Barcamp, Explorcamp ???
J’avais l’opportunité vendredi 14 mars d’aller à une conférence sur “Barcamp, Explorcamp, etc. : utopies post-révolutionnaires ou nécessités nées du web 2.0 ?” par Frédéric Soussin, Grégoire Japiot et Loiez Deniel
Malheureusement je ne pourrai normalement pas y être. Mais si j’y arrive, promis je vous raconterai.

En tout cas je ne voulais pas rester idiote et j’ai cherché à quoi correspondaient ces termes barbares

BARCAMP, définition

Un BarCamp est une rencontre d’un week-end, une non-conférence ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp. C’est le principe “pas de spectateur”, “tous participants”. L’événement met l’accent sur les toutes dernières innovations en matière d’applications internet, de logiciels libres et de réseaux sociaux.

(source wikipédia)

EXPLORCAMP, définition
glups diraient mes fils ! là c’est plus dur à comprendre, et à défaut de véritable définition voici ce que j’ai glané

Principe
« Speed dating autour des nouveaux usages », découverte, autour de tables d’exploration, des briques de construction des nouveaux usages d’internet.
Objectif
Susciter l’envie auprès des participants d’utiliser plus efficacement le web, et de devenir à son tour un passeur, un essaimeur des nouveaux usages. Les participants peuvent aussi devenir prescripteurs pour proposer l’organisation d’un ExplorCamp dans leur entreprise.

(deux sources : “les explorateurs du web et un wiki

Pour participer à un explorcamp, rendez-vous à Paris le 14 mars. Ce sera le 5e explorcamp parisien.

J’avoue ne pas très bien saisir la différence entre barcamp et explorcamp. Et vous, en savez-vous plus ?

Il est une norme mondiale à la disposition de chacun qui est vraiment indispensable les jours de découragement notamment.
Il s’agit de la norme pifométrique UNM 00-001, version 2002 (version 1996).
Ce document est libre de droit et sa diffusion est vivement encouragée. Il a été réalisé par la Normalisation Française sous la référence Nosometrical system of units
N’hésitez donc pas à la faire connaître autour de vous pour la garantie de donner tous la même notion de mesure aux choses.

définition

Le pifomètre (du radical piff- indiquant la grosseur et du grec ancien μέτρον, mesure) est un instrument de mesure scalaire analogique portatif non gradué permettant d’estimer un nombre ou une quantité de matière, une longueur ou un temps“.

l’art pifométrique

L’art de la pifométrie, tel qu’enseigné par le professeur Chareyron, repose sur une acceptation fondamentale, celle de la non démonstration purement mathématique confirmée par l’observation systématique des résultats démontrés par son appareil de mesure de prédilection : le pif !

Si cet outil fut créé et ainsi nommé par l’ingénieure Martha Rhein-Blair en 1929, il existe depuis la nuit des temps, c’est certain. “La preuve en est que chacun vient au monde avec son propre pifomètre incorporé, cette particularité est appelée pifogénèse..

nouveautés en cours de validation pour intégration dans la norme

Certains, tâtillons, précisent que

le pifomètre mesureur, n’est rien sans sa graduation qui est le “un poil près“. Le poil a d’ailleurs des problèmes de temporalité puisqu’il arrive souvent un poil en retard
Il est important de ne pas oublier la subdivision qui est le quart de poil.
Enfin, sous le quart de poil, apparaît une subdivision par trois qui donne le pouillème.
Sans oublier que pour le pifomètre : la valeur à zéro (coulisse fermée) est bien sûr le pile-poil. Il est convient pour cette dernière sub-division de vérifier sa présence car parfois ca tombe pile-poil et un pile-poil tombé ne sert plus.

Compte tenu des dilations dues à la chaleur, le coefficient d’erreur est majoré lui aussi par la broutille.
Quand mesurer pifométriquement l’ajustement est correct c’est que c’est “au poil”.
Le pifomètre ne doit pas être utilisé par certaines personnes car elles peuvent fausser le résultat lorsqu’elles ont un poil dans la main”.

