Certes l’info date d’il y a un an et j’avais omis de vous signaler que les compte-rendus du colloque “l’archivage électronique face à ses responsabilités” sont en ligne.

Voici la liste des conférences (qui sont en powerpoint ou en acrobat)
– État des lieux (11 Mo)
– Les responsabilités de l’archivage (1.4 Mo)
– La micrographie informatique (5 Mo)
– Les systèmes COM graphiques en 2007 (4.4 Mo)
– La preuve “électronique” (36 Ko)
– Archivage, informatique et Libertés (310 Ko)
– Apologie de la simplicité (5 Mo)

Pour y accéder, cliquez sur le site “Preuve et Micrographie”, association à l’origine du colloque

Voilà un sujet intéressant que le blog d’Axiopole traite souvent dans le cadre de son thème : les outils & méthodes à propos du web 2.0, des réseaux sociaux et de l’intelligence collective.

Son billet mensuel de novembre dernier était intitulé “4 niveaux de complexité… pour 4 modes de management“. J’ai aimé l’explication concernant le mode de management dans un contexte chaotique où là “le chef et son équipe co-construisent ensemble la ou les décisions possibles pour résoudre le problème

Cela me rappelle son billet du 23 juin 2007 signalant la mise en ligne du livre intituléLe guide pratique de l’intelligence relationnelle.

Voici l’info que j’en avais faite alors à mes collègues de l’ADBS Auvergne ==>

Ce n’est pas toujours évident de savoir manager une équipe.
Ce n’est pas toujours évident non plus de savoir manager son manager !
Je viens d’avoir accès à un livre multimédia intitulé “guide pratique de l’intelligence relationnelle

Thème :
Dans un cadre professionnel, l’intelligence relationnelle est l’art de construire des relations humaines de qualité, constructives & créatives, pour faciliter la performance individuelle et collective“.
Objectif :
– aider les managers qui veulent développer leur capacité à manager leur équipe.
– aider chacun à comprendre ce que son manager est en droit d’attendre de soi et ce qu’on est en droit d’attendre de son manager en termes de relations managériales.

Je viens d’avoir accès au contenu et je le trouve intéressant. Il y a des tests à faire avec analyse des résultats, des fiches, des vidéos
Ce guide est composé de 3 parties
==> une partie pour le diagnostic de ses pratiques managériales,
==> une partie composée de fiches pratiques
– 16 fiches sur les techniques relationnelles de communication et de management
– 20 vidéos (16 vidéos de synthèse avec les points clés de la fiche et 4 vidéos de simulation d’entretien)
==> une partie coaching avec des processus de questionnement pour guider sa réflexion.

A noter que les 31 mars, 1e et 2 avril se tiendra à Paris, Porte de Versailles (hall 2.2) le salon “Solutions Linux / OpenSource
Il fêtera ses 10 ans. Déjà 10 ans que le monde du Libre trace sa voie.

Quelques thèmes susceptibles d’intéresser :
– Web version 2 et suivantes
– Collaboration 2.0 : les outils du web et réseaux sociaux adaptés à l’entreprise
– des retours d’expérience d’acteurs publics en accès gratuit (dont des bibliothèques et le CNDP)

Sur le site d’Ebzimba, vous trouverez le classement des 30 sites de bookmarks sociaux les plus utilisés.
Merci à Infotain d’avoir signalé la version de juillet 2007, pour laquelle Jean-Marc signalait à l’époque la curieuse 2e position de Netscape, disparu du classement depuis.
A ce jour, les 4 premiers sont

Digg, Yahoo Buzz, Technorati et Delicious

Qui ne s’est pas déjà perdu dans le site de l’Union européenne ? …Brainsfeed dit qu’il a la réputation d’être le plus grand sur la Toile. D’autre part, nombreux (et heureusement) sont les sites qui parlent de l’Europe.
C’est pour cela que Brainsfeed vient de mettre en route un blog européen dans le but de

débroussailler le terrain et démystifier le web européen.

Allez… à vos signets !
et merci Brainsfeed

J’ai six mois de retard pour vous signaler un billet que je trouve très intéressant sur les normes en infodoc, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Ce billet est dans le blog “Descripteurs”, se présentant comme “un site dédié aux thésaurus et autres vocabulaires contrôlés pour l’accès à l’information”

Au passage, j’ai lu avec intérêt (merci à son auteur, Sylvie Dalbin), le résumé de sa visite au Salon Online de Londres.

Internet facilite la vie : un copie-colle et voilà une phrase intéressante mise de côté.
Mais vous les étudiants – et les anciens étudiants ! – n’oubliez pas
1. de noter l’auteur, l’adresse du site, la date de consultation
2. de mettre en italique la phrase relevée

Cela m’amuse/m’agace toujours lorsqu’en faisant une recherche on retrouve des phrases entières, voire des paragraphes entiers totalement identiques qui ne sont pas signalés comme étant une citation.

