Comment ne pas signaler un pdf fort bien fait, réalisé par la Chambre de commerce et d’Industrie des Deux-Sèvres.
Avec des arguments très explicites.

Une bonne façon pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que l’I.E. de le découvrir.
Une bonne façon de découvrir des arguments si vous en cherchiez.

Un document à distribuer largement dans son entreprise !
Un contenu qui devrait être enseigné largement pour que chacun connaisse l’utilité de l’I.E. … et la pratique.

Régulièrement, lorsque je veux affiner une recherche ou lorsqu’une recherche n’a pas aboutie, j’ai l’habitude de faire une recherche sur Google par le biais des images.
Non pas que je voulais une illustration mais parce que parfois les sites signalés par ce biais ne le sont pas avec la même interrogation web.
Et puis bien sûr, parfois je veux trouver quelques illustrations.

Mais ma curiosité a été interpellée lorsqu’un billet de Paperboard a signalé l’existence de Tineye

Sur ce site, il est possible de donner l’adresse d’une image ou d’une photo et de retrouver ainsi les différents sites qui l’utilise. (Voir en exemple une de mes pages de mon site personnel où une illustration du battage de la soie en Chine trouvée sur Wikipédia est en fait une partie tronquée d’une image plus grande)

Pour l’instant l’utilisation de cette possibilité est en version bêta. Il faut donc s’inscrire pour demander une invitation et pouvoir ainsi utiliser cette version. Ce que j’ai fait et ne regrette pas.

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source :
http://www.paperblog.fr/901788/tineeye-une-image-pour-trouver-une-image/

Tous les signets de Sphere’doc sont scrupuleusement conservés sur Del.icio.us

Je viens de découvrir la possibilité de les illustrer joliment par le biais de Wordle, qui est un site proposant des illustrations variées (et aléatoires) de ses tags.
Même sans être sous Delicious, vous pouvez aussi le faire.

Voici les deux réalisations concernant mes tags
(cliquez dessus pour les agrandir)

en méli-mélo sur fond blanc

mes tags en méli-mélo sur fond blanc

sur fond noir

sur fond noir

D’ailleurs, cela me fait penser qu’il faut que je mette mes tags sur mon blog… projet de rentrée…
La rentrée va t’elle être assez longue pour réaliser tout ce que j’y reporte ???? That is the question !

Merci à Klog d’avoir signalé cette possibilité dans un de ses billets

Deux nouvelles sur le sujet :

1 – création d’une nouvelle bibliothèque numérique à Roubaix, , consacrée au patrimoine de la ville
Elle rassemble tous les documents ayant trait à l’histoire et au patrimoine de la cité provenant de la Médiathèque, des Archives municipales, du Musée La Piscine, du Conservatoire de musique & du centre de documentation de l’Observatoire urbain.

Au passage, j’ai noté qu’Infostratège souligne les mérites de clarté du site et d’accessibilité avec une petite flèche contre les langages trop techniques utilisés parfois dans ce type de site (et toc pour les archivistes et les documentalistes qui rejoignent parfois les informaticiens dans l’utilisation de mots qui ne sont parlant qu’à eux-mêmes et découragent les non-initiés… à méditer !!)

2. la Bibliothèque municipale de Lyon s’associe au programme Google Recherche de Livres
Avec ses 1 350 000 ouvrages patrimoniaux, elle dispose du fonds le plus important de France après la Bibliothèque nationale de France.
Elle va être la première bibliothèque française à participer à Google Recherche de Livres.
Pour en savoir plus, lire son communiqué.
En résumé, près de 500 000 ouvrages seront numérisés, tous libres de droits d’auteur, dans un délai de dix ans.

Petit à petit, l’oiseau fait son nid ?

