sphère de la documentation - articles archivés

Abonnez-vous au flux RSS feed pour cette catégorie uniquement

 

Je ne suis plus que de loin en loin les problèmes des marchés publics. Mais je viens de lire sur le forum des Archivistes français que certains seuils ont été modifiés par décret n°2011-1853 du 9 décembre publié au JO du dimanche 11 décembre 2011
Certes, cela était attendu puisqu’ils changent tous les 2 ans sous l’impulsion de l’Europe.

Le seuil de 4.000 € HT pour les marchés ou accords-cadres sans publicité formalisée par la loi est maintenant fixé à 15.000 € HT. Le niveau a quelque peu évolué !

Pour en savoir plus, voir la note explicative du MINEFE

Mis dans mes Pearltrees le site portail des marchés publics pour les PME ainsi que d’autres après avoir créé dans ‘droit’ une perle ‘marchés publics’ … honte à moi je ne l’avais pas encore créée

C’est à l’automne 2002 qu’un gros problème de gestion d’une société en gestion d’abonnements a fait mettre le doigt sur le risque encouru par les fournisseurs et les clients de ce type de service.
C’est ainsi que l’ABDU et le GFII ont été amenés à réflechir sur le sujet lors d’une réunion de réflexion en mars 2003 intitulée “le feuilleton Divine/RoweCom, l’occasion de redéfinir les relations entre agences d’abonnement, clients et éditeurs

Suite à cet évènement un groupe de travail s’est constitué, réunissant des membres de l’ADBS, l’ADBU, la FNPS, le GFII et le SNIEL.
Il a élaboré puis publié en juin 2005 un vademecum intitulé “Clients, agences, éditeurs. Comment gérer ensemble les abonnements aux périodiques“.

Puis en 2007, un second vademecum est sorti, “Des abonnements papier aux abonnement électroniques

Afin de réactualiser ces vademecums, l’ADBS, l’ABDU et le GFII lancent un questionnaire. Si vous êtes intéressés, je vous suggère de prendre quelques instants pour le remplir, il permettra d’avoir une vue actualisée sur le sujet.

Je n’aurais pas particulièrement signalé ce questionnaire s’il ne m’avait permis de rappeler l’existence des deux vademecums concernés dont je croyais avoir parlé dans un billet ancien mais qui était resté en fait dans ma tête 🙁

Dommage que ce blog n’ait eu qu’une existence éphémère car il promettait !

Son objectif avoué était

“de présenter sur un ton humoristique les métiers de gestion de l’information documentaire à travers des définitions, des images, des descriptions de tâches mais aussi des catégories plus axées sur la promotion de ces métiers parfois mal connus voire mal jugés et qui souffrent de nombreux préjugés négatifs”

Sympa, non ?

Connaissez-vous le thésaurus européen sur l’éducation ?

Il a été créé par le Conseil de l’Europe à l’orée de 2004, il compte presque 3.000 termes dont 2.100 en relation.

En 2006, un billet de Veddoci avait fait une synthèse sur les thésaurus en général qu’il est toujours intéressant d’aller revoir

Il s’agit du site de l’association “Entrevues” qui recense près de 2.500 revues en la matière. C’est un espace d’information et de recherche sur les revues francophones, y compris électroniques (presque 2.500).

Ce peut être un instrument de travail intéressant pour vous permettre de trouver toute information utile sur les revues et accéder à leurs sommaires.

Thèmes concernés :
anthropologie, archéologie, architecture, arts & spectacles
bibliographie, bibliophilie
cahiers d’amis, cinéma, création littéraire
débats & idées
ethnologie, études littéraires
géographie
histoire (& histoire régionale)
linguistique
musique
pédagogie, philosophie, psychologie, poésie
religions
sciences humaines, sciences sociales
théatre
urbanisme

J’ai eu le plaisir de participer à la demi-journée d’études organisée par le secteur ‘Recherche’ de l’ADBS sur le thème “Constitution d’indicateurs pour orienter la politique d’acquisition” le 18 décembre dernier à l’EHESS à Paris.

