Il y a de quoi être parfois agacés face à des définitions tellement complexes qu’elles ne définissent plus rien et devant des articles ou des livres si alambiqués et parfois si théoriques qu’ils en sont inapplicables et donc inutiles.

Ne parlons pas de la nuée de termes accolés au mot veille : veille technologique, veille stratégique, intelligence économique, intelligence organisationnelle, sans oublier toutes les déclinaisons de la veille par thèmes : veilles commerciale, concurrentielle, environnementale, financière, horizontale (évaluer les secteurs voisins), juridique (ou réglementaire), médiatique, politique, sectorielle (verticale), sociale, sociétale (ex. la responsabilité sociétale des entreprises).

Mots associés : innovation, brevets, cartographie (ou mapping), benmarking, gouvernance, signal faible, information blanche, information grise, information noire, agrégateurs de fils RSS…
Famille proche : la gestion des connaissances.

Définition :
A la base, faire de la veille, c’est être attentif aux évolutions.
Que ce soit celles de la société ou du monde de l’entreprise, dans leur globalité ou sur un point particulier (droit civil, pneumatiques, télécommunications, sociologie, médecine…).

Dire que la veille est le “processus allant de la définition du périmètre de surveillance et itérant sur la capture, l’analyse et la diffusion d’information” est beaucoup trop réducteur dans la mesure où l’on oublie son but : l’aide à la gouvernance.

A l’inverse dire que l’intelligence économique est l’identification des signaux faibles est tout aussi réducteur : identifier ne veut pas dire utiliser. Or, c’est dans le cadre de la gouvernance qu’on utilise ces signaux. L’identification n’est pas seulement l’apanage du veilleur car si les responsables peuvent/doivent aussi identifier, ils ont essentiellement à choisir et à insérer ces signaux dans leurs politiques de gouvernance.

Aussi, en toute logique, la définition des canadiens selon laquelle

La veille vise à recueillir systématiquement l’information pertinente sur son propre environnement et à se servir de cette information dans les décisions stratégiques ainsi que comme source d’amélioration continue.

me paraît beaucoup exacte.
Car pour moi, la veille n’est utile que si elle est faite dans un souci d’adaptation et d’anticipation. Elle a donc forcément une envergure stratégique. Elle doit être prise en compte dans les décisions de gouvernance. En ce sens la veille ne peut être que stratégique quelque soit son sujet limitatif.

Dans ce sens, la veille ne s’oppose pas à l’intelligence économique comme l’estiment certains pour qui la veille serait un processus réactif alors que l’intelligence économique serait un processus pro-actif.
Ceci me paraît archi faux.
L’intelligence économique comme la veille stratégique est un tout incluant non seulement le processus documentaire, mais aussi la dimension stratégique de l’utilisation des informations.
En tout cas, non, l’intelligence économique n’est pas une évolution naturelle des Systèmes d’Information (qui ne sont que des outils, tant pis si je me fais taper sur les doigts !)

veille et gouvernance
Nous sommes passés de la veille technologique à la veille informative, puis à l’intelligence économique pour être maintenant à la veille stratégique.
Mais l’une comme l’autre (‘veille stratégique’, terme d’actualité qui remplace ‘l’intelligence économique’) elles traduisent
1. la capacité des responsables à décider la mise en place d’une mécanique de veille,
2. leur volonté d’intégrer les signaux faibles dans leurs prises de décisions stratégiques, celles qui permettent à leurs entités d’anticiper les évolutions et les innovations.
Et intègrent bien sûr toutes les veilles thématiques (veille technologique, jurdique, sociétale…)

Etre un professionnel de la veille c’est
1. maîtriser les techniques de recherche documentaire et de traitement de l’information
2. bien connaître le thème sur lequel il doit veiller (ex. juridique, environnement…) et les besoins de son entité
3. être capable d’identifier et d’extraire les signaux faibles des informations recueillies et leur donner un sens
4. savoir transmettre à la bonne personne la bonne information
C’est gérer une ou plusieurs parties du cycle de veille. Et/ou mettre en place un plan de veille.

Alors la veille sans y associer des spécialistes de la doc, cela me paraît…
Je reviens là à mon dada : à toute spécialité correspond un spécialiste !

Rappel des normes à utiliser en matière de veille
norme ANSI/NISO Z39.50 (ISO 23950) et
Norme spécifique : Norme AFNOR XP X-50 053 (méthologie à suivre pour mettre en place un cycle de veille. Description des phases principales du cycle de veille).