Après l’étape de la numérisation des fonds, l’accessibilité peut se faire à plusieurs niveaux :

  • mise à disposition sur Internet (Roubaix)
  • association à un projet d’envergure pour une lisibilité plus grande (Lyon)
  • réunion nationale (pas à ma connaissance concernant les bib. municipales)
  • réunion internationale (pas à ma connaissance concernant les bib. municipales)
    1. Il est peut-être bon de rappeler que l’Europe cherche à constituer une bibliothèque numérique baptisée Europeana dont un prototype avait été présenté au Salon du Livre 2007 et abandonné depuis, mais qui doit sortir sous une nouvelle forme en novembre 2008.
      Europeana sera alors un embryon, réseau d’agrégation de 5 bibliothèques européennes au catalogue unique. Ce fonds numérique paneuropéen proposera deux millions d’objets numériques dès l’automne – dont des films, des photos, des tableaux…
      Une maquette d’Europeana est accessible en ligne.

      A priori Lyon n’est pas concerné par Europeana. Mais qu’en sera t’il sur le long terme ? Quelque chose est-il prévu sur le sujet ? Comment une bibliothèque qui s’associe à un organisme privé peut-elle prévoir un transfert vers un organisme public ?

      Au passage, petite précision concernant Europeana :
      A ce jour, et en attendant cette version 1.0, la Bibliothèque numérique européenne utilise le portail de la Bibliothèque européenne (The European Library) qui donne d’ores et déjà accès aux ressources des 43 bibliothèques nationales européennes et notamment à leurs documents reproduits sous forme numérique.

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      sources
      ==> billet d’Infostratège
      ==> Prosper (Inist)
      ==> explications sur Wikipédia
      ==> le projet Cacao, pour un accès multilingue
      ==> billet de Prosper (Inist) en fév. 2008 pour faire un point
      ==> fin nov. 2007, un communiqué officiel sur Europeana

      J’ai trois navigateurs sur mon ordi :
      – Firefox (mon basic),
      – Opera (mon autre basic),
      – Explorer (dont je me sers très rarement)

      Pourquoi tant de navigateurs sur un malheureux ordi ?
      Parce que pour les présenter à ses étudiants ou à son public, il vaut mieux savoir de quoi l’on parle.

      L’installation d’Opera m’a permis de le pratiquer et de découvrir ses avantages :
      1. permettre une page d’accueil avec l’icône de ses sites les plus usuels
      2. fermer le navigateur sans perdre tous les onglets ouverts
      Mais dorénavant Firefox permet aussi de mettre des icônes de sites dans la barre d’outils et propose au moment de sa fermeture de conserver ou pas les onglets ouverts.
      A mes yeux et pour mon utilité Opéra a donc perdu une partie de son charme.

      En conséquence, je pense remplacer Opera par Flock 2.0, un navigateur axé sur les réseaux sociaux et basé sur Firefox 3. Il est disponible pour les systèmes Windows, Mac et Linux.
      La version 1.0 date de quelques mois seulement et sa version 2.0 est en encore en version bêta

      Pourquoi ce projet ? Histoire de voir. Projet de rentrée. Je vous tiendrai en courant …car n’étant pas encore partie, je ne suis donc pas encore rentrée ;-))))

      Quant à Safari, cinquième navigateur il est utilisé sous Mac. Je ne peux en parler car lorsque je travaillais sous Mac, Explorer pour Mac fonctionnait encore.

      J’avais mis les dernières sources informatives concernant la préparation du nouveau texte de loi sur les archives dans mon billet du 27 juin.

      Voici maintenant ce nouveau texte, la loi n° 2008-696 du 15 juillet 2008 relative aux archives et parue au J0 du 16 juillet.

      Tout est parti de 2005 avec le “rapport sur l’organisation administrative des Archives nationales“, dit “rapport Stirn”.