Ce fut vraiment très intéressant car les intervenantes ont fait part de leur expérience en la matière de façon très pragmatique. Voici les thèmes abordés :

==> les statistiques d’utilisation locales pour les portails du CNRS
par Magali Colin et Sophie Petitjean (INIST)

==> cibler un noyau dur des revues manquantes en SDV du portail BiblioInserm par rapport aux publications et citations des laboratoires Inserm : méthode utilisée et résultats
par Pierrette Beaucerf (INSERM)

==> sélection de revues : approches complémentaires des statistiques d’usage, des publications et des citations
par Francine Courtial (Institut de cancérologie Gustave Roussy)

Vous trouverez sur les pages du secteur ‘Recherche’ l’intégralité de leurs interventions ainsi que mon compte-rendu (dont je ne vous ai pas parlé plus tôt pour cette raison).

Pour ce qui concerne l’incendie, voici les types d’extincteurs possibles
– poudre exclusivement
– eau avec additif
– eau sans additif
– dyoxide de carbone
– système mixte avec plusieurs extincteurs différents dans le même local.

Les extincteurs à poudre
Les spécialistes en matière de sauvegarde des documents sont très réservés sur les extincteurs à poudre qui contiennent une substance qui s’insinue partout et va tacher irrémédiablement ou même attaquer le papier ; en effet, cette poudre est abrasive et mélangée à l’eau elle devient fortement corrosive (bonjour nos documents !). Elle est très nocive pour le métal qui se corrode alors (y compris les systèmes de désenfumage et de climatisation).
D’autre part, il s’agit d’une “poudre blanche qui peut difficilement être enlevée après un sinistre“.
Enfin – c’est un point capital – si l’on est dans un cul de sac, cela ne permet pas de se frayer un chemin au milieu du feu.
Dernière observation : très peu de formations sont proposées.

Extincteurs à dyoxide de carbone (CO²)
Il s’agit d’un gaz inerte sous forme comprimée liquéfiée et gazeuse, non conducteur d’électricité. Il agit en supprimant l’oxygène nécessaire au feu.
C’est le plus courant des extincteurs (pour l’auto, la cuisine, l’atelier, le camping…). Nous n’en parlerons pas plus ici, sauf pour souligner qu’ils présentent un risque de brûlure thermique non négligeable (le gaz carbonique sort à -78 °C)

Extincteurs à eau avec additif
L’additif chimique accroît le pouvoir d’extinction mais est nocif pour les documents car il peut les attaquer.
L’additif est un émulseur (il en existe plusieurs) qui abaisse la tension superficielle de l’eau, lui permettant ainsi de mieux s’étaler.
Ce type d’extincteur peut être utilisé aussi sur les liquides enflammés, ce qui n’est pas le cas de l’eau sans additif (mais on trouve rarement des bouteilles de champagne ou de whisky dans nos bureaux !)
Point important, le jet propulsé ne concerne que la zone visée, à l’inverse de celui de l’extincteur à poudre.
Il est dangereux d’en être éclaboussé si l’on s’en sert mal en raison d’un risque de brûlure thermique (l’eau est glacée) et de brûlures chimiques.

Extincteurs à eau sans additif
Ce sont ceux qui ont la préférence des pompiers, ce qu’ils ont confirmé lors d’un colloque récent (aux journées d’études du Bouclier Bleu, les 4 et 5 déc. 2008).
Là aussi le jet d’eau propulsé ne concerne que la zone visée.
A noter : Les techniques de récupération de documents mouillés sont maintenant bien au point : congélation, lyophilisation, puis séchage. De plus, les cartons d’archivage aux normes sont difficilement inflammables et résistent bien à l’humidité.

Rappel de sécurité :
les extincteurs sont là pour les départs de feu et pour être utilisés par des gens qui ont appris à s’en servir. Au-delà… les pompiers sont gens de métier !

