Internet - articles archivés

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Mille internautes ont répondu à l’enquête lancée par Aref Jdey sur “demain la veille” composée de 10 questions.

Voyez le résultat de cette consultation, mais je trouve intéressant le fait que 84 % des utilisateurs de twitter l’utilise pour faire de la veille.

Je stocke consciencieusement mes favoris sur Delicious et j’apprécie à la fois le ‘garde-mémoire’ qu’il est et le moyen de veille qu’il offre. Et j’en profite pour remercier mes 24 ‘fans’ qui m’accordent leur confiance.
Toutefois, à part le classement fait à l’aide des mots clés classés dans leur répertoire, rien ne permet de visualiser facilement comme avec une carte.

Ayant vaguement entendu parler de Pearltrees, j’ai voulu essayer.
C’est clair et facile d’utilisation en tant que ‘garde-mémoire’. C’est bien aussi en tant que moyen de veille au même titre que Delicious.
Pearltrees peut importer les urls de delicious (ce que je n’ai pas fait) et exporter les données du compte.
J’y vois cependant un inconvénient qui m’agace mais peut-être est-ce moi qui n’ait pas trouvé comment faire, l’url du favori ne s’affiche pas et la page ne s’ouvre qu’à l’intérieur de Pearltrees, ce qui fait que l’url reste cachée.
Le second inconvénient est l’adresse à communiquer ! voyez plutôt si vous voulez voir mon pearltrees
http://www.pearltrees.com/#N-u=1_11629&N-p=995932&N-s=1_155866&N-f=1_155866

Finalement, je vais garder précieusement mon delicious et garder tout de même Pearltrees pour l’instant en y doublant mon aide mémoire mais seulement pour les signets qui me paraissent les plus intéressants. Ensuite, je verrai.

Le rapport annuel GISWatch 2009, “’accès à l’information et au savoir en ligne – faire progresser les droits humains et la démocratie” vient d’être publié par l’Association pour le progrès des communications (APC) et le bailleur de fonds néerlandais Hivos, tous deux étant des organisations de la société civile mondiale.
Il révèle la vulnérabilité d’Internet.

Il traite des normes et logiciels ouverts, ainsi que de l’accès aux ressources pédagogiques et bibliothèques libres, ainsi que des droits de propriété intellectuelle et des droits au savoir.
Ces points sont, d’après les débats, des facteurs importants qui influent sur l’accès à l’information et au savoir en ligne. Car “il ne suffit pas d’être en mesure d’allumer son ordinateur et (…) rien ne garantit que la richesse de l’information disponible sur l’internet aujourd’hui perdurera demain

A noter une cartographie des droits. “Par exemple, si l’on se fie aux résultats des recherches dans Google, on pourrait dire que les pays ont des préoccupations très différentes en ce qui concerne les droits : les « droits culturels » au Mexique, les « droits des victimes de la pollution » en Suisse, le « droit à l’éducation dans un langage des signes autochtone » en Finlande ou les « droits des surendettés » en Côte d’Ivoire

Ce rapport a recueilli les perspectives des spécialistes, analystes et activistes des TIC et des organisations de la société civile dans le monde entier.

Parmi les commentateurs, l’un d’entre eux estime que ce rapport a eu “la tâche difficile et extrêmement importante d’aborder les questions convergentes de la liberté d’expression, de l’accès au savoir et à l’information et des droits numériques dans un contexte mondial et comparatif“. Il s’agit de Joe Karaganis, du Social Science Research Council.

La version française du rapport est prévue dans un an

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sources
http://www.tic.ird.fr/spip.php?article326
http://www.a-brest.net/article5454.html
http://www.alternatives.ca/fra/journal-alternatives/publications/nos-publications/articles-et-analyses/articles-de-l-exterieur/article/un-rapport-montre-que-l-internet

Un twitter “archivistes et réseaux” tente de recenser les archivistes blogueurs, de France et d’ailleurs.
De mon point de vue, il en manque pas mal…

J’avais été très intéressée il y a un mois par le billet de Bibliobsession intitulé “Archives de l’internet : demandez votre ticket pour la postérité !
Il m’a appris plein de choses sur la pérennisation de nos blogs…

Cela m’a donné l’envie de regarder ce que l’on pouvait glaner d’autre sur le sujet.

Allez lire la réflexion de Marc Dumont Internet entre mémoire et patrimoine (*) sur la complexité des questions de contenus. Car ceux-ci n’incluent pas seulement des textes, des images et des vidéos, ce qui amène à s’interroger sur le rôle mémoriel des maquettes de site, gabarits ou templates et sur le sens à donner à la comparaison ou le suivi de leur évolution.

A signaler également l’interview de Franck Ghitallia “l’archivage du web” qui explique comment l’archivage du web est un véritable travail d’édition car il faut non seulement extraire et filtrer les données mais également les rendre accessibles par des outils qui tiennent compte à la fois du contenu mais aussi du contexte topologique.

Et pour élargir un peu (ou l’inverse) ce monde des archives du web, j’ai trouvé intéressant

==> la réflexion menée dans l’édito de Nonövision intitulé “Web de flux contre web de fond
Pour Narvic, le web de flux “est une revanche de l’homme sur la machine et du social sur les mathématiques, mais ce n’est pas sans poser de nouveaux problèmes“. Pour lui, cette “diffusion ultra-rapide, superficielle et émotive” nécessite encore plus recul et analyse afin d’y évaluer la validité, la pertinence et la qualité des contenus.

