Ce wiki se veut répertoire de ressources en matière de moteurs de recherche classés par catégories :
– news
– les lettres d’info
– les personnalités
– les wikis
– …

Un autre classement propose une liste de moteurs par pays et par secteurs d’activité, des blogs, un glossaire, des associations, etc.

Ne pas oublier que
– c’est une version bêta donc perfectible
– c’est un wiki, donc on peut remonter ses manches
– l’objectif recherché est marketing (vente de cours)

source : m’ci les infostratèges

Les bases de données (juridiques) en ligne : état des lieux
Ce point a été réalisé par “Village de la Justice” qui est le site de la communauté des professions du droit (déjà 10 ans en 2007)
J’ai trouvé cette info grâce à EchosDoc.

voir http://www.village-justice.com/articles/bases-donnees-juridiques-ligne,2780.html

Lorsque l’on est documentaliste en RH il est intéressant de noter que la Cour de cassation abandonne sa jurisprudence selon laquelle la mention d’une convention collective sur le bulletin de paie d’un salarié constitue une preuve irréfragable de la volonté de l’employeur d’appliquer cette convention. Ce dernier est désormais admis à apporter la preuve contraire.

signalé par la newsletter des Ed. Francis Lefèvre

Bon d’accord, jusqu’ici je n’ai pas parlé de Gallica. A tort. Du moins je l’ai juste mis dans mes favoris.
Je me fais donc pardonner pour vous signaler que nous en sommes à la 2e version
La première version est toujours accessible depuis la seconde.

Allez voir ce projet européen qui mérite d’être encouragé et profitez-en pour vous faire votre propre espace et y retrouver vos livres favoris.
Si au départ ce billet voulait simplement vous transmettre cette info, finalement je l’ai élargi à une interrogation sur ces lieux où l’on peut trouver directement l’information. Je pense aux autres bibliothèques numériques existantes à tous ces sites d’archives ouvertes.
Se répertorient-elles mutuellement ? comment les retrouver ? J’avoue avoir un peu le vertige devant toutes ces merveilleuses opportunités de savoir et une telle difficulté à les retrouver.

Je commencé par m’interroger sur l’intégration dans ou le signalement par Gallica de toutes les initiatives des éditeurs, bibliothèques, etc… qui offrent des documents scannés aux internautes ?
Exemples avec

  • Cairn portail de revues de sciences humaines et sociales en texte intégral en matière d’économie, gestion, droit, histoire, géographie, sociologie, psychologie, …
  • plus de 500 revues scientifiques sont en accès libre (répertoire), leur accès autre que par leur propre site est-il récupéré dans des bases de données ?
  • Puis j’ai élargi mon questionnement aux archives ouvertes

  • EuOpenScholar“, vitrine et “outil pour la promotion de l’OA en Europe”,(…) un consortium d’universités européennes résolues à avancer dans cette voie et à tenter de convaincre le plus grand nombre possible de chercheurs de se lancer dès à présent dans ce qui sera à coup sûr le mode de communication de demain, ainsi que le plus grand nombre possible d’organismes finançant la recherche en Europe. (…)”. Ce projet a été lancé par le Professeur Bernard Rentier, Recteur de l’Université de Liège, le 18 octobre 2007. Voir la Digithèque bruxelloise, qui en est le premier édifice
  • Opendoar“, répertoirede plus de 1000 dépots institutionnels d’Archives ouvertes académiques

    Dorénavant, ceux que je trouverai seront mis en commentaire.

  • Dans la recherche avancée de Google il est maintenant possible de faire une recherche par région (pas seulement les régions françaises puisque cela concerne celles de plus de 200 pays !)

    Google se base sur l’analyse géographique des adresses IP des serveurs hébergeant les sites web ainsi que sur les autres noms de domaines managés par les webmestres du pays

    source : m’ci les infostratèges

    Si vous aimez la visualisation de vos recherches par carte mentale, vous allez apprécier de voir les réponses de Wikipédia sous cette forme.
    Pour cela, allez sur wikimindmap.org

    N’oubliez pas de sélectionner la langue des réponses (ça aide, sinon vous les aurez en allemand)

    Source : BrainsFeed, m’ci

    On peut à juste titre expliquer qu’il faut apprendre à rechercher l’info sur le Net, l’enseigner… et n’en demeurer pas moins convaincue que la chance, le hasard et la ténacité non structurée permettent parfois de fort jolis débouchés après que rigueur, raisonnement & circulation dans plus large ou plus resserré n’aient rien donné de satisfaisant.

