du texte principal de MoReq2, accompagnée d’un chapitre préliminaire consacré à l’environnement français (principes de traduction, environnement normatif, bibliographie,présentation de l’évolution, etc…)
Les annexes sont également disponibles.
Cette traduction a été faite par Marie-Anne Chabin, bien connue du monde des archives et présidente d’Archive17

En conclusion,
je trouve encore plus d’actualité la conclusion d’un article paru en déc. 2005 dans la Gazette du CINES (Centre Informatique Nationale de l’Enseignement Supérieur ) qui soulignait déjà à l’époque que les efforts à faire en priorité ne sont pas d’ordre technique mais d’ordre culturel ou organisationnel.

Si vous souhaitez approfondir

==> voir un schéma de l’ensemble des standards concernant l’archivage dans le commentaire de Atle Skjekkeland sur le blog d’Informationzen.org pour mieux situer MoReq2 dans l’ensemble des standards ERM

==>voir également le document “Conservation à long terme des documents numérisés” du Ministère de la Culture” pour une présentation thématique des ressources accessibles en ligne. “Y sont abordés des thèmes tels que les normes et standards, les coûts de l’archivage électronique, les formats de données, les métadonnées”.
http://www.culture.gouv.fr/culture/mrt/numerisation/fr/technique/documents/conservation.pdf

___________________________
Sources

http://www.moreq2.eu/
http://www.moreq2.eu/downloads.htm
http://ec.europa.eu/transparency/archival_policy/moreq/index_fr.htm
http://ec.europa.eu/transparency/archival_policy/moreq/doc/calltender_ann9_en.pdf
http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/actus/publications/moreq2/
http://www.itiforums.com/itiforums_V3.com/fichiers/2007_06_22_14_41_15_04___Chabin___MoReq.pdf
http://www.serco.com/markets/consulting/whatwedo/infoservices/electronicdocuments/moreq/
http://dlmforum.typepad.com/dlm/
http://www.itrmanager.com/articles/72395/open-text-engage-standard-moreq2.html
http://coffrefortelectronique.wordpress.com/2008/07/21/conservation-a-long-terme-des-documents-numerises/
http://coffrefortelectronique.wordpress.com/2007/01/11/archivage-perenne-des-documents-numeriques/
http://www.cines.fr/IMG/pdf/Gazette20_.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/Model_Requirements_for_the_Management_of_Electronic_Documents_and_Records

et pour mémoire, des pistes intéressantes sur l’archivage électronique :
http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/gerer/records-management-et-collecte/
http://www.megapreuve.org./documents/archivage.pdf
http://www.adbs.fr/records-management-29391.htm?RH=ACCUEIL

source de l’image : http://dlmforum.typepad.com/dlm/2008/02/moreq2-is-publi.html

En parcourant le blog “le fil d’ariane” réalisé par une étudiante canadienne principalement sur les archives mais pas seulement, j’ai lu avec intérêt son billet intitulé “Avis aux responsables des ressources humaines des entreprises et autres institutions” sur le blog

Elle rappelle qu’un professionnel en sciences de l’information est une personne qui possède les compétences pour organiser l’information elle-même, afin de faciliter son repérage, son traitement, sa gestion. En bref, pour faciliter la gestion courante des affaires et tirer pleinement parti de l’investissement technologique des organismes. Et qu’à ce titre il soit membre associé dans une équipe pleinement multidisciplinaire aux compétences complémentaires.

Pour ce qui concerne l’incendie, voici les types d’extincteurs possibles
– poudre exclusivement
– eau avec additif
– eau sans additif
– dyoxide de carbone
– système mixte avec plusieurs extincteurs différents dans le même local.

Les extincteurs à poudre
Les spécialistes en matière de sauvegarde des documents sont très réservés sur les extincteurs à poudre qui contiennent une substance qui s’insinue partout et va tacher irrémédiablement ou même attaquer le papier ; en effet, cette poudre est abrasive et mélangée à l’eau elle devient fortement corrosive (bonjour nos documents !). Elle est très nocive pour le métal qui se corrode alors (y compris les systèmes de désenfumage et de climatisation).
D’autre part, il s’agit d’une “poudre blanche qui peut difficilement être enlevée après un sinistre“.
Enfin – c’est un point capital – si l’on est dans un cul de sac, cela ne permet pas de se frayer un chemin au milieu du feu.
Dernière observation : très peu de formations sont proposées.