Et même d’ajouter des divisions intermédiaires en matière de rareté : tels que sont le fifrelin et la lichette et le “pas bézef”. On notera au passage les influences de la colonisation avec le chouillat et le microchouillat.

Toutefois il convient de ne pas faire d’amalgame avec d’autres propriétés innées que sont le “à vue de nez” qui est une une synesthésie : particularité neurologique qui fait associer deux sensations à celui qui en… souffre (ou bénéficie).
On notera cette association de la vision et l’olfaction qui est une sorte de 2 en 1 et qui donne le “a vue de nez”.(…) la pifométrie n’admet aucun écart ou approximation.”

Enfin en matière de volume de travail, la notion de rame est importante

Une école d’enseignement supérieur

Et à l’ENSIP (Ecole nationale Supérieure d’Ingénieurs en Pifométrie) une thèse a pour point de départ d’une brillante démonstration à propos d’un cheval et d’une mouche démontrant les lois de la pifométrie. Comme aucune hypothèse n’a été émise sur le type de cheval et le genre de la mouche le résultat est donc absolument général et ne souffre aucune exception !

La conclusion éblouissante de cette thèse est celle-ci

On voit donc que les analyses pifométriques aboutissent à des concepts totalement abstraits parfaitement démontrés et complètement rationnels. Les formes indéterminées, les nombres irrationnels n’existent pas puisqu’ils prennent des valeurs finies ce qui est un double avantage très strict pour cette science d’avenir :
la pifométrie est une science exacte
là, au moins, on sait où on va fourrer son nez

conclusion

Que voici une science bien sympathique et rassurante !

Dans la même veine il existe aussi la loi de Murphy (UNM 00-003)… mais bon pas tout le même jour !

Il faudrait se pencher aussi sur
– le trouillomètre,
– l’applaudimètre…

Non, là c’est un vrai tonneau de travail qui mérite une longue étude un de ces quatre…

Je félicite Nath de m’avoir fait découvrir le texte de cette norme, ignare que j’étais ! Mais bonjour le volume de temps passé à creuser le sujet ! A la louche, je dirais bien un bon paquet d’heures ;-))

sources :
http://forums.futura-sciences.com/thread182203.html
http://jeanmarie.robert.free.fr/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Pastiches/Pifomètre
Voir aussi le site du spectacle “Pifometrie.net

scalaire
Un vrai scalaire est un nombre qui est indépendant du choix de la base choisie pour exprimer les vecteurs” dit Wikipédia

Un symposium intitulé “The University as Publisher” a eu lieu à Berkeley en novembre 2007 pour examiner le problème sous deux aspects :
==> le rôle des institutions dans l’évaluation, la qualité et la sélection,
==> les modèles budgétaires de l’édition.

Prosper (INIST-CNRS) donne les axes des discussions :
les arguments en faveur ou contre le fait que l’Université devienne un éditeur,
le rôle des différents acteurs (presse universitaire, bibliothèque et service informatique),
les besoins différents en fonction des disciplines scientifiques,
la nécessaire distinction entre dissémination et publication.

Voir la présentation faite par EducauseConnect

Le compte-rendu officiel est bien entendu accessible

Vous noterez au passage que l’on passe de la notion de ‘indépendant’ à celle de ‘auto-entreprenariat’
Nous avons un métier qui se prête tout à fait à devenir indépendant de façon pérenne ou à assurer des missions de façon ponctuelle.
Or, il n’est pas évident de s’y retrouver dans la jungle des possibilités. Verrions-nous une simplification vraiment simple des règles en la matière montrer le bout de son nez ?

