Avant Internet – pour ne pas commencer en disant “autrefois,…” – et jusqu’à aujourd’hui les Centre Interministériels de Renseignements Administratifs sont une bonne mine pour démarrer une recherche.

Neuf centres répartis sur tout le territoire ont chacun une dizaine de personnes et à ce jour encore ~7.000 clients journaliers.

Leurs objectifs ?

  • Faciliter l’accès des usagers à la connaissance de leurs droits et obligations ; à cet effet, ils fournissent par téléphone toutes informations administratives et tous renseignements de nature à leur faciliter l’accomplissement des formalités et démarches d’ordre administratif.
  • Contribuer à l’amélioration des relations entre les usagers et les services publics en proposant des mesures de simplifications administratives et en suggérant les modifications qu’il paraît opportun d’apporter aux textes législatifs et réglementaires.
  • Apporter leur concours aux services publics en matière d’accueil et d’information administrative du public.
  • .

    Pour en savoir plus sur eux,

  • aller sur le site des services du Premier Ministre dont ils dépendent ;
  • un powerpoint sur le site du projet de réflexion collective de la FING “Nouvelles Proximités Publiques (*)
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    La mode étant au regroupement, il ne restera bientôt plus qu’un seul centre dans l’objectif officiel est de permettre d’avoir en un seul lieu tous les spécialistes susceptibles de répondre aux questions. Mais avec en fond, comme toujours dans ces cas, les difficultés humaines pour le personnel des lieux autres que celui qui deviendra le centre unique.

    Centre unique ? et si pour une fois ce n’était pas Paris ?

    Merci à Stéphane Cottin de nous avoir signalé cela hier dans son blog “ServiceDoc”

    (*) explication sur le projet
    Dans ce projet, les partenaires se donnent pour objectif de créer les conditions d’une réflexion collective, rassemblant un grand nombre d’acteurs publics ou associatifs, sur le sujet de la réorganisation des services publics au niveau local. Dans cette problématique globale, les questions de la médiation, des services de proximité, et des services électroniques ont été placées au coeur des débats.
    Le groupe de travail est constitué d’acteurs publics ou associatifs, se situant à la croisée de ces problématiques : acteurs publics, acteurs sociaux, acteurs politiques, aménageurs du territoire, chercheurs.

    J’ai lu ceci dans une brochure France Télécom (si je ne me trompe pas) et cela m’avait bien amusée

    un concours organisé en Australie faisiat s’affronter un vieil expert du code Morse, ancien télégraphiste et un adolescent de 13 ans fier de ses deux années d’expérience d’envoi de SMS.
    Tous les deux avaient pour mission de déliver le plus rapidement possible un message identique.
    Avec ses 93 ans, le télégraphiste a battu de 18 secondes son adversaire, qui a mis 108 secondes à envoyer son message

    Qu’est-ce que cela vient faire là me direz-vous ? Et si l’on faisait un concours entre une documentaliste de 90 ans et une documentaliste d’aujourd’hui pour trouver une information ? Je crois quand même que cette fois-ci Internet serait un sacré coup de pouce, non ?

    Outil de gestion de bibliothèque, Papyrus assure
    – la gestion documentaire (catalogage Dewey ou personnalisé, mots-clés, ISBD)
    – la gestion de prêt/Retour/Réservation/Prolongation
    – la gestion du budget
    – la gestion par code à barres
    – il a un carnet d’adresses (Pour la gestion des contacts et des adhérents)
    – il permet de faire des courriers ou ou emails de relance
    – il fait des statistiques (Graphiques 2D/3D, tableaux croisés)
    – il a une recherche multicritère
    – il édite des catalogues, les étiquettes et les fiches
    – il importe des fiches Unimarc
    – il permet des imports/exports sous Excel©, Lotus©, Word©

    Son prix est modique : à ce jour 100 € annoncés sur le site

    Si un utilisateur passe par là, merci de me laisser une appréciation du logiciel en commentaire.