Conclusion

En bref, la formule “Savoir pour prévoir afin de pourvoir” donnée par les Saint-Simoniens ne serait-elle pas encore la plus brève et la plus complète ??

Moralité
Je change l’intitulé de ma catégorie. Elle ne sera plus “intelligence économique et veille”, mais tout simplement “veille”.

_______________________________________________
sources

==> http://www.grandsorganismes.gouv.qc.ca/cego/DefaultSite/index_f.aspx?ArticleID=284
leur définition de la veille
==> http://www.les-infostrateges.com/article/0606264/qu-est-ce-que-la-veille
historique & définition de la veille (ce billet fait partie d’un dossier sur la veille)
==> http://www.infos-veille.fr/2007/07/20/glossaire-de-la-veille-strategique/
petit glossaire
==> http://www.infos-veille.fr/2007/07/31/veille-strategique/
définition de la veille stratégique
==> http://fr.wikipedia.org/
définition des veilles
. http://fr.wikipedia.org/wiki/Veille_technologique
. http://fr.wikipedia.org/wiki/Veille_en_entreprise
. http://fr.wikipedia.org/wiki/Veille_stratégique
==> http://gdrtics.u-paris10.fr/pdf/doctorants/2004_Mevel_O.pdf
document “de l’influence du management des signaux sur les processus” par O. Mevel ‘2000)
==> http://veille-strategique.eolas-services.com/docs/2000-lesca-castanhos.pdf
document “Capter les signaux faibles de la veille stratégie : comment amorcer le processus” par H. Lesca & J.C. Castagnos (2000)
==> http://www.nouvellesmenaces.eu/images/userFiles/Gendarmerie/File/128.pdf
article paru dans le Bulletin de l’Ilec de juin 2007 “Intelligence économique : le temps du déploiement” par J. Watin-Augouard.
==> www.aim2003.iut2.upmf-grenoble.fr/ Communications/VIDAL%20-%20LESZCZYNSKA.rtf
document “Les PME face à la “nouvelle révolution informationnelle ” : Information ?
Attention ! Intelligence…
” par P. Vidal et D. Leszczynska (2000)
==> http://www.revue-r3i.net/
revue de l’intelligence informationnelle

Il est primordial de considérer une politique d’archivage comme une analyse rationnelle impliquant l’organisation, la stratégie, le management de l’entreprise ou de l’institution et non comme une affaire purement technique ou, pire, seulement informatique. Car la nécessité première d’une politique d’archivage est de permettre de savoir où l’on va. Tout principe d’archivage digne de ce nom doit pouvoir être projeté dans le futur, et procurer une vision suffisamment nette du résultat à terme. Cela s’appelle, plus simplement, l’obligation de résultat.

Voilà qui est dit et bien dit ! Ceci est extrait d’un document de 35 pages publié par PragmArchive.org, intitulé “Méthode d’optimisation des moyens d’archivage par la prise en compte des facteurs de criticité de l’archivage“.

PragmArchive est un groupe d’étude et de rationalisation des moyens d’archivage électronique constitué d’un comité d’éthique et de groupes de travail.

Les sept auteurs sont Nadia Antonin, Marie-Michèle Cunin, Guillaume Desgens-Pasanau, Lucien Pauliac (rapporteur), Arnaud Raynouard, Franck Rumieri, Secondo Sabbioni, tous éminents spécialistes dans leur partie.

35 pages à lire absolument.
On y retrouve aussi trois pages de définitions concises et claires.

Attention, il va bientôt falloir prévoir une ligne “alimentation” dans les budgets des archives. Et prévoir des bâtiments complémentaires.

Mais si, voyez plutôt !
Les éleveurs ovins sont en colère, ce n’est pas un scoop. Le déclin de leur cheptel et donc du nombre d’éleveurs est effectivement inquiétant (~3% en moins chaque année).
Aussi avant-hier sont-ils allés aux Archives nationales pour s’y faire inscrire ainsi que leurs brebis et moutons (3 par éleveur) avant qu’ils n’aient complètement disparus les uns et les autres.

C’est à la fois cocasse et très triste.

Remarque : comme quoi il ne faut jamais désespérer, il y aura toujours quelqu’un pour se rappeler que les Archives sont bien gérées et qu’on peut leur faire confiance sur la qualité de la conservation.