Un rapport a été remis au Premier ministre le 10 janvier 2008 par François Hurel intitulé “En faveur d’une meilleure reconnaissance d’un travail indépendant.
Son thème : le développement de l’activité d’entrepreneur indépendant, dans un double impératif de sécurité et de simplicité.
Les sujets abordés sont

  • statut de l’auto-entrepreneur,
  • question du cadre social,
  • fiscalité,
  • développement de l’esprit d’entreprise tout en facilitant le « rebond » en cas d’échec,
  • mise en place d’un système d’accompagnement des auto-entrepreneurs.
  • Le Premier ministre en a retenu quatre axes

  • Créer les conditions pour qu’il soit facile et simple de créer mais également de cesser une activité économique indépendante ;
  • Simplifier le paiement des prélèvements obligatoires ;
  • Lever les barrières légales et réglementaires à la création d’entreprise indépendante ;
  • Protéger efficacement le patrimoine personnel de l’auto-entrepreneur.
  • A la suite, Hervé Novelli, Secrétaire d’Etat en charge des entreprises, prépare dans les semaines qui viennent un texte législatif dédié à l’entrepreneur indépendant visant à mettre en place les conditions pour qu’il soit simple de créer et de cesser une activité économique indépendante, lever les barrières légales et réglementaires et protéger le patrimoine personnel de l’auto-entrepreneur.

    De futurs moyens pour limiter, voire rendre caduque le portage ? (toujours limite du côté du droit du travail, mais tellement pratique pour les missions ponctuelles.
    A signaler une intéressante présentation du portage sur le site Juris’Prudence

    D’ores et déjà, pour suivre l’actualité en matière d’auto-entreprenariat on peut lire
    – au Sénat, voir la question orale avec débat sur la formation professionnelle du 22 janvier 2008
    – sur le site du Ministère des Finances, p. 5 et s. dans “la lettre de la DAJ” n° 24, janv. 2008
    – et faire une veille sur le sujet…

    En 2002 déjà François Hurel avait remis un rapport sur “Le développement de l’initiative économique et la création de l’emploi” qui plantait le décor. On le trouve mis en ligne sur le site de la Documentation française
    Il faisait un état des lieux de la création d’entreprises et présentait 60 propositions sur le développement de l’initiative économique classées en 6 thématiques :

  • l’accès au financement,
  • le cadre social de l’entrepreneur,
  • l’amélioration du statut de l’entrepreneur,
  • la simplification et l’allègement des formalités des entreprises,
  • le rôle de l’accompagnement et du parrainage des jeunes entrepreneurs et
  • la question de l’esprit d’entreprise
  • Le portage était cité p. 58 de ce rapport)

    Autres sources :
    http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/084000019/
    http://www.finances.gouv.fr/discours-presse/discours-communiques_finances.php?type=discours&id=574&rub=500
    http://www.auto-entrepreneur.fr/

    De mon point de vue, le défaut récurrent de notre profession n’est pas celui de ne pas savoir s’adapter, mais celui de notre incompétence à faire connaître – et donc reconnaître – la valeur ajoutée de notre travail.

    Je voudrais reprendre ici quelques points de l’interview de Jean Michel par Bruno Texier, parue dans la revue Archimag de fév. 2008

    – affaire de génération ?

    Dois-je me considérer comme une “néo-professionnelle” parce que j’ai su intégrer Internet dans ma pratique professionnelle dès qu’il a existé ? non ! j’étais alors et suis restée une “professionnelle” tout court qui s’adapte aux nouvelles pratiques de son métier. Point. Tout simplement.

    Quelque soit le sujet, je hais cette opposition systématique et tristement traditionnelle entre anciens et nouveaux. Dans les deux camps il y a ceux qui savent évoluer et les autres. Ce n’est pas une question d’âge mais de tempérament, de culture, de dynamisme et d’optimisme fondamental.
    Les ‘anciens’ n’ont pas attendu les mots à la mode pour faire de la veille ou de la gestion des connaissances !
    – S’ils n’étaient pas à la hauteur, les “nouveaux” ne trouveraient pas des centres de doc performants à continuer à rendre performants.
    – S’ils n’étaient pas à la hauteur, ils/elles ne pourraient assurer aujourd’hui l’évolution des formations ni l’intégration des nouvelles techniques.
    Quant à dire “les jeunes que je forme sont à fond dans le web 2.0” j’en connais qui ne le sont pas du tout et des ‘vieux’ qui le sont complètement. La formule est un peu simpliste !