      Est venu ensuite en 2006 le rapport “les archives en France” dit aussi “rapport Braibant”, dont l’objectif était de dresser un bilan de l’application de la loi n° 79-18 du 3 janvier 1979 sur les archives et de faire des propositions :
      1. étudier les conséquences des évolutions ayant affecté l’organisation administrative depuis cette loi
      2. examiner du régime des restrictions d’accès aux documents
      3. clarifier la distinction entre archives publiques et archives privées pour les archives des responsables politiques
      4. analyser la situation des archives des entreprises appartenant ou ayant appartenues à la sphère publique

      En juin 2007, un “audit de modernisation relatif à l’archivage” a été réalisé par quatre organismes : le Conseil général des technologies de l’information, la Direction générale de la modernisation de l’Etat, la Direction des Archives de France et un cabinet privé.
      Voir le contexte et la synthèse si vous souhaitez une synthèse.

      Ainsi, dans le cadre de la RGPP (révision générale des politiques publiques) lancée en juillet 2007, la nouvelle organisation des Archives de notre pays est lancée. Ce qui a suscité parmi les professionnels des archives beaucoup d’inquiétudes.
      Voici les grandes lignes de leur communiqué de presse :

      1. Les archives sont l’arsenal juridique et informationnel de l’Etat (… et) ne peuvent être réduites à un ensemble (…). La collecte des archives publiques ne saurait donc s’assimiler à la constitution des collections ou la politique d’entrée d’objets dans un musée.
      2. Les archives sont la source première de la recherche (… parce qu’)elles sont toujours situées dans un contexte qui permet leur exploitation scientifique.
      3. La fonction archives doit être pilotée par l’Etat. Lui seul peut (…) animer le réseau des archives publiques en France. (…) La garantie pour les pouvoirs publics, les citoyens et les chercheurs de retrouver une information fiable et intègre passe par le maintien de ce réseau.
      4. La place de la France dans le mouvement archivistique international, qu’elle a créé il y a 60 ans, est remise en cause
      Pour toutes ces raisons, il nous paraît indispensable que l’Etat prenne conscience qu’il est en train de détruire un outil dont la perte lui coûtera plus qu’il n’y gagnera, et qui sans nul doute à terme conduira à des disparitions massives de documents.
      Au moment où une nouvelle loi vient de réaffirmer en France le droit de tous à l’accès aux archives, l’AAF ne peut se résigner au gâchis de décisions hâtives et mal informées sur la nature et les enjeux de l’archivage et des archives. Nous demandons donc que la structure de pilotage de la politique d’archivage en France soit maintenue et développée à un haut niveau de l’Etat, avec des missions renforcées de contrôle tant interministériel que national.

      Vous pouvez retrouver le texte complet de ce communiqué sur le site de Bibliofrance (références des communiqués précédents en bas de ce billet)

      Qu’en penser ?
      Que rien n’est jamais figé dans le temps et que si nos professions nous demandent une adaptabilité permanente tant au niveau des techniques que des organisations, il n’en demeure pas moins vrai que la nécessité d’une visibilité au plus haut niveau est indiscutable… voire même une nécessité encore plus cruciale.
      Et puis, histoire de mettre un peu de piment dans ce billet : avez-vous déjà cherché à trouver à quel organe était rattaché des archives départementales ? sur le site des Archives de France ? des Archives nationales ? sur un site d’archives départementales ?… faites moi signe quand vous aurez trouvé s’il vous plait.
      De même il n’y a à ce jour pas signe d’une réorganisation des services sur le site des Archives de France

      A noter que dans l’art. 36 de la loi il est prévu un suivi des choses :

      Le Gouvernement présente au Parlement, au plus tard un an à compter de la promulgation de la présente loi, puis tous les trois ans, un rapport portant sur les conditions de collecte, classement, conservation et communication des archives en France. Ce rapport présente en particulier les mesures destinées à assurer la pérennité des archives numériques.

      En ce qui concerne la durée de conservation des documents

      Elles sont indiquées à l’article 11 de la loi. J’en ai fait une synthèse sous forme du tableau ci-après.
      Mais bien noter que pour s’appuyer sur le point de départ de la date possible de communication il faut tenir compte
      – du document le plus récent inclus dans le dossier
      – du décès (25 ans) ou de la date de naissance (120 ans) pour les dossiers médicaux
      – de la fin de l’affectation de l’usage des bâtiments
      – de la signature du contrat ou de la réception des biens/services si ultérieure pour les contrats de prestations de services
      – de la clôture du registre d’état-civil concerné.