Pour en savoir plus sur cette action
==> http://www.confederationpaysanne.fr/les_moutons_aux_archives_20.php&actualite_id=1317 (avec une photo)
==> http://www.web-agri.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article-eleveurs-de-moutons-archives-nationales-paris-1145-50404.html

Un billet de l’Ebsi signale que le Centre de Ressources des Espaces Publics Numériques de Wallonie met en ligne des écrits pour

«réfléchir sur le Web 2, l’Internet d’aujourd’hui et de demain […]. Des publications en ligne gracieusement téléchargeables, que ce soit des ebooks (livres numériques), ouvrages, travaux scientifiques ou revues thématiques permettent de réfléchir aux pratiques contemporaines de l’Internet pour prendre du recul sur les utilisations et attiser sa curiosité d’esprit.»

L’étudiante auteur du billet a sélectionné les documents les plus intéressants pour les documentalistes et les archivistes.

Mérite le détour.

Le rapport de Bruno Patino sur le livre numérique, a été remis à la ministre de la Culture.
A lire bien sûr, mais bien noter quelques points importants :
==> la propriété intellectuelle doit demeurer la clé de voûte de l’édition
==> les éditeurs doivent conserver un rôle central dans la détermination des prix.

Ainsi 4 axes d’actions sont envisagés :
. promouvoir une offre légale attractive ;
. défendre la propriété intellectuelle ;
. permettre aux détenteurs de droits d’avoir un rôle central dans la détermination des prix ;
. conduire une politique active auprès des institutions communautaires.

Je retiens ceci du commentaire de P. Altman au billet de lafeuille.homo-numericus.net

(B. Patino) montre très bien que plus rien ne peut-être comme avant, tout en s’efforçant d’aménager des recommandations qui permettraient au monde ancien de subsister.

Il démontre très bien que « le livre numérique » est quasiment impossible à définir pour s’aventurer à dire « le livre numérique, c’est avant tout un droit lié à une oeuvre de l’écrit ». Définition qui englobe aussi bien un poème, un article de presse, voire un simple aphorisme.

Ce en quoi je ne suis pas d’accord avec cette définition : un livre numérique pourra très bien exister sans sa forme papier, non ? Qu’en pensez-vous ?

_________
sources =
http://www.les-infostrateges.com/actu/0807501/rapport-sur-le-livre-numerique
http://www.centrenationaldulivre.fr/?Rapport-de-Bruno-Patino-relatif-au
http://bibliobs.nouvelobs.com/blog/livres-sur-toile/le-livre-numerique-au-rapport
http://lafeuille.homo-numericus.net/2008/06/lavenir-du-livre-numerique-par-patino.html

Je ne résiste pas à la tentation de vous retransmettre un message de la liste des archivistes français et intitulé “nos élus ont du génie”.
Ce billet nous relate le contenu d’un article paru dans Télérama du 2 au 8 août (p. 8′) au sujet du chantier de construction d’une médiathèque à Rouen, contesté par les nouveaux élus car cher et dans une zone excentrée et inondable. Le chantier est donc arrêté en attendant une solution.

Oh la solution a été proposée, rassurez-vous ! car enfin les archives départementales manquent de place, voici qui fera donc parfaitement l’affaire. Grâce à quoi le chantier a pu reprendre.

Normal, non, d’associer archives et inondation. Voilà qui fera un classement d’autorité si j’ose dire.
Il est tout de même plus logique d’y mettre les archives car si les livres de la bibliothèque auraient dû être rachetés, les archives perdues n’auront non seulement pas à être rachetées mais encore referont de la place pour les archives nouvelles. C’est quand même mieux, non ?

Pas certain que l’histoire soit à suivre en espérant un revirement, les choses semblent bien parties !

Questions :
– y a t’il des architectes qui soient des pros ?
– y a t’il des hommes politiques qui réfléchissent ?
– Y a t’il des responsables qui osent dire non ?

Les doigts souples et la tête fraîche, voici le retour des vacances. Bonne reprise à tou(te)s.

Pour ce redémarrage, je vous signale que vous pouvez aller lire les interventions qui ont eu lieu à ce congrès qui s’est tenu à Québec (Canada)bi mi-août avec pour titre “Bibliothèques sans frontières : naviguer vers une compréhension globale

Rappel : l’IFLA est la fédération internationale des associations de bibliothécaires et d’institutions qui représente “les intérêts des bibliothèques, des services d’information et de leurs usagers. Elle la voix mondiale des bibliothécaires et des documentalistes.”