    En fait, la seule vraie opposition est celle qui existe entre ceux qui n’évoluent pas et ceux qui évoluent. Mais est-elle réservée à notre profession ? bien sûr que non !

    “nous sommes dans une phase de mutation de notre métier”

    Une mutation signifie une changement radical et profond.
    Eh bien à mon avis, aujourd’hui, notre profession n’est plus en mutation, elle est en évolution permanente, comme la vie l’est elle-même.
    Elle l’a été avec l’arrivée d’Internet qui a bouleversé les liens entre informations / documentalistes / utilisateurs et la nécessité d’intégrer la réalité d’Internet dans la vie de son centre de documentation. Le web 2.0 n’est qu’une amélioration des nouveaux rapports établis par Internet.
    Il serait temps de ne plus se regarder admirativement dans une glace en se répétant “je suis un nouveau documentaliste, je suis un nouveau documentaliste” mais de poursuivre l’évolution, sinon nous risquons vite d’être ‘has been’ sans s’en rendre compte.
    La mutation est faite. C’est f.i.n.i.
    Les affiches des nouveaux documentalistes de l’ADBS ont fait leur temps si toutefois elles ont jamais été une bonne arme de communication. Ne jouons pas les anciens combattants qui s’arc-boutent à leur guerre.

    – à propos des organismes qui ignorent ou ne comprennent pas la valeur ajoutée de l’information

    Si des chefs d’entreprise n’ont pas encore perçu ou ont mal perçu l’utilité de l’information, cela relève pour beaucoup de la faute des documentalistes eux-mêmes.
    Car nous vivons dans une société de communication. Ne pas être capable d’illustrer la valeur ajoutée apportée à l’entreprise par son travail implique obligatoirement sa sous-estimation, voire même sa méconnaissance totale par la Direction.
    D’où des non création ou des suppressions de centres documentaires et des salaires qui ne sont que le reflet du ressenti de l’utilité et de la vitalité de nos centres.
    C’est donc à nous et à nos associations de relever nos manches. Car les efforts de tous forment synergie positive globale.

    – à propos du métier de documentaliste en voie de disparition
    Vous noterez que Jean Michel ne dit pas que c’est le métier mais la structure où s’exerce le métier qui peut disparaître.
    Que dit-il exactement à propos des documentalistes ?

    Le documentaliste, s’il reste un professionnel des années 1960-1990, a ses jours comptés

    Et il a complètement raison. Voire même il est un peu en retard car ce type de personnes a déjà disparu s’il était dans un organisme un tant soit peu dynamique. A juste titre.

    J’apprécie particulièrement ce qu’il dit à propos de l’évolution de la documentation. C’est la meilleure image que l’on puisse donner de cette évolution :

    Il faut comprendre que le documentaliste ne joue plus un rôle de guichetier fournisseur de documents. Il devient un facilitateur de la circulation de l’information dans l’entreprise.

    Lorsque Jean Michel précise
    – “Le défi à relever est celui du management de l’information si l’on veut éviter l’infobazar“, ou encore
    – “Notre fonction est de décloisonner et de jouer un rôle transversal dans l’organisation
    il a absolument raison et c’est en cela que notre métier n’est pas prêt à disparaître.