    J’avais lu en son temps avec intérêt l’article de ZDNet du 22 février 2007 intitulé “La ville de Paris déploie plus de 260 hotspots Wi-Fi gratuits”. Un commentaire précisait que les 134 sites de plein air et 128 bâtiments municipaux parisiens s’ajoutaient aux 240 brasseries et cafés offrant déjà cette possibilité.
    Ces bornes wi-fi ont été opérationnelles en juin 2007 et je trouvais que c’était vraiment quelque chose de positif (et je le pense toujours).
    Depuis, Lyon, Grenoble et Nantes fournissent aussi des accès Wi-Fi publics.
    Sans oublier les gares équipées de la Wi-Fi depuis 2004.

    Quelle ne fut donc pas ma surprise de lire dans le journal “Viva” de février 2008 un article intitulé “faut-il se méfier de la Wi-Fi” ?
    La vue du titre m’a fait dire : encore des pessimistes !
    Mais les informations données m’ont interpellée et j’ai donc un peu creusé le sujet pour me faire une idée

    Wi-Fi, vous avez dit Wi-Fi ?

    Dans la pratique, le Wi-Fi permet de relier des ordinateurs portables, des machines de bureau, des assistants personnels (PDA), des objets communicants ou même des périphériques à une liaison haut débit (de 11 Mbit/s en 802.11b à 54 Mbit/s en 802.11a ou 802.11g et 540 Mbit/s pour le 802.11n) sur un rayon de plusieurs dizaines de mètres en intérieur (généralement entre une vingtaine et une cinquantaine de mètres). Dans un environnement ouvert, la portée peut atteindre plusieurs centaines de mètres voire dans des conditions optimales plusieurs dizaines de kilomètres (pour la variante WiMAX ou avec des antennes directionnelles).

    explique l’article “Wi-Fi” dans Wikipédia

    Un réseau Wi-Fi est un réseau répondant à la norme IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11), standard international qui décrit les caractéristiques d’un réseau local sans fil (WLAN). En France, au Canada et en Espagne c’est ce nom qui est popularisé et qui correspond au nom donné à la certification et par extension à la marque déposée. Ailleurs WLAN est le nom courant.

    Au passage j’ai appris que l’orthographe exacte de wifi / Wifi / Wi-fi est …Wi-Fi.

    Histoire d’ondes
    Tout d’abord, ce n’est pas un problème de Wi-Fi, mais d’ondes électromagnétiques pulsées. “Que ce soit du Wi-Fi, du Dect, de la téléphonie mobile, les personnes qui ont des problèmes avec cette technologie les ont avec les ondes électromagnétiques pulsées“.

    Ensuite, je découvre quelques précisions qui veulent tout dire et rien dire si l’on n’y prend garde. Je vais essayer d’être claire :
    – premier point, la puissance émise par les équipements Wi-Fi (~30 mW) est trente fois moindre que celle émise par les téléphones portables (~1 W).
    – le système Wi-Fi utilise des ondes d’une fréquence de 2450 mégahertz (fréquence de raisonnance de l’eau), identiques à celles que l’on utilise dans notre micro-ondes.
    Certes, mais une même fréquence ne veut pas dire même puissance (une explication trop scientifique pour que je sois capable d’expliquer !)
    – Il est dit sur le site du CRIIREM qu’en France

    le seuil d’exposition maximal autorisé varie de 41 V/m selon la règlementation nationale à 2 V/m selon la charte de bonne conduite en vigueur à Paris, l’intensité du champ électro-magnétique décroissant avec la distance.