    Combien de fois avez-vous trouvé une information intéressante que vous recherchiez dans un tout autre contexte que celui dans lequel vous êtes présentement ?
    Combien de fois avez-vous arrêté la recherche en cours pour noter avec grand soin la réponse trouvée à une autre recherche en cours restée peu pertinente ?

    C’est pourquoi à certaines félicitations sur des réponses extra-ordinaires apportées (*), je me garde bien d’expliquer comment je les ai trouvées.

    Alors, quel plaisir j’ai eu de lire une communication faite en 2003 (n’est jamais trop tard pour bien faire !) à Bucarest lors de la Conférence internationale francophone en Sciences de l’information et de la communication par Olivier Ertzscheid (Urfist Toulouse1) et Gabriel Gallezot (Urfist Nice) intitulée “chercher faux et trouver juste, sérendipité et recherche d’information

    Certes les choses exprimées là sont fort savantes, mais quand même, quel plaisir à lire !

    _________
    (*) noter le tiret entre extra et ordinaire ! 😉

    Depuis le 21 juin 2004 la loi dite LCEN (loi pour la confiance dans l’économie numérique) a introduit le principe d’un droit de réponse pour les contenus diffusés sur le web.
    Avec le décret du 24 octobre 2007, le droit de réponse sur Internet bénéficie d’un régime juridique qui lui est propre et s’ajoute à ceux qui existent déjà en matière de presse écrite et de communication audiovisuelle.
    Ce décret vise non seulement les textes mais aussi les sons et les images et précise que la réponse doit se faire sous forme d’un écrit équivalent à la longueur du message, de l’image ou du son qui l’a provoqué (?!).

    Dans leur billet “Le droit de réponse en ligne est enfin réglementé. Opérationnel en pratique ?” publié par les avocats Thibault Verbiest et Marie de Bellefroid sur le site “Portail du droit des nouvelles technologies” le 8 novembre 2007, ils soulignent un point faible du décret, à savoir que ce dernier stipule dans son article 1 « les utilisateurs sont en mesure, du fait de la nature du service de communication au public en ligne, de formuler directement les observations qu’appelle de leur part un message qui les met en cause » que la possibilité de laisser un commentaire.

    Ils font remarquer que

    (…)il est évident qu’un commentaire ajouté au bas d’un article par la personne concernée elle-même, ou la réponse à un message lancé sur un forum de discussion, n’a certainement pas le même impact dans l’esprit des internautes, qu’une réponse insérée par l’éditeur lui-même, et affichée comme l’exercice d’un droit de réponse légal…

    Je vous signale que sur le site du Cigref vous pouvez télécharger le “guide de recensement des outils de collecte, de traitement et de visualisation de l’information“.

    Ce guide fournit aussi une cartographie de toute la veille Internet, du data mining, du KM, …

    Les auteurs : Cigref et DCSSI en partenariat avec le haut responsable à l’Intelligence économique.

    Comme vous le savez tous les métiers sont “fichés” si j’ose dire. Il s’agit des fiches métiers.

    Le site du Commissariat général au Plan, donne des explications sur ce classement des métiers

    Celui de l’Université Paris XII récapitule les sites où l’on peut trouver des “fiches métiers”

    Vous connaissez le ROME (répertoire opérationnel des métiers et de l’emploi) qui définit et présente les métiers. (href=”http://rome.anpe.net/candidat/”>Accès sur le site de l’ANPE)

    Un site présente également des fiches métiers. Il s’appelle “INFORMETIERS (ce site ne veut pas d’hyperlien sans autorisation. Voici donc son url http://www.informetiers.info/ ).

    Le métier de responsable d’intelligence économique y est bien décrit mais en le situant au niveau de la recherche & du développement. Ce qui n’est pas faux, mais qui peut aussi être du domaine de la direction générale.

    En ce qui concerne les documentalistes au sens large, elles/ils sont situés dans deux secteurs
    > Commercial – Marketing – Vente – Communication
    > Métiers du livre
    chacun(e) appréciera ce classement, mais la définition quant à elle me semble correcte.

    L’archiviste a le même classement, et sa définition me paraît plus limitée. Et surtout le records management n’est cité que d’une façon superficielle.

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