Extincteurs à dyoxide de carbone (CO²)
Il s’agit d’un gaz inerte sous forme comprimée liquéfiée et gazeuse, non conducteur d’électricité. Il agit en supprimant l’oxygène nécessaire au feu.
C’est le plus courant des extincteurs (pour l’auto, la cuisine, l’atelier, le camping…). Nous n’en parlerons pas plus ici, sauf pour souligner qu’ils présentent un risque de brûlure thermique non négligeable (le gaz carbonique sort à -78 °C)

Extincteurs à eau avec additif
L’additif chimique accroît le pouvoir d’extinction mais est nocif pour les documents car il peut les attaquer.
L’additif est un émulseur (il en existe plusieurs) qui abaisse la tension superficielle de l’eau, lui permettant ainsi de mieux s’étaler.
Ce type d’extincteur peut être utilisé aussi sur les liquides enflammés, ce qui n’est pas le cas de l’eau sans additif (mais on trouve rarement des bouteilles de champagne ou de whisky dans nos bureaux !)
Point important, le jet propulsé ne concerne que la zone visée, à l’inverse de celui de l’extincteur à poudre.
Il est dangereux d’en être éclaboussé si l’on s’en sert mal en raison d’un risque de brûlure thermique (l’eau est glacée) et de brûlures chimiques.

Extincteurs à eau sans additif
Ce sont ceux qui ont la préférence des pompiers, ce qu’ils ont confirmé lors d’un colloque récent (aux journées d’études du Bouclier Bleu, les 4 et 5 déc. 2008).
Là aussi le jet d’eau propulsé ne concerne que la zone visée.
A noter : Les techniques de récupération de documents mouillés sont maintenant bien au point : congélation, lyophilisation, puis séchage. De plus, les cartons d’archivage aux normes sont difficilement inflammables et résistent bien à l’humidité.

Rappel de sécurité :
les extincteurs sont là pour les départs de feu et pour être utilisés par des gens qui ont appris à s’en servir. Au-delà… les pompiers sont gens de métier !

Rappel à propos des archives
Chacun le sait, les locaux d’archivage doivent être séparés physiquement des salles informatiques et protégés face aux risques d’accidents et d’intrusion (incendie, dégât des eaux, contrôle d’accès, détection d’intrusion, contrôle de sortie des supports).
Il doit également y avoir séparation entre les lieux de stockage et ceux destinés au travail du personnel des archives.
L’ensemble de ces précautions permet d’assurer les conditions minimales pour la bonne conservation des documents que ce soit au niveau du contrôle de l’humidité ou de celui de la température. Et de prévenir du mieux possible la sécurité incendie.

La circulaire du 2 novembre 2001 relative à la gestion des archives dans les services et établissements publics de l’Etat consolidée le 19 décembre 2008 rappelle les précautions de base pour les archives intermédiaires publiques

Il est, en particulier, indispensable d’aménager des locaux conformes aux normes de sécurité (protection des documents contre le vol et l’incendie) et dotés des équipements adéquats pour la conservation des archives intermédiaires (c’est-à-dire dont la durée d’utilité administrative n’a pas encore expiré).


Cela permet d’insister auprès de son chef réticent, mais n’apporte guère d’informations précises.