    En conclusion

    La diligence s’est transformée en voiture, en train, l’avion s’est fait une belle place dans le monde des transports et les bateaux perdurent. Certes il n’y a plus de cochers, plus de bateliers, mais le monde du transport est plein de vitalité et doit relever le défi du respect de l’environnement.
    Eh bien c’est pareil dans notre monde de l’infodoc : le records management a besoin des archivistes et des documentalistes, le monde des bibliothèques s’est ouvert aux BD, disques, CD, DVD… et celui de la documentation a intégré les bases de données, la veille, la gestion des connaissances, le web, le web 2.0, le web 3.0… Quant au monde des archives il est passé de l’âge des sceaux et de l’écriture à l’ère des disques optiques numériques.
    Notre défi à nous réside dans l’intégration quasi-permanente de nouvelles pratiques, de nouvelles techniques, de nouveaux outils… ce challenge est-il si irréalisable ? bien sûr que non, nous en apportons la preuve tous les jours.

    Alors pourquoi être pessimiste sur le monde de l’infodoc ?? Pourquoi cette interrogation permanente sur nos capacités d’adaptation ?

    Je vous propose de découvrir ce site appelé “ZEFAB” qui permet de visualiser en un coup d’oeil l’ensemble des outils de recherche sur Internet.

    Ce qui intéresse ce moteur de recherche américain, ce ne sont pas les mots clés des pages, mais uniquement les avis formulés par les utilisateurs sur un produit.
    Suggestion : faites un test avec le mot ‘Zotero’ 😉 (sujet du billet précédent)

    Le top : on peut combiner Google (pour sa recherche par mots clés) et Omgili (pour sa recherche sur les points de vue des utilisateurs)
    Google+Ombili = http://google.omgili.com

    Ce moteur a aussi un blog informatif.

    source point de départ : merci Brainsfeed

    C’est une collègue de l’ADBS Auvergne qui a attiré notre attention sur ce logiciel libre qui fait ses preuves depuis un an.
    Il permet de capturer ou de saisir, d’archiver, d’organiser, d’annoter et d’étiqueter une information bibliographique en fonction de ses activités, directement dans son fureteur et de transformer le tout en une bibliographie, en ligne ou hors ligne, au choix.
    Il est proposé en tant qu’extension Firefox et est produit par le Center for History and New Media.
    C’est un outil collaboratif que les utilisateurs peuvent compléter.

    Cela m’a intéressé d’en savoir plus et voici ce que j’ai pu glaner sur le web. Mais je n’ai pas encore réussi à comprendre s’il était en wiki ou pas lorsque l’on met sa bibliographie en ligne. Je pense que non mais n’ai pas encore trouvé de confirmation dans un sens ou dans un autre.

    Il peut
    – lire intelligemment les pages web, à savoir le contenu de la page, son adresse URL, son titre et sa date de consultation les auteurs, le résumé, le nom du journal, le volume, le numéro, la date, l’ISSN, le DOI
    – ajouter une sauvegarde complète en html
    – générer automatiquement une référence réutilisable.

    En conséquence, il permet aussi la récupération d’informations bibliographiques non seulement sur les bases bibliographiques en tant que telles (Sudoc) que sur les pages de librairies (Amazon), ou de sites web (Wikipédia, Flickr…).
    Il est possible d’associer des tags et de classer les références dans plusieurs catégories.

    Un excellent exemple de la façon de procéder est mis en ligne sur le site des documentalistes de l’Académie de Rouen. Voir la p. 15 et s.

    Quelle différence avec nos bookmarks sociaux ?
    Je pense à trois différences essentielles
    – la reconnaissance & l’extraction à l’intérieur des pages consultées des métadonnées bibliographiques et leur appropriation (via les infos en RDF ou en DC (Dublin Core) dans la partie HEAD du source de la page précise Stéphane Cottin)
    – l’intégration de notices bibliographiques externes provenant de bases de données comme le Sudoc
    – si vous êtes sur une page de résultats, il suffit de sélectionner les sites sélectionnés pour qu’ils soient incorporés dans la base
    Enfin, dernier avantage, nous n’avons/aurions plus besoin d’utiliser des sites de signets partagés puisqu’ils sont ‘rangeables’ dans notre bibliographie partagée.