Rappel à propos des archives
Chacun le sait, les locaux d’archivage doivent être séparés physiquement des salles informatiques et protégés face aux risques d’accidents et d’intrusion (incendie, dégât des eaux, contrôle d’accès, détection d’intrusion, contrôle de sortie des supports).
Il doit également y avoir séparation entre les lieux de stockage et ceux destinés au travail du personnel des archives.
L’ensemble de ces précautions permet d’assurer les conditions minimales pour la bonne conservation des documents que ce soit au niveau du contrôle de l’humidité ou de celui de la température. Et de prévenir du mieux possible la sécurité incendie.

La circulaire du 2 novembre 2001 relative à la gestion des archives dans les services et établissements publics de l’Etat consolidée le 19 décembre 2008 rappelle les précautions de base pour les archives intermédiaires publiques

Il est, en particulier, indispensable d’aménager des locaux conformes aux normes de sécurité (protection des documents contre le vol et l’incendie) et dotés des équipements adéquats pour la conservation des archives intermédiaires (c’est-à-dire dont la durée d’utilité administrative n’a pas encore expiré).


Cela permet d’insister auprès de son chef réticent, mais n’apporte guère d’informations précises.

Conclusion
un vieil adage :

Le feu s’éteint
dans la première minute avec un verre d’eau,
dans la deuxième minute avec un seau d’eau,
dans la troisième minute avec une tonne d’eau,
après…on fait ce que l’on peut…”

extincteur.jpg
source : http://www.inrs.fr/

______

Sources

. la liste de diffusion des Archivistes Français des 17, 18 & 19 déc. 2008 et 12 janvier 2009
==> http://fr.groups.yahoo.com/group/archives-fr/
. pour tout savoir sur les différents types d’extincteurs
==> http://www.copropriete-services.fr/sante-securite/extincteurs.php?PHPSESSID=3579543aa16f0529ad8fa58c8ef8fb3e
==> http://marchespublics.weka.fr/xg/newsletter/lettre/enpratique/420
. Bouclier bleu
==> http://www.bouclier-bleu.fr/prevention/aide-memoire.htm
==> http://www.bouclier-bleu.fr/images/fichiers/incendie.pdf
==> http://www.bouclier-bleu.fr/manifestations/journees-etudes-2008-2.htm
. l’UNESCO
==> http://nzdl.sadl.uleth.ca/cgi-bin/library?e=d-00000-00—off-0tulane–00-0–0-10-0—0—0prompt-10—4——-0-1l–11-en-50—20-about—00-0-1-00-0-0-11-1-0utfZz-8-00&a=d&cl=CL3.30&d=HASH402315196c54e2378ccf3e.5.5
. une info via l’Université de BordeauxI
==> http://www.lptc.u-bordeaux1.fr/OLD/~edith/secu/EXTINCTEURS.htm
. textes officiels
==> http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=C64B8334F5864A05BCF32E6BBF6F4312.tpdjo11v_2?cidTexte=JORFTEXT000000490634&categorieLien=cid&dateTexte=
==> http://www.preventica.com/dossier-risque-incendie-la-loi-12-07.php
. et bien sûr Wikipédia
==> http://fr.wikipedia.org/wiki/Extincteur

Je viens de lire un article qui est l’interview d’une documentaliste. Excellente communication. Une bonne image, dynamique de notre métier.

Mais… mais il y est aussi écrit :
Son rôle (du documentaliste) s’est défini en périphérie des métiers d’archiviste et de bibliothécaire et son image peine à se détacher de ses disciplines fondatrices (…).”

Et alors là… je m’insurge ! la doc “en périphérie” ?? ciel ! “Peine à se détacher” ? diable !
Il existerait donc deux métiers fondamentaux archives/bibliothécaires. Puis un petit troisième, dans l’orbite des deux autres, la doc ?? Alors que ce sont trois métiers qui traitent des documents ?
Pas du tout, mais alors pas du tout d’accord !