J’en profite pour dire qu’en août 2009, à Milan (Italie), le thème sera “les bibliothèques créent le futur en bâtissant l’héritage culturel”

Pour revenir à cette année, je vous cite ici les interventions françaises (allez sur la page de l’IFLA qui y donne accès)

==> concernant les bibliothèques de droit, bibliothèques parlementaires, bibliothèques gouvernementales et les information gouvernementales (sceau de l’approbation : loi officielle et authentique sous forme numérique)
titre de l’intervention = “L’édition électronique authentifiée de la législation en Europe
intervenant : Pascal PETITCOLLOT (Secrétariat général du gouvernement français, Paris, France)

==> à propos de la bibliographie (Agences bibliographiques nationales sans frontières – expériences de collaboration avec d’autres producteurs de données bibliographiques)
titre de l’intervention = “Vers une Bibliographie nationale 2.0 ? Collaboration avec l’usager et usages de la collaboration
intervenants : Philippe CANTIÉ et Anne-Céline LAMBOTTE (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> en matière de bibliothèques nationales, statistiques et évaluation (assurer la qualité des bibliothèques nationales : mesures de performances et évaluation de la qualité dans la protection de l’héritage et la recherche)
titre de l’intervention= “Indicators for measuring the quality of reading rooms and online services
intervenante : Elisabeth FREYRE (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> à propos du catalogage (partager les normes : coopération avec d’autres acteurs)
titre de l’intervention = “Bibliothèques et archives: partager des normes pour faciliter l’accès au patrimoine
intervenante : Françoise LERESCHE (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> à propos des publications en série et ressources en continu (naviguer dans le monde des publications en série : nouvelles initiatives dans la gestion et le catalogage) – deux interventions françaises :
titre de la 1e intervention = “Sharing an ERMS: mutualisation for an efficient management of electronic resources metadata
intervenantes : Emilie BARTHET (Consortium Couperin, Lyon, France) et Kareen LOUEMBÉ (Université Lumière, Lyon, Fance)
titre de l’autre intervention : The new ISSN standard makes life easier for the serials community
intervenant : Alain ROUCOLLE (ISSN International Centre, Paris, France)

==> en matière de théorie et de recherche (bibliothèques comme espace et lieu : approches théoriques)
titre de l’intervention = “Some reflections on space in libraries
intervenante : Marielle de MIRIBEL (Université Paris X, France)

==> concernant les bibliothèques de sciences sociales et les bibliothèques spécialisées et de géographie (collections sans frontières dans les sciences sociales : plates-formes pour un accès numérique, dissémination et préservation) – 2 interventions
titre de l’intervention = “Articles de fonds et articles récents: la mise en ligne des revues de sciences humaines et sociales engendre-t-elle un effet de ‘longue traîne’ ? L’exemple du portail Cairn
intervenant : Marc MINON (CAIRN, Belgium/France)
titre de l’autre intervention : “Persée, un outil au service de la communication scientifique francophone
intervenantes : Nathalie FARGIER (Programme Persée, Responsable de la documentation et des relations revues) et Valérie NEOUZE (Ministère de l’Education, France)

==> quant aux acquisitions et développement des collections (dans et hors le copyright : perspectives contrastées pour la numérisation des collections de bibliothèques)
titre de l’intervention = “Gallica 2 : expérimentation d’une offre numérique incluant des documents soumis au droit d’auteur
intervenant : Lucien SCOTTI (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> en ce qui concerne la généalogie et l’histoire locale avec le FAIFE (accès aux données généalogiques : protection des données contre déverrouillage).
titre de l’intervention = “Protection des personnes et exigences scientifiques : les enjeux de la réforme sur l’accès aux archives en France
intervenant : Philippe COLOMB (Bibliothèque Cujas, Paris, France)

==> en matière de préservation et de conservation (centres régionaux et internationaux PAC : un réseau de formation sur la présentation)
titre de l’intervention = “Multicultural issues in training and communication : Things to remember when communication across cultures, languages, and time zones
intervenante : Christiane BARYLA (IFLA PAC Director, Paris, France)