    .
    En effet, la puissance d’une émission électromagnétique se réduit en proportion du carré de la distance (à 10m, il y a 100 fois moins de photons qu’à 1m d’un émetteur wifi ou autre)
    – Certes, mais quid par rapport aux 30 mW ? (nous ne sommes pas tous des scientifiques)

    – lu une information qui me paraît claire (mais validité à confirmer) :

    – les ondes (gsm, wifi, antennes relais, etc.) créent des perturbations au niveau cellulaire (de très nombreuses études indépendantes des lobbies, gouvernements et organismes officiels (souvent “influencés” ) le prouvent).
    – Ces effets sont presque tous “non thermiques”, (…)cela ne veut pas dire que l’existence de cet effet thermique est fausse, mais elle est en voie de disparition car les normes de puissance imposées aux fabricants sont de plus en plus drastiques
    – Les effets non thermiques sont générés par la rentrée en résonance (ou interférence) entre les rayonnements artificiels et les champs propres du corps humain qui sont ultra-sensibles aux influences externes
    – Ces interférences sont quasiment indépendantes de l’intensité reçue par le corps (démontré notamment par l’équipe de Vladimir Binhi, professeur spécialiste des interactions champs-vivant, membre de l’Académie des Sciences de Russie, etc.)
    – Ces interférences sont surtout dues aux fréquences émises par les appareils en cause.
    – Au niveau biologique, ce sont les ions (comme l’ion Calcium, essentiel dans la plupart des mécanismes métaboliques (activation des protéines, etc.)) qui sont déstabilisés par les champs externes. S’ensuivent de nombreuses réactions en chaine, qui sont donc ces fameux effets non thermiques
    .

    A partir de là, pourquoi penser qu’il y a danger ?

    Wi-Fi & santé

    Wikipédia m’apprend que

    Le risque sanitaire de l’utilisation du Wi-Fi est en cours d’évolution (usage permanent sur des ordinateurs ne permettant pas à l’utilisateur d’éteindre de façon sûre la carte Wi-Fi, usage de téléphones mobiles IP sur Wi-Fi, usage de réseaux faits de PA multiples créant des effets intégraux qui ne décroissent plus en P = 1 / D2). De ce fait des évaluations sont en cours et pour l’instant il est prématuré de dire si ce risque est acceptable ou non, et surtout en référence à quel risque déjà connu (une comparaison au risque du téléphone mobile est très douteux : niveau de risque de la référence, axes de comparaison).
    L’Agence européenne environnementale (EEA) a envoyé un message d’alerte, demandant de restreindre au maximum les antennes Wi-Fi et 3G, étant donné les risques signalés par certains rapports internationaux et les problèmes rencontrés dans différents pays de l’Union européenne

    Ces problèmes de santé je les ai lus, développés dans les témoignages de Viva, dans des blogs, des forums et d’autres sites :
    Deux mois après le début de la mise en fonctionnement 40 membres (mais j’ai lu 40 % par ailleurs) du personnel des bibliothèques parisiennes se plaignent de malaises suffisant importants pour que le CHSCT de la Direction de la culture de Paris tire le signale d’alarme.
    Cette dernière a déconnecté 4 bibliothèques et le 28 novembre le principe d’un moratoire pour étudier l’affaire a été voté.
    D’autres lieux ont les mêmes problèmes : entreprises, écoles…
    Et avec la suppression des Wi-Fi, les personnes retrouvent la santé. Vu le nombre, ce ne peut être psychologique. D’autant que dans certains cas les malaises existent alors que la présence de la wifi n’est pas connue (ce qui fait taire les mauvaises langues).

    Que penser ?
    Par rapport à ces informations, que croire ?
    Notre Wi-Fi personnelle a ses ondes, mais reçoit aussi les ondes des wi-fi du quartier.
    Les Wi-Fi dans les lieux publics permettent à beaucoup d’ordinateurs de se “brancher” (si j’ose dire) dessus.
    L’intensité varie donc en fonction du nombre de connections possibles.

    Il semble que pour certaines personnes la perception des ondes du Wi-Fi ne soit pas neutre. Ce qui m’étonne c’est qu’elles ne semblent pas sensibles à celles du téléphone mobile ? Mais je pense qu’on ne peut faire abstraction de ces faits.