Conclusion
un vieil adage :

Le feu s’éteint
dans la première minute avec un verre d’eau,
dans la deuxième minute avec un seau d’eau,
dans la troisième minute avec une tonne d’eau,
après…on fait ce que l’on peut…”

extincteur.jpg
source : http://www.inrs.fr/

______

Sources

. la liste de diffusion des Archivistes Français des 17, 18 & 19 déc. 2008 et 12 janvier 2009
==> http://fr.groups.yahoo.com/group/archives-fr/
. pour tout savoir sur les différents types d’extincteurs
==> http://www.copropriete-services.fr/sante-securite/extincteurs.php?PHPSESSID=3579543aa16f0529ad8fa58c8ef8fb3e
==> http://marchespublics.weka.fr/xg/newsletter/lettre/enpratique/420
. Bouclier bleu
==> http://www.bouclier-bleu.fr/prevention/aide-memoire.htm
==> http://www.bouclier-bleu.fr/images/fichiers/incendie.pdf
==> http://www.bouclier-bleu.fr/manifestations/journees-etudes-2008-2.htm
. l’UNESCO
==> http://nzdl.sadl.uleth.ca/cgi-bin/library?e=d-00000-00—off-0tulane–00-0–0-10-0—0—0prompt-10—4——-0-1l–11-en-50—20-about—00-0-1-00-0-0-11-1-0utfZz-8-00&a=d&cl=CL3.30&d=HASH402315196c54e2378ccf3e.5.5
. une info via l’Université de BordeauxI
==> http://www.lptc.u-bordeaux1.fr/OLD/~edith/secu/EXTINCTEURS.htm
. textes officiels
==> http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=C64B8334F5864A05BCF32E6BBF6F4312.tpdjo11v_2?cidTexte=JORFTEXT000000490634&categorieLien=cid&dateTexte=
==> http://www.preventica.com/dossier-risque-incendie-la-loi-12-07.php
. et bien sûr Wikipédia
==> http://fr.wikipedia.org/wiki/Extincteur

Benoît Méli au Journal du Net vient de faire un article sur la limitation par le groupement européen des CNIL de l’usage des données par les moteurs de recherche.
Le tableau entre ce qui est fait et ce qui devra être… un beau challenge pour les CNIL !

Ce n’est pas parce que l’on n’apprécie pas quelque chose qu’il ne faut pas en tenir compte !
Je vous signale une carte heuristique (donc claire) des 100 premières divisions de la classification Dewey parue sur le blog “Docinfos”

Je viens de lire un article qui est l’interview d’une documentaliste. Excellente communication. Une bonne image, dynamique de notre métier.

Mais… mais il y est aussi écrit :
Son rôle (du documentaliste) s’est défini en périphérie des métiers d’archiviste et de bibliothécaire et son image peine à se détacher de ses disciplines fondatrices (…).”

Et alors là… je m’insurge ! la doc “en périphérie” ?? ciel ! “Peine à se détacher” ? diable !
Il existerait donc deux métiers fondamentaux archives/bibliothécaires. Puis un petit troisième, dans l’orbite des deux autres, la doc ?? Alors que ce sont trois métiers qui traitent des documents ?
Pas du tout, mais alors pas du tout d’accord !

Car si les archives sont des données précieuses dont on avait conscience dès l’antiquité, c’est au au milieu du XIXe qu’a été théorisé l’archivistique.
Je viens d’en trouver une très heureuse définition :

“L’archivistique a une originalité propre (…). Elle applique des méthodes qui lui sont particulières, telles que des normes, des délais de conservation, ainsi que des règles de sélection des documents. Elle est, aussi, un vecteur de transformation du document en archives. Elle ne se contente pas de conserver et de classifier les documents, elle les ordonne. Cette classification logique a des implications matérielles : cadre et plan de classement, rédaction d’instruments de recherche, rédactions et publications de textes. Autrement dit l’archivistique ne participe pas uniquement à l’établissement des sources, en décantant par le tri et les éliminations, la masse documentaire, c’est également une opération de « construction de catégories (…)”(cf source 2)

Elles portaient principalement jusqu’il y a peu sur des documents “historiques” au sens propre de l’Histoire. Puis se sont ouvertes au monde de l’entreprise. L’image poussiéreuse en a été heureusement chassée par l’arrivée des TIC et du Records management.
A noter aussi que la notion de Records management n’est pas seulement l’apanage des archivistes mais aussi des documentalistes en toute normalité puisque le document va de sa naissance à sa conservation définitive. Ce qui fait d’ailleurs que les deux métiers sur ce point là se rapprochent inexorablement. D’ailleurs les deux associations professionnelles y travaillent ensemble.
Pour en savoir plus sur le Records Management, voir la définition donnée sur le portail qui lui est dédié (source 3)