Revendiquons le droit de faire des citations, mais en toute honnêteté intellectuelle.

Pour revenir aux étudiants, attention, cela peut vous coûter très cher. N’oubliez pas qu’il existe des logiciels qui aident les profs et les autres à détecter le plagiat. Voir notamment “the Plagiarism Checker” et d’autres encore plus performants

Un glossaire “est étymologiquement un recueil de gloses, c’est-à-dire de termes étrangers ou rares associés à leurs définitions et centré sur un domaine dont il détaille les termes techniques spécifiques (…).” (Wikipédia).

Un ancien billet (janv. 2007 !) du blog de Vedocci sur l’intelligence économique en CCI signalait un site regroupant des glossaires en sciences de l’information qui mérite d’être connu.

Mais ne pas oublier l’incontournable Dictionnaire de l’information éd. Armand Colin, 2008, 3e édition) par Serge Cacaly, Yves-François Le Coadic, Paul-Dominique Pomart et Éric Sutter

Et quelques autres dont le Dictionnaire encyclopédique des sciences de l’information et de la communication de Bernard Lamizet (1997, éd. Ellipses Marketing)

Si la réponse vous intéresse, allez lire ce billet sur le blog de Christophe Deschamps, intitulé “travailleur du savoir ou travailleur de l’information

A propos de ce billet, Christian Vanden Berghen (merci Brainsfeed) observe à juste titre que

(…) nous constatons très souvent que nos étudiants ont tendance à dire ce qu’ils ont cherché plutôt qu’à fournir les réponses. “J’ai cherché le chiffre d’affaires de tous vos concurrents européens”. Le client préfère: “Voici le chiffres d’affaires de tous vos concurrents européens”.
Mais tant qu’on en reste là, on fournit une simple photo d’une situation. L’intelligence véritable commence après : que pouvez-vous déduire des informations que je vous amène ? Comment pouvez-vous, à partir de ces informations, prévoir des stratégies ?
Là, on commence à bâtir du savoir.

Remarque personnelle
Les deux me paraissent inséparables. A quoi sert de faire une recherche pour soi ou pour un autre si l’on ne synthétise pas et n’extrait pas pour réutiliser l’information en réponse à des attentes, pour mettre en évidence des éléments invisibles autrement et créer ainsi une valeur ajoutée ?

A mon sens un bon documentaliste est celui qui apporte cette valeur ajoutée. Sans être pour autant un ‘intelligenceur’ au sens noble du terme. S’il ne le fait pas, son travail n’est pas souligné ni quantifiable sur le plan de son apport à l’organisme… d’où la fermeture de certains centres.

…. Car j’en reviens toujours à mon leitmotif, à ma marotte ou à mon toc (au choix) : l’ ‘indispensabilité’ de toujours mettre en valeur ce que l’information transmise apporte ou souligne ou entraîne comme question.
C’est aussi faire de la veille comme d’autres font des vers sans le savoir. Et pour être tout à fait à la mode c’est participer à l’intelligence économique, n’est-il pas ? 😉

Mais de là à savoir si l’on est travailleur du savoir ou de l’information… Est-ce bien cela qui fera avancer les choses ? Mettons plutôt en valeur ce que nos informations ont apportées
. à la réflexion de nos responsables,
. comme erreurs évitées
. en matière d’innovations matérielles ou organisationnelles
. en tant que mises à jour adéquates et aux bonnes dates des textes réglementaires

Et cet éclairage sur nos CV parlera beaucoup plus aux embaucheurs que “travailleur du savoir” ou “travailleur de l’information”. Et à ce titre faut-il mettre le mot “travailleurs” devant chaque fonction ?

j’aimerais bien avoir vos points de vue. Est-ce moi qui exagère ?

A l’occasion du 50ème anniversaire de la première séance de la première législature de la Ve République, l’Assemblée nationale a mis en ligne l’ensemble de ses archives depuis 1958

Il est précisé dans le communiqué de presse que sont concernés

tous les comptes rendus de séance depuis 1958, toutes les questions écrites, les tables analytiques et nominatives des débats correspondantes ainsi que des dossiers législatifs depuis 1986, soit l’équivalent d’environ 350.000 pages au format papier

On y retrouve également -entre autre-
==> la base de données de tous les députés depuis 1789, qui était déjà accessible en ligne depuis plusieurs années avec une autre adresse
==> celle des notices biographiques de tous les parlementaires depuis 1789, elle aussi déjà accessible depuis quelques années avec une autre adresse

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