    Pour ma part, cela fait que je suis sensibilisée au débat et qu’il n’est pas interdit d’être prudent. Ainsi, en repensant aux 10 conseils donnés par Viva :
    1. n’activer ma Wi-Fi que lorsque je m’en sers (mais sans éteindre ma livebox, quand même !)
    2. faire attention à l’endroit où ma Wi-Fi est installée (en tout cas pas dans ma chambre, mais pour le reste je n’habite pas un château !)
    3. ne pas travailler avec mon ordinateur portable sur mes genoux (enfin… je vais y penser, promis mais c’est son emplacement traditionnel)

    Parmi les autres conseils de Viva figurent également

      – le CHSCT doit être consulté pour étudier l’emplacement, la portée des bornes & leur déconnection possible (en effet, l’art. L230-2 du Code du travail stipule que le chef d’entreprise doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé “physique et mentale” de ses travailleurs, y compris les travailleurs temporaires)
      – mettre en place une réglementation actuellement très floue (pas de déclaration obligatoire)
      – choisir un modem sans Wi-Fi (diable ! diable !!)

    Il en est un dernier trouvé sur un forum proposant d’installer une plaque métallique reliée une prise de terre pour faire écran aux ondes électromagnétiques. Je doute de son effet absolu, mais si cela rassure les inquiets et les anti, cela mérite d’être signalé. (sans garantie de la qualité scientifique de cette proposition)

    quelques sources d’information

    wikipédia

    – ZDNet http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39376087,00.htm

    – Viva, l’article et les 10 conseils

    – le CRIIREM, Conseil scientifique du Centre de recherche et d’information indépendantes sur les radiations électromagnétiques.
    Il est composé de scientifiques experts des pollutions de l’environnement accompagnés d’un conseil scientifique réunissant des médecins et universitaires reconnus, spécialistes de l’électromagnétisme naturel, biologique et artificiel.
    Il s’agit d’un laboratoire de recherche et centre de documentation, l’action de l’association portant sur les effets des ondes électromagnétiques sur le vivant.

    Union européenne : présentation de l’harmonisation technique des dispositions de droit national assurant la protection contre les perturbations électromagnétiques des équipements électroniques et texte de la directive relative à la compatibilité électromagnétique des équipements électroniques et électriques (2004/108/CE)

    – panorama des textes sur la compatibilité électromagnétique du Ministère de l’économie (DGCCRF)

    – les lieux des Wi-Fi publics font boule de neige

    – les gares SNCF équipées en Wi-Fi

    – le fil de discussion sur ce sujet de Doctissimo

    Sur son blog “ServiceDoc info”, Stéphane Cottin a écrit un billet intitulé “Legifrance et le SPDDI respectent-ils les “huit Principes pour des données publiques ouvertes” ?

    Je vous suggère vivement d’aller le lire. Il y traite d’une rencontre d’avocats pour échanger sur l’open government advocates signalée par Hubert Guillaud sur internetActu et propose une synthèse des huit principes dégagés par le colloque.

    Je me permets de reproduire ici cette synthèse pour garder en mémoire ces principes fondamentaux (mais voir les commentaires qu’en a fait St. Cottin sur son blog)==>

    1. Exhaustives. Toutes les données sont mises à disposition. Les données publiques sont des données qui ne sont pas sujettes à des limitations valables concernant la vie privée, la sécurité ou des privilèges d’accès.

    2. Primaires. Les données sont telles que collectées à la source, avec la plus grande granularité possible, et ne se présentent pas sous des formes agrégées ou modifiées.

    3. Fraîches. Elles sont mises à disposition aussi rapidement que nécessaire pour préserver leur valeur.

    4. Accessibles. Les données sont accessibles au plus grand éventail d’utilisateurs possible et pour des usages aussi divers que possible

    5. Lisibles par des machines. Les données sont structurées pour permettre le traitement automatisé.

    6. Non discriminatoires. Les données sont accessibles à quiconque, sans aucune obligation préalable ni inscription.

    7. Non propriétaires. Les données sont accessibles dans un format sur lequel aucune entité ne dispose d’un contrôle exclusif

    8. Sans permis. Elles ne sont pas soumises au droit d’auteur, à brevet, au droit des marques ou au secret commercial. Des règles raisonnables de confidentialité, de sécurité et de priorité d’accès peuvent être admises.