Certes les bibliothèques ont elles-mêmes une ancienneté fort respectable dont la bibliothèque d’Alexandrie est un bel exemple. Plus proche de nous, nous nous souvenons tous des petits bristols qui indiquaient la richesse du fonds (certains existent encore).
Là aussi les TIC ont apporté beaucoup de changements et d’autres façons de pratiquer.
Là aussi les pratiques des bibliothécaires et des documentalistes ont de plus en plus de points en commun, à tel point qu’en Suisse l’association des uns et celle des autres n’en font plus qu’une (cf mon billet sur le sujet)

Mais en ce qui concerne la documentation, il ne faudrait pas oublier qu’elle remonte aussi au XIXe ! Dans le 3e tiers très exactement. C’est avec elle que se crée la notion de l’information. Et ce n’est pas seulement moi qui le dit :

Le projet de fonder une « science de l’information et de la documentation » spécifique s’est affirmé sous l’impulsion d’acteurs comme Pierre Larousse (1817-1875), Melvil Dewey (1851-1931), Paul Otlet (1868-1944), Jean Meyriat (1921- ). Le point de départ en a été de dissocier l’information, construction sociale et intellectuelle, de l’ensemble des objets matériels qui, en circulant, la conditionnent sans la définir. On doit aux spécialistes de cette science d’avoir posé que l’information ne circule pas (elle n’est pas un objet) mais qu’elle se redéfinit sans cesse (elle est une relation et une action). Ce projet est lié, dès la fin du XIXe siècle, au développement d’une recherche à visée industrielle et au rêve d’un savoir planétaire. Mais plutôt que tout assimiler par l’idée d’un « système d’information » (idée plus récente dont le succès est dû aux développements informatiques), ces auteurs distinguent méthodiquement entre le support, le document, l’information et le savoir : effort de distinction qu’il faut redécouvrir aujourd’hui. (Yves Jeanneret)” (cf source 4)

Quant aux liens entre les trois, ils deviennent de plus en plus étroits. La meilleure preuve en est avec l’IABD, (Interassociation Archives, Bibliothèques, Documentation) regroupant 16 associations.
Et même, tout récemment en Suisse, l’Association des bibliothécaires et l’Association des documentalistes ne forment plus qu’une seule association (cf mon billet sur le sujet)

Quant aux sciences de l’information et de la communication à proprement parler, elles sont nées au 3e tiers du XXe siècle.
C’est une large discipline dans laquelle s’intègrent naturellement nos métiers chacune à des titres spécifiques mais avec des liens parfois étroits sur certaines activités. Elle est au coeur du monde d’aujourd’hui.

Alors ? toujours “en périphérie“, toujours “en peine de se détacher” ?

Que dire de plus ? Qu’en pensez-vous ?

_________________

sources

1 – le résumé de l’article “« Documentation » : un mot, une histoire, une actualité autour d’un métier” par Jean-Philippe Accart
http://campus.hesge.ch/ressi/Numero_3_mars2006/articles/HTML/RESSI_014_JPA_Documentation.html

2 – ” Historiographie & archivistique : Ecriture et méthodes de l’histoire l’aune de la mise en archives”
http://tristan.u-bourgogne.fr/UMR5605/manifestations/07_08/08_04_24.html

3 – le portail du Records Management
http://www.records-management.fr/spip.php?article26

4 – information, SIC et Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Information
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_de_l’information_et_de_la_communication

5 – l’IABD (Interassociation archives, bibliothèques, documentation)
http://www.iabd.fr/spip.php?rubrique1

6 – la Société française des Sciences de l’Information et de la Communication
http://www.sfsic.org/

Au fil de ma recherche, j’ai été aussi intéressée par
http://www.ecogesam.ac-aix-marseille.fr/Resped/Admin/Com/SciInfCom.htm

« Previous PageNext Page »