Car si les archives sont des données précieuses dont on avait conscience dès l’antiquité, c’est au au milieu du XIXe qu’a été théorisé l’archivistique.
Je viens d’en trouver une très heureuse définition :

“L’archivistique a une originalité propre (…). Elle applique des méthodes qui lui sont particulières, telles que des normes, des délais de conservation, ainsi que des règles de sélection des documents. Elle est, aussi, un vecteur de transformation du document en archives. Elle ne se contente pas de conserver et de classifier les documents, elle les ordonne. Cette classification logique a des implications matérielles : cadre et plan de classement, rédaction d’instruments de recherche, rédactions et publications de textes. Autrement dit l’archivistique ne participe pas uniquement à l’établissement des sources, en décantant par le tri et les éliminations, la masse documentaire, c’est également une opération de « construction de catégories (…)”(cf source 2)

Elles portaient principalement jusqu’il y a peu sur des documents “historiques” au sens propre de l’Histoire. Puis se sont ouvertes au monde de l’entreprise. L’image poussiéreuse en a été heureusement chassée par l’arrivée des TIC et du Records management.
A noter aussi que la notion de Records management n’est pas seulement l’apanage des archivistes mais aussi des documentalistes en toute normalité puisque le document va de sa naissance à sa conservation définitive. Ce qui fait d’ailleurs que les deux métiers sur ce point là se rapprochent inexorablement. D’ailleurs les deux associations professionnelles y travaillent ensemble.
Pour en savoir plus sur le Records Management, voir la définition donnée sur le portail qui lui est dédié (source 3)

Certes les bibliothèques ont elles-mêmes une ancienneté fort respectable dont la bibliothèque d’Alexandrie est un bel exemple. Plus proche de nous, nous nous souvenons tous des petits bristols qui indiquaient la richesse du fonds (certains existent encore).
Là aussi les TIC ont apporté beaucoup de changements et d’autres façons de pratiquer.
Là aussi les pratiques des bibliothécaires et des documentalistes ont de plus en plus de points en commun, à tel point qu’en Suisse l’association des uns et celle des autres n’en font plus qu’une (cf mon billet sur le sujet)

Mais en ce qui concerne la documentation, il ne faudrait pas oublier qu’elle remonte aussi au XIXe ! Dans le 3e tiers très exactement. C’est avec elle que se crée la notion de l’information. Et ce n’est pas seulement moi qui le dit :

Le projet de fonder une « science de l’information et de la documentation » spécifique s’est affirmé sous l’impulsion d’acteurs comme Pierre Larousse (1817-1875), Melvil Dewey (1851-1931), Paul Otlet (1868-1944), Jean Meyriat (1921- ). Le point de départ en a été de dissocier l’information, construction sociale et intellectuelle, de l’ensemble des objets matériels qui, en circulant, la conditionnent sans la définir. On doit aux spécialistes de cette science d’avoir posé que l’information ne circule pas (elle n’est pas un objet) mais qu’elle se redéfinit sans cesse (elle est une relation et une action). Ce projet est lié, dès la fin du XIXe siècle, au développement d’une recherche à visée industrielle et au rêve d’un savoir planétaire. Mais plutôt que tout assimiler par l’idée d’un « système d’information » (idée plus récente dont le succès est dû aux développements informatiques), ces auteurs distinguent méthodiquement entre le support, le document, l’information et le savoir : effort de distinction qu’il faut redécouvrir aujourd’hui. (Yves Jeanneret)” (cf source 4)

Quant aux liens entre les trois, ils deviennent de plus en plus étroits. La meilleure preuve en est avec l’IABD, (Interassociation Archives, Bibliothèques, Documentation) regroupant 16 associations.
Et même, tout récemment en Suisse, l’Association des bibliothécaires et l’Association des documentalistes ne forment plus qu’une seule association (cf mon billet sur le sujet)

Quant aux sciences de l’information et de la communication à proprement parler, elles sont nées au 3e tiers du XXe siècle.
C’est une large discipline dans laquelle s’intègrent naturellement nos métiers chacune à des titres spécifiques mais avec des liens parfois étroits sur certaines activités. Elle est au coeur du monde d’aujourd’hui.