    Et à propos de Legifrance, voir un autre billet de Stéphane Cottin “Légifrance 2008 : délicate mais ferme reprise après les travaux

    Ce jour est un jour plein d’humour. Pour vous faire sourire, je vous signale trois traits d’humour :

    Premier trait, bibliothé…co(no)mique

    Découvrez le blog “Couv.ill.en coul
    C’est un blog plein d’humour sur le monde des bibliothèques. Je l’ai d’ailleurs mis dans mes blogrolls ici.

    Le second trait concerne une bibliothèque que l’on peut qualifier d’atrophiée !

    La photo est sur le blog de couvillencoul et je vous conseille d’aller la voir : elle concerne l’ancienne forteresse Alcatraz…
    L’image que l’on se fait de cette prison de haute sécurité est en opposition avec l’image que l’on a de son emplacement géographique, à savoir la baie de San Francisco ; toutefois la beauté d’un paysage n’a jamais empêché les pires horreurs de l’homme.

    Mais j’avoue que je n’imaginais pas la bibliothèque des prisonniers telle qu’elle est photographiée dans le blog de Couvillencou !
    Belle illustration de la notion de bibliothèque que se font certains pessimistes !
    J’ose espérer que c’est ce n’est qu’un coin de livres hors de la bibliothèque mais je crains hélas que ce ne soit ni un trait d’humour ni un fait d’autrefois pour certaines prisons bien actuelles d’ici ou d’ailleurs.

    Le troisième définit les archivistes et bibliothécaires en mot-valise

    Alain Créhange a publié aux éd. Mille et une nuits (n° 498) en 2006 un dictionnaire des mots-valises intitulé “l’anarchiviste et le biblioteckel

    Nous faisons tous parfois un mot-valise un jour de fatigue en mélangeant deux mots. Et bien lorsque cet exercice est fait volontairement on dit qu’il s’agit d’un mot-valise.

    Je vous rassure, les quatre vingt onze pages ne traitent pas de mots-valises sur le dos des bibliothécaires et archivistes réunis, c’est juste que ces deux mots ont été mis en titre, ce qui naturellement a attiré mon attention 😉

    J’espère qu’Alain Créhange me pardonnera de mettre ici les deux définitions car elles vous donneront sûrement envie de découvrir les autres.
    anarchiviste : conserve des documents historiques en s’assurant, par un classement chaotique à l’extrême, que personne ne se risquera à les consulter
    biblioteckel : chien à pattes courtes, adapté à la chasse au rat de bibliothèque

    Nos amis québécois ont un blog très dynamique concernant les archives. Il s’appelle “les archives en affiche

    Que vous soyez archiviste, passionné d’histoire ou de généalogie, n’hésitez pas à y faire un tour !

    J’y lis avec plaisir ceci “Afin de mettre en valeur leur collection Son et images en mouvement, les Archives de l’Ontario ont mis en ligne quelques vidéos sur Youtube, afin d’attirer une nouvelle clientèle“…
    Voilà une belle façon de faire découvrir, attirer et peut-être faire aimer les archives à de nouvelles populations.

    Il s’agit de Bibliopédia, site collaboratif pour bibliothécaires, documentalistes et archivistes francophones.

    Ce n’est pas

    Ce n’est pas une encyclopédie : Bibliopedia vise à regrouper des ressources pratiques qui ne peuvent pas être représentées sur le projet encyclopédique Wikipedia (qui rejette les contenus trop spécialisés et les listes de liens).”