      Voici mon tableau récapitulatif (cliquez dessus pour l’agrandir)
      Mais ne pas oublier le tableau mis en ligne sur le site des Archives de France
      tableau récapitulatif des durées de conservation

      Document administratif, quelle définition ? (art. 1 de la loi 78-753)

      Sont considérés comme documents administratifs au sens du présent titre tous dossiers, rapports, études, comptes rendus, procès-verbaux, statistiques, directives, instructions, circulaires, notes et réponses ministérielles qui comportent une interprétation du droit positif ou une description des procédures administratives, avis, à l’exception des avis du Conseil d’Etat et des tribunaux administratifs, prévisions et décisions revêtant la forme d’écrits, d’enregistrements sonores ou visuels, de traitements automatisés d’informations non nominatives.

      _______________

      les autres communiqués de l’AAF

      ==> Voir la position de l’Association des Archivistes Français
      ==> voir les trois communiqués de presse d’avril de l’AAF
      . du 3 avril, “L’AAF se prononce sur le projet de loi d’archives
      . du 24 avril, “communiqué amendé
      . du 8 mai, “un texte a minima
      ==> Voir la présentation de la Ministre de la Culture au personnel en avril dernier

      ______________
      sources

      ==> pages des Archives de France sur cette nouvelle loi
      http://www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/actus/projet-loi-archives
      ==> étude du projet de loi par l’Assemblée nationale en avril 2008
      http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0135.asp
      ==> un tableau récapitulatif de la réduction des délais de communication proposée par le projet de loi réalisé par Eric Ferra, auteur du blog Généactu et du billet concerné
      http://geneactu.over-blog.com/article-21281888.html

      AllPlus, qui extrait ses résultats de Google, Ask, Yahoo et Live.
      Possibilité de chercher par Web / News / Images / Video /Blogs
      Dans une colonne spécifique, classement des résultats par formes d’écriture et présentation par graphs.

      Conclusion, pas mal !

      Ah comme c’est rageant de devoir chercher dans un site ce qui pourrait fournir une idée de la date de réalisation, le code source, une actualité, une référence, …
      N’oublions pas qu’une information non datée n’a pas de valeur. Si les webmestres de tous genres voulaient bien s’en souvenir !

      Voilà que Google vient à notre secours par le biais de Googlebot. C’est ce que nous explique Les-Infostratèges.
      Sous réserve que la page concernée n’ait pas plus d’une année d’ancienneté, mais c’est déjà cela.

      Comme je suis une visuelle (cela facilite ma compréhension et m’aide à mémoriser), j’aime beaucoup la cartographie.
      Cela fait déjà plusieurs soirs que je teste Touchgraph
      C’est vrai que pour les sites importants, cela permet de bien observer les liens. Essayez , vous verrez, c’est impressionnant avec le site de l’ADBS
      reso_adbs.jpg

      Pour les petits sites, ce n’est pas toujours compréhensible (mais c’est peut-être parce que je ne suis pas douée)

      Et puis là où je suis perdue c’est la différence entre Touchgraph et TGwikibrother ???
      Quelqu’un peut m’en dire plus ?

      Ah, je vous signale ce billet sur le blog de DreamOrange. Il s’intitule “Visualiser son réseau autrement” et présente différentes représentations visuelles des réseaux.
      ______________________
      sources (entre autres) :
      ==> http://www.touchgraph.com/TGGoogleBrowser.html
      ==> http://projet-sipo.blogspot.com/2006/05/visualiser-les-rseaux-touchgraph.html
      ==> http://xp-france.net/cgi-bin/wiki.pl?action=browse&diff=1&id=WikiBrowser&diffrevision=18

      Pour tout savoir sur le sujet voir la synthèse du colloque “Carto 2.0” organisé en avril dernier par le Master spécialisé en intelligence scientifique, technique et économique (ESIEE Paris).

      Une bonne veille ! 😉

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