Alors ? toujours “en périphérie“, toujours “en peine de se détacher” ?

Que dire de plus ? Qu’en pensez-vous ?

_________________

sources

1 – le résumé de l’article “« Documentation » : un mot, une histoire, une actualité autour d’un métier” par Jean-Philippe Accart
http://campus.hesge.ch/ressi/Numero_3_mars2006/articles/HTML/RESSI_014_JPA_Documentation.html

2 – ” Historiographie & archivistique : Ecriture et méthodes de l’histoire l’aune de la mise en archives”
http://tristan.u-bourgogne.fr/UMR5605/manifestations/07_08/08_04_24.html

3 – le portail du Records Management
http://www.records-management.fr/spip.php?article26

4 – information, SIC et Wikipédia
http://fr.wikipedia.org/wiki/Information
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_de_l’information_et_de_la_communication

5 – l’IABD (Interassociation archives, bibliothèques, documentation)
http://www.iabd.fr/spip.php?rubrique1

6 – la Société française des Sciences de l’Information et de la Communication
http://www.sfsic.org/

Au fil de ma recherche, j’ai été aussi intéressée par
http://www.ecogesam.ac-aix-marseille.fr/Resped/Admin/Com/SciInfCom.htm

Je vous ai parlé dans un de mes billets du dossier auquel j’avais participé dans Archimag de juillet/août intitulé “l’infodoc par ceux qui la font”.

Tout à fait par hasard -ou plutôt non, grâce à la découverte du site 123people dont je vous parlerai ensuite -, j’ai découvert que le site des cadres territoriaux La lettre du cadre avait le 1e août fait un commentaire intitulé “regards de documentaliste” sur le dossier.
Comment ne pas être très heureuse d’y lire que mon blog est excellent ? Mais attention ! Un compliment entraîne toujours de travailler plus pour continuer à le mériter. Bref, c’est flatteur et encourageant. Merci à son auteur.

En tout cas, je vous conseille vivement d’aller regarder le site et plus particulièrement sa partie “documentation”… une vraie mine.

Et pour en revenir à 123people, j’ai découvert ce moteur de recherche de personnes par le biais de Brainsfeed qui signale le lancement de versions limités à certains pays européens tels que la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni.
Je n’irai pas jusqu’à dire que la version française est réellement impressionnante car pour ce qui me concerne je me retrouve avec trois photos… dont une seule est la vraie et les courriels cités sont tous faux et non, je ne suis pas la GLB de Facebook, juré car je ne suis pas du tout une fan des émissions de télé. Bref les homonymies perturbent un peu les choses et parfois les Geneviève citées ne sont pas du tout Le Blanc.

En tout cas, c’est un outil pour retrouver des informations sur quelqu’un, mais avec attention !

Une définition claire est donnée par Jean Michel que je vous suggère d’aller lire dans son entier.

le Management par la Valeur (…),c’est surtout donner du sens à l’action que l’on mène“.
Et en quelques lignes il explique le plus de cette méthode : analyser pour qui et pour quel besoin on agit. C’est en fonction de cela que l’on cherche les meilleurs moyens pour y arriver (outils, compétences). Le ‘comment s’y prendre’ vient a posteriori pour plus d’efficacité.

J’aime bien de temps en temps me redonner une définition toute simple d’actions que l’on mène un peu à la mode de Monsieur Jourdain et pour laquelle, le nez dans le guidon, on a perdu la théorie (mais l’essentiel est bien de l’appliquer intelligemment)

Pour en savoir plus en trois clics

==> le site de l’Association française pour l’analyse de la valeur
==> un pdf intéressant “le management par la valeur” sur le site d’un groupe de consultants
==> l’introduction et la bibliographie du cours de Jean Michel sur son site, “analyse de la valeur, expression du besoin et compétitivté des produits et services

Next Page »