==> le compte-rendu de la conférence IPRES 2009 dédiée à la conservation numérique organisée par la California Digital Library. “ dans le billet “La pérennisation de l’information numérique, mature ! Vraiment ?” (voir aussi deux billets sur FigoblogIPRES 2009 (1) – La valeur et le Temps” et “IPRES 2009 (2) – les processus et l’Humain“)

A titre “historique”, il faut se rappeler qu’en 2007 il y a eu
– le colloque organisé à la BNF par la BNF, l’IFLA et l’INP intitulé “De la production à la pérennisation des objets numériques : expériences internationales” (cf mon billet d’alors intitulé “archivage électronique des objets numériques“)
– le 73e congrès de l’IFLA titré “Bibliothèques du futur, progrès, développement et partenariats” au cours duquel il faut noter l’intervention de Grethe Jacobsen du Danish Royal Library (Copenhague, Danemark) sur les stratégies que les bibliothèques nationales mettent en place pour archiver le web (voir le billet de Mandarine ses explications et l’accès à la traduction qu’elle a réalisé officiellement pour l’IFLA).

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(*) référence officielle : Marc Dumont “Internet entre mémoire et patrimoine” EspacesTemps.net, Actuel, 22.11.2005 http://espacestemps.net/document1725.html

Il s’agit là de remarques d’archivistes tout à fait transportables dans le monde de la documentation.

Dans un compte-rendu des sessions tenues lors du 73e congrès de la Société des archivistes américains (*) lu dans le dernier Bulletin sur les ressources archivistiques numériques (n° 37(**), j’ai noté avec intérêt ces observations faites lors de la discussion

– on apprend beaucoup en participant à une communauté en ligne ; les choses changent si rapidement qu’il est préférable d’avoir une démarche pro-active plutôt que d’attendre indéfiniment pour utiliser les outils du Web 2.0 ;

– une participation individuelle à des communautés en ligne est une excellente préparation pour une participation institutionnelle. Il existe des « normes sociales », même sur les réseaux Web, et les archivistes
ont besoin d’apprendre à leur sujet ;

– en rejoignant l’une de ces communautés, on en devient membre.
On ne peut pas simplement y entrer et en ressortir. Cette démarche nécessite un engagement continu. Les projets de bibliothèques numériques consistaient par le passé « à déposer quelque chose quelque part sur Internet et à le laisser là ». Aujourd’hui, il ne suffit plus de mettre des ressources en ligne, nous devons comprendre comment les utilisateurs utilisent notre documentation et nous devons interagir avec nos utilisateurs ;

– la participation d’un agent d’une institution à une communauté en ligne permet d’ « humaniser » cette institution ; laisser des bénévoles participer à des communautés en ligne est une excellente façon de les intéresser et de leur permettre de contribuer à la vie d’une institution ;

– les agents qui participent à des communautés en ligne doivent être enthousiastes et motivés ;
forcer quelqu’un à participer à une communauté en ligne alors qu’il ne veut pas le faire, c’est courir à l’échec. Si les agents d’une institution ne sont pas intéressés, il faut penser à recruter des bénévoles.

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(*) il s’est tenu à Austin, Texas, du 11 au 16 août 2009
(**) les numéros précédants portaient le nom de Bulletin des Archives de France sur la DTD (EAD)
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source : forum de l’AAF

Je vous signale un excellent billet intitulé “Twitter : présentation du concept, de ses différents usages et de quelques applications connexes“.
Il appartient au blog “aysoon” qui traite des évolutions du web et ses innovations

Bien qu’il date de mai, il est une synthèse claire toujours d’actualité de ce qu’est et de ce que permet Twitter.

Prenez le temps de regarder le reste du blog car il est intéressant.

Serge Courrier a mis en ligne un moteur de recherche spécialisé expérimental dédié aux universités françaises via Google-CSE : http://bit.ly/3bivAc

Ceci m’a permis de découvrir que chacun pouvait faire la même chose, à savoir créer son propre moteur de recherche via Google bien sûr sur son thème favori ou en fonction de ses pages.

Je viens de découvrir un blog canadien vraiment intéressant intitulé “Zéroseconde“. Martin Lessard, son auteur résume ainsi son sujet : les impacts d’Internet sur la communication, notre société, nos vies.

Le parcourir est un vrai régal. Ce qui me l’a fait découvrir ? son billet intitulé “les moteurs de confiance“. C’est là que j’ai découvert l’épistémé…

Si vous avez envie d’aller voir un blog qui apporte une vraie réflexion, je vous le conseille.

Cette fois, je voudrais vous signaler un référentiel des métiers d’Internet que vous trouverez sur le portail des métiers d’Internet créé par la Délégation aux Usages de l’internet du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Ce portail est ainsi présenté :

La Délégation aux Usages de l’Internet associée à un groupe de partenaires a créé le Portail des Métiers de l’Internet pour répondre aux besoins en compétences des acteurs de l’économie numérique.
Le Référentiel
Le Portail intègre un référentiel qui met en lumière les métiers des technologies de l’information et de la communication parmi lesquels des métiers émergents à forte valeur ajoutée que le public n’identifie pas toujours aisément.

Une vraie aide pour les définitions de poste…
Merci à echosdoc pour l’avoir signalé

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