    C’est :

    un wiki où chacun(e) peut mettre sa pierre en apportant ses idées, ses expériences, ses connaissances spécifiques sur les sujets suivants :

    ==> nos métiers d’archivistes, de bibliothécaires, de documentalistes (& glossaires, histoire, déontologie, associations…)
    ==> nos actions (recherche, politique, outils, catalogage…)
    ==> l’informatique documentaire (tutoriels, web 2.0…)
    ==> nos sites & nos blogs de professionnels, nos sites perso, les bibliothèques numériques, les bibliowikis, le portail SIB sur wikipédia…
    ==> notre profession (bâtiment, usages et règlement, organisation interne / en réseau, évaluation, expériences innovantes…)
    ==> la ‘francophonie info-doc’ en Belgique, au Maroc, au Quebec, en Suisse

    Il y a même pour les centres de doc ou les bibliothèques qui en auraient besoin la possibilité pour eux de faire un wiki spécifique

    Allez… y’a plus qu’à retrousser nos manches !

    Les code-barres de nos livres de bibliothèques sont devenus d’un usage courant. Et c’est vrai que c’est bien pratique.
    Mais le progrès n’arrêtant jamais et chacun devant travailler plus, même les code-barres s’y sont mis. La preuve : vous devez faire l’inventaire de votre bibliothèque ?

    Pour cette tâche ingrate et mangeuse de temps, vous direz “RFID” et avec votre baguette magique sous forme de lecteur portatif vous baguenauderez dans vos travées et en 2 heures vous aurez inventorié 5.000 livres. J’ai bien écrit cinq mille!

    Vos lecteurs arrivent pour emprunter ou rendre leurs bouquins ? hop vous direz “RFID” et hop simplement en passant le livre près du lecteur et la sortie ou le retour du livre sera enregistré.

    RFID, queizako ?

    Objectif
    Elle est pas belle la vie ? Car bien sûr tout ceci n’est pas pour éliminer du personnel mais dans le pur objectif de vous rendre plus disponible à vos lecteurs.

    Où ? Quand ?
    – “Plus de 80 bibliothèques en France sont déjà équipées d’un dispositif similaire, dont la bibliothèque du Sénat et celles des universités Paris VII et Paris X Nanterre
    – Dans les 42 bibliothèques municipales de Paris d’ici à 5 ans
    – 300 bibliothèques ailleurs dans le monde

    Si vous voulez en savoir plus, voyez le billet de ZDnet

    Le référentiel des emplois-types de la Recherche et de l’enseignement supérieur (REFERENS) pour les ingénieurs & techniciens du CNRS a été profondément remanié au cours de l’année 2007 (arrêtés ministériels du 17 janvier 2007 et du 26 novembre 2007) par
    – le regroupement de métiers proches
    – la création de nouveaux métiers et de nouvelles familles professionnelles.

    Le site du secrétariat général du CNRS – qui est pour moi LE site référent en matière de gestion d’un organisme – donne accès à cette évolution.

    Pourquoi signaler ceci me demanderez-vous ? Il me semble intéressant de noter une évolution en matière d’intitulés et de métiers.

    1. changement d’intitulé
    De “documentation, édition, communication” ce secteur s’intitule dorénavant “information”
    Il regroupe documentation, culture, communication, édition et TICE

    2. nombre de familles concernées
    Il n’y a plus 7 mais 4 familles
    – information scientifique & technique, collections patrimoniales
    – médiation scientifique, culture, communication
    – édition multi supports, impression, graphisme
    – production TIC/TICE, audiovisuel, multimedia

    Pour ce qui touche le plus nos métiers, c’est la famille “information scientifique & technique, collections patrimoniales”, la plus importante. Elle regroupe
    . la terminologie,
    . le système d’information documentaire (nouvelle sous-famille),
    . les ressources documentaires,
    . les archives
    . les collections muséales (nouvelle sous-famille)

    Ces quatre familles regroupent 55 emplois-types contre 39 préalablement.
    Les nouveaux emplois rattachés à notre famille :
    – chargé de systèmes d’informations documentaires
    – assistant archiviste

    Rappel : les profils des concours externes se feront dorénavant sur cette base.

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