==> à propos des bibliothèques d’art (les bibliothèques d’art développent des partenariats et des outils pour partager le savoir, améliorer la compréhension et découvrir des trésors commun)
titre de l’intervention = “Aperçu du paysage de la numérisation en France en histoire de l’art: les programmes de la BnF et de l’INHA” (INHA : Institut National d’Histoire de l’Art)
intervenante : Lucile TRUNEL (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> en matière d’audiovisuel et de multimédia, CLM, Bibliothèques nationales et Bibliographie (dépôt légal des documents audiovisuels et multimédia, les pratiques dans le monde)
titre de l’intervention = “Le dépôt légal des documents audiovisuels et multimédia en France: l’exemple du département de l’Audiovisuel de la Bibliothèque nationale de France”
intervenant : Pascal CORDEREIX (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> à propos de la préservation et de la conservation, du PAC (programme Préservation et Conservation), Technologie de l’information, ICABS et les bibliothèques de droit (conservation numérique)
titre de l’intervention = “Digital preservation at the National Library of France: a technical and organisational overview
intervenants : Emmanuelle BERMES, Isabelle DUSSERT-CARBONE, Thomas LEDOUX et Christian LUPOVICI (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> en matière d’alphabétisation et de lecture avec les bibliothèques publiques et les bibliothèques pour populations multiculturelles (la foire globale de l’alphabétisation et de la lecture : partager les bonnes pratiques de bibliothèques pour soutenir la décennie de l’alphabétisation des Nations Unies 2003 – 2012) – 2 interventions françaises
titre de la 1e intervention : “Au pays des ménagères-oiseau: de l’apprentissage à l’expression collective”
intervenante : Annick GUINERY (Bibliothèque Municipale de Choisy le Roi, Choisy le Roi, France)
titre de la 2e intervention = “la joie par les livres: des actions pour l’accès des enfants à la lecture
intervenante : Viviana QUINONES (La Joie par les Livres – Centre national de la littérature pour la jeunesse Paris, France)

==> en ce qui concerne les journaux (la presse ethnique nord-américaine)
titre de l’intervention = “Sauvegarder et numériser la presse des immigrations en France à la BnF, XIXème-XXème siècles
intervenant : Philippe MEZZASALMA (Bibliothèque nationale de France, Paris, France)

==> sur le sujet des bibliothèques pour personnes désavantagées (aller au-delà des frontières – nouvelles façons d’utiliser les TCI pour faciliter l’accès)
titre de la 1e intervention = “E-reading for disabled persons: The French Digital Library for the Disabled (Bibliothèque numérique pour le handicap – BnH)”
intervenante : Monique PUJOL (Ministère de la culture et de la communication – Direction du livre et de la lecture, Paris, France)
titre de la 2e intervention = “Reading in hospitals and ICT
intervenant : Claude GUERIN (Assistance publique des hopitaux de Paris, Paris, France)

Un peu de repos pour mon ordi, mes méninges et mes doigts qui tapotent, cela ne se refuse pas !
Ne soyez donc pas étonnés de mon silence qui prendra fin dans 4 semaines.

Je vais me déconnecter d’Internet, partir une semaine au soleil chaud (bah oui, parfois il ne l’est pas), revenir pour câliner Mathilde, chouchouter les ‘passagers’, dorloter l’homme de ma vie, baguenauder, rêvasser, bouquiner, bavarder, batifoler, musarder, flâner l’esprit libre et la marche légère.

Alors je vous souhaite de très bonnes et très joyeuses vacances si vous partez vous aussi.
Et bon courage à vous si vous venez de rentrer ou si vous ne partez pas avant septembre.


doigts de pied en éventail !

Merci à Pierre-Benoît pour l’emprunt de la photo des Maldives

C’est avec assez de fierté, il faut le reconnaître, que j’ai pu avec quatre autres professionnels participer à ce dossier paru dans le n° 216 de juil/août 2008.

Pourquoi moi, me direz-vous ?
Sans doute parce que j’avais signalé dans un billet un entretien avec Jean Michel paru dans Archimag de fév. 2008. Ce dernier m’avait d’ailleurs laissé un commentaire.
Ou peut-être parce qu’ils ont cherché dans les blogs infodoc ?
Allez savoir et peu importe !

En tout cas, j’ai lu la participation de mes collègues avec grand intérêt.
Je note avec plaisir que la jeune génération par la voix de Stéphanie Barthélémi parle aussi de savoir être, de formation et de la nécessaire reconnaissance par les entreprises de nos compétences
Tous mettent en évidence la nécessité d’évoluer en permanence dans leurs spécialités.
J’ai lu avec intérêt l’intervention de Magalie Séïté qui développe la nécessité des feedbacks. Savoir si son travail est utile, c’est toujours être capable d’évoluer (nous y revenons) et savoir se remettre en question en cas de besoin.

WikiBuddy cherche simultanément dans Wikipedia, wikiHow, Wiktionary, WikiAnswers, Wikmedia, Wikinews, Wikibooks, Wikiquote, Wikispecies, Wikisource, Wikitravel…

Inutile de vous le dire : Wikipedia, wikipedia, et encore wikipedia… mais enfin cela permet peut-être d’encourager les autres que l’on finit par dénicher en fonction de leurs ressources

Par contre dans le bas de la page d’accueil (genre Google…), 19 possibilités de relancer sa recherche par des moteurs plus classiques, plus connus, moins connus..

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