    En bref, Zotero est l’outil pour avoir une vraie base de données bibliographiques avec un minimum de travail.

    A noter que des Urfist organisent des formations concernant l’utilisation de Zotero (ex., l’Urfist de Toulouse organise une formation début mars)

    A noter aussi qu’Internet Archive et Zotero vont travailler de concert

    Question : Qui peut me signaler des sites proposant des bibliographies utilisant Zotero ? J’ai cru avoir trouvé une université parisienne, mais je n’arrive plus à mettre ‘la main dessus’…

    Tout commentaire informatif ou critique sera le bienvenu.

    webgraphie :
    – le site officiel http://www.zotero.org/blog/
    – un tutoriel en français http://www.ciera.fr/ciera/IMG/pdf/tutorial_zotero.pdf
    – une présentation concrète de Zotero dans un document pdf réalisé par les documentalistes de l’Académie de Rouen
    – le billet de Stéphane Cottin d’août 2007 sur son blog
    – le blog “branchez-vous” et son billet de janvier 2008
    – un billet des Urfist à propos des cahiers de recherche
    – sur le site de “Pédago-tic
    – une chercheuse canadienne
    – par les professionnels de l’IST du CNRS Languedoc-Roussillon, explication d’un export de Windindx vers Zotero
    – dans “Relief”, blog canadien,
    billet sur Zopero
    explications de Wikipédia à propos de Zotero
    – sur le site de l’EHESS, une explication de Zotero
    – Zotero et wikipédia, sur le site de Numismatique médiévale
    – des précisions apportées par un bibliothècaire au début de l’existence de Zotero

    A partir d’avril, ouverture d’une nouvelle plate-forme, une cinémathèque européenne en ligne gratuite, baptisée European Film Treasures mise en place sous l’impulsion de Serge Bromberg.
    Elle est présentée par l’Essentiel comme étant “à mi-chemin entre l’INA et YouTube

    Grâce à un partenariat avec 37 fonds d’archives et cinémathèques en Europe, elle diffusera des images et des longs métrages d’il y a plus de 50 ans.
    Ces films pourront bien sûr être visionnés gratuitement, mais ne seront pas téléchargeables et seront dans leur langue d’origine (traduction possible prévue)

    Son financement se fait pour moitié grâce au programme européen pour l’industrie audiovisuelle européenne.

    sources :
    l’Essentiel, journal luxembourgeois
    – dans le “petit précis du curieux” sur le site de Télérama, 19 février 2008
    les archives à l’affiche
    – et plein d’autres sites

    Une 22e édition du livre “Classification décimale Dewey et Index” est sortie en octobre 2007
    Quatre volumes par Raymonde Couture-Lafleur, Louis Cabral, Collectif.
    Aux éditions ASTED au prix de 432,25 €
    Voir son sommaire, mis en ligne par l’OCLC

    Ce système de classification répertorie les connaissances humaines en 10 grandes classes, 100 divisions, 1000 sections et une multitude de sous-sections.
    Exemple donné par Wikipédia
    6 – Techniques. L’indice est 600, car il faut au moins trois chiffres
    64 – Vie domestique. L’indice est 640, car il faut au moins trois chiffres
    641 – Alimentation
    641.5 – Cuisine. Un point sépare le troisième du quatrième chiffre
    641.57 – cuisine pour les collectivités

    Pour retrouver ce listing

    Historique (cf Wikipédia):
    Cette classification a été développée par Melvil Dewey en 1876 et a été complétée et perfectionnée par la classification décimale universelle (CDU) développée par Henri La Fontaine et Paul Otlet.
    Depuis 1988, la classification de Dewey est un nom déposé par Online Computer Library Center (OCLC) qui a acheté les droits à la Forest Press Foudation, créée par Melvil Dewey pour poursuivre